Warzar imprimait alors une sorte de marque sur le beau parchemin, et laissait partir l'arabe, qui n'arrivait pas à cerner ces moeurs pour le moins particulières, venant du désert.
Une fois Mourad parti, Warzar prit la parole au milieu des siens : Fironkois, Commandants, une nouvelle ère est venue. Nous sommes maintenant au sein d'une grande alliance qui compte Kandrasie, Orcum, et Fironk.
Le peuple ne bougeait pas. Warzar prit peur... Il crut ne pas etre compris par son peuple. Il continuait alors :
N'ayez pas peur ! Ceci est une bonne chose. Si l'extérieur nous a apporté des soucis, il nous apporte aussi des solutions à nos problèmes. Pensez à l'Aevenspir, pensez à Elitos !
Et les arabes sont des gens de savoir. Ils nous seront d'une grande aide à tous niveaux. Quant à nous, fironkois, nous devrons les aider nous aussi dans leurs affaires, s'ils nous le demandent.
A ces mots, le peuple acclama le Commandeur, et entreprit la meme danse que cette qu'ils avaient vu entre Warzar et Mourad.