Retrahant, Ere impériale
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 Essai Sur Heos, capitale des dunes

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Foulque




Nombre de messages : 54
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MessageSujet: Essai Sur Heos, capitale des dunes   Essai Sur Heos, capitale des dunes EmptyDim 26 Déc - 0:50

PS:HRP:ce texte n'a l'approbation d'aucun seigneur d'aucun seigneur du texte.Ce n'est qu'un essai, alors on ne s'enerve pas.
L'aspect d'Heos est le mien et j'encourage a me donner vos avis et conseils pour faire progresser un texte qui sera surement supprimé au plus vite...

La fete dans la citée impériale avait commencé depuis 3 jours.Kriss et la compagnie prenaient enfin un peu de repos aprés deux journées entières d’animations dans les rues de la citée.
Alors que les citadins et certains compagnons préféraient se divertirent encore et encore,lui avait décidé de se retirer un peu dans les petites loges offertes par l’Empereur pour la durée des festivités.
Depuis le début de ses fêtes, l’Empereur Raul n’avait pas réussi à débusquer assez d’animations,même dans cette citée si cosmopolite et complète,où ici, les pionners Séquanes se mélent aux natives des deserts pour atteindre leurs rêves de bonheur ou de gloire.Tous s’étaient accroché à cette île solitaire dans l’espoir d’un futur meilleur ou d’une panse mieux remplie.
Ses parents en avaient payés le dur prix.Les deux empersois avaient trouvés la mort dans l’un des ces sombres et étroits faubourgs qui caractèrisaient les quartiers pauvres, laissant derrière eux un orphelin de 6 ans du nom de Kriss.
Puis les 7 autres années, ils les passa sous l’aile d’Estias le Fort, chef de la compagnie des voyages.
La compagnie des voyage était une « grande famille »de comédiens, acrobates, magiciens et autres coupes gorges tous venus à Heos avec cette idée fixe de prospérité.
Malgré son nom la compagnie n’avait jamais quitté la citée des dunes et avait toujours réussi à attirer les curieux et leurs retrahs grâce à leur ingéniosité et leur imagination inépuisables (ainsi que quelques magouilles...).
Cette voie se lisait d’ailleurs sur les visages endurcis de la pluparts des « jongleurs » d’Estias, qui lui même montrait l’exemple avec ses 3 poignards dissimulés dans les plis de sa djellabah.
Cette grande famille n’était composé que d’hommes, autre signe de la rudesse des rues d’Heos.Même les plus effeminés des menestrels courbaient rapidement l’échine sous la pression de ceux qu’ils appelaient « les brutes misogynes » ou « la honte des artistes » quelques jours plus tôt et finissaient toujours par tomber encore plus bas, ou tomber tout court.
Et oui, pensa-t-il,seul l’affection qui lui portait Estias et sa dexterité hors du commun le préservait de la horde des jongleurs.
Kriss contempla un instant la vue que lui procurait sa chambre du cinquième étage,elle-même procurée par Estias.Des dizaines d’énormes enchevêtrements s’élevaient jusqu’à en pénétrer le ciel.Le bleu du ciel était d’ailleurs quasiment occulté par ces énormes mastodontes chaotiques formés de centaines et de centaines de petits chainons.Habitations,dépendances,ou même simples maitiens fignolant avec difficulté une architecture chancelant sous son propre poids.Ce chaos de batiments était percé de tunnels bruyants et de faubourgs animés,donnant au tout un aspect vivant,houleux.

Sa porte s’ouvrit,et un grand diable entra dans la petite pièce.Il portait un habit collant faisant office de deuxième peau.
Le jeune garçon sourit:
« —Estias!Que me vaut cette visite?
—Une balade nocturne,je crois.Répondit-il, un sourire mystérieux sur les lèvres.
—Une balade nocturne?Où ça?
—Pose pas de questions et enfile ça, je t’attends dehors. »
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Foulque




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MessageSujet: Re: Essai Sur Heos, capitale des dunes   Essai Sur Heos, capitale des dunes EmptySam 1 Jan - 15:58

Si les journées étaient brulantes, les nuits , elles, étaient encore plus froides que les hivers Séquanes;mais le duo s’était accordé pour rester secs, indubitablement secs, de nuit comme de jour.
Kryss grelotait; comme il s’en doutait la deuxième peau que lui avait remis Estias ne le protégeait pas des crocs de froid.
Ils marchaient depuis une bonne heure dans des rues moyennement fréquentés pour une nuit de fêtes.Il essaya bien de questionner Estias, mais rien n’y fit.
Puis, alors qu’il voulu reposer la question du trajet, le géant se tourna brusquement,scruta les différentes voies et, ne voyant personne, saisit l’enfant par le col et s’engouffra dans un de ces sombres boyaux.Aprés quelques minutes de marche rapide,il s’arreta au milieu d’une étroite ruelle, siffla trois fois puis claqua de la langue.Et le silence se fit...Les secondes paraissaient siècles dans cette atmosphère sépulcrale et glaciale.

Soudain,les planches se levèrent, des ombres se rapprochèrent et des trapes s’ouvrèrent au sol.Une trentaine de silhouettes en sortirent,plus silencieuses et sinistres les unes des autres.
Une de ces ombres se distingua du groupe informe pour donner forme à Fliin,le second d’Estias.Le même habit noir que portait le géant lui recouvrait le corp, mettant en valeur des muscles secs et durs; sa face faisait penser à un serpent, et ses « jongleur » lui en accordaient volontier les mérites.La vipère, c’était son surnom; il donnait vraiment le caractère du personnage: dangereux.
Le second esquissa un sourire entendu que lui rendit Estias par un rictus guoguenard.
« —Tu sais ce que tu as à faire.
—En effet. »Lui répondit-il dans un fort accent—la vipère était une native des deserts.
Elle fit un signe et une dizaines d’hommes sautèrent en haut des toits situés à droite de la ruelle.Elle disparut avec eux.
Quant à Estias, il grimpa les toits opposés avec le reste de l’escouade.
Grâce à un jeu de mains,de bras et du corps tout entier,les jongleurs s’entremêlaient pour faire office d’accroche là ou les maisons n’en offraient pas.Le manège était fantastique,deux dizaines d’homme se maintenant mutuellement pour pouvoir se hisser sur de grands toits légèrement inclinés ou sur des échelles-maisons (petites habitation servant de prises et de routes des toits ).Tous portaient des deuxièmes peaux et opéraient dans un silence et une rapidité troublante.Le froid et l’absence de lumière rendait le parcours difficile et la « petite balade nocturne » se transforma vite en épreuve de tout les instants.Les gouttes de sueur perlant sur le corps des jongleurs et la nuit rendaient les deuxièmes peaux humides et froides.
Parfois,lorsque les murs s’élevaient trop haut pour de simples sauts, on assistait à de véritables pyramides de corps savamant orchestrées et révélant une organisation tout simplement parfaite.
Kriss comprenait à present pourquoi Estias exigeait un entrainement aussi rude et pourquoi la compagnie n’avait jamais quitter la capitale.Il s’expliquait aussi pourquoi certains disparaissaient.On avait beau dire, mais ces coupes-gorges méritaient bien le titre de « jongleurs ».
L’ascension acrobatique continua son cours jusqu’à ce qu’on arriva sur un segment de 4 immeubles.Les uns les autres se tenaient en équilibre comme des maintiens.La croissance trop rapide combinée à l’ingéniosité des
artisans d’Heos donnèrent un amalgame des 4 sommets des monstres.En dessous de l’énorme bizarrerie architecturale se trouvait la frontière entre les quartier pauvre et la ville marchande: une grande place protégée des rayons de chaleur par le parasol géant que créaient les batiments et fréquentée par les plus riches marchands pour sa fraicheur le jour et vis versa pour la nuit.
Estias les arreta donc au carrefour et se dirigea vers une petite porte accessible seulement par les toits, délaissant sa troupe sur des toits situés à plus de 70 mètres du sol.
La seule vue qu’offrait le refuge de fortune était celle d’un précipice donnant sur la fraich’place.
Son esprit dégagé de toutes responsabilités, la curiosité de Kriss revint au galop.
« —Dites, qu’est-ce qu’est allé faire Estias dans la maison?
—Il marchande notre passage, petit.
—Quoi?Quel passage?
—On se dirige vers le quartier impérial si t’avais pas remarqué, et il faut qu’on paye notre passage.
—Mais on est plus d’une lieue de haut!On a pas à payer aussi haut!
Le commentaire déclencha quelques rires.L’homme continua en ricanant:
—Tu croyais quoi?Tout s’achète à Heos, la ville de la nécessité, la ville de la chance.Et là,il faut acheter le passage sur cette toiroute sinon tous les clans du quartier pauvre nous tomberont dessus avant qu’on est le temps de dire Raul. »
Kriss resta coi, Heos ressemblait plus à une prison qu’à l’île merveilleuse dont ses parents lui parlaient.
Comme pour le consoler,ou peut-être pour tromper l’ennui , son interlocutaire commença à taper un rythme léger sur un mur de terre.Reprises par certains,enrichies par d’autres de petits bruits; les vibrations commencèrent à se transformer en une musique entrainante.L’équipage accélerait le tempo,plaçait des onomatopées imitant des cris d’animaux,délirait dans des solos insolites et rapides,ralentissait des sons saccadés des tambours de fortunes pour laissait place à des murmures chantants.
Soudain le tout s’arreta.
Estias revenait de la porte du passage.
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Foulque




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MessageSujet: Re: Essai Sur Heos, capitale des dunes   Essai Sur Heos, capitale des dunes EmptyJeu 20 Jan - 22:06

HRP: non? Mr. Green
Mais qu'est-ce que ça peut faire?
Que je sois d'Ombos,de l'Empire, de Rochronde, des pays du nord ou même de feu la confédération, ça ne change rien, vous n'avez toujours pas donner vos avis...
De plus, ça m'empêche que l'on me juge, et je peux assurer que c'est bon parfois, car je n'es aucun poid et reponsabilité. au fait Rist, tu pourrais me mp pour avoir des détails sur sur ton palais lors du festin en Heos? merci d'avance/Hrp



On s’était dispersé en plusieurs petits groupes de deux ou trois personnes.On entrai maintenant dans les quartiers marchands d’Heos,et qui dit quartiers marchands dit prudence, les march-gardes et autres soldats des princes marchands ne faisaient pas dans la soie Alarienne.Estias l’avait placé avec Vergill,un jeune homme vif et léger.Le chef des jongleurs comptait plus sur la discrétion et la rapidité pour passer le blocus du quartier marchand que la force brute.
Et pour ça,on avait sortit l’equipement adéquat, cordes, grappins, échelles en chanvre,retrahs...tout avait été prévu pour un passage sans encombre.
Les deux jeunes gens progressaient doucement mais surement sur les toits des grandes médinas.
Quoique beaucoup plus petites que les immeubles des quartiers pauvres, les médinas respiraient l’harmonie (idée oubliée depuis bien longtemps dans les quartiers pauvres ) et l’architecture encore jeune des belles maisons donner un apperçu du midi économique des nantis d’Heos.De hautes et mince tours venaient provoquer le chaos du reste de la ville.Ces fines beautés égalaient les enchevêtrements grotesques par la taille mais les surpassaient par la blancheur tout simplement parfaite
de leur pierre.
La vue des toits n’offraient pas que la grandeur des orgueuilleux phares de l’île mais aussi les jardins cachés des plus riches médinas.
Véritables paradis au milieu de cet enfer si sec, ces jardins étaient souvent petits et accessibles par un petit corridor caché, comme un trésor que l’on garde pour soi, ou un péché qu’on cache au plus profond de sa demeure.
Dans ce quartier là, le calme était présent.Ici, on respirait réellement, autant dans l’esprit que pour le corps.Les rues étaient larges et pavées avec régularité et aucune excroissance ne venait s’accrocher aux murs artistiquement taillés des médinas.L’ordre y régnait et on aurait aimé arpenter ces rues sûres et embellies, si on savait qu’un tel trésor existait derrière les murailles délimitant les deux quartiers.
Vergill l’emmenait vers la palais impérial.Grace à l’agilité combinées de leur deux corps et les cordes et crochets fournis par le groupe,ils se hissèrent sur la plus proche médina du palais.
On grimpa une partie de la muraille puis on arriva devant une porte planta au milieu de la paroi blanche.Elle n’était accessible que par la muraille.Vergill, suspendu a un morceau de mur, frappa à la porte; un homme lui ouvrit, il n’était nullement surpris et les encouragea à s’introduire dans la pièce.Tous les Jongleurs étaient là.
Estias sourit, et sortit de la pièce en annonçant: « et maintenant le trésor »
—Au trésor ?s’écria Kriss.Il saisit la grosse main d’Estias en essayant de l’arreter.Quel trésor ?
—Oui, on part pour la salle du trésor.Les invités ne sont pas arrivés les mains vides
—Et les gardes?Ils doivent être trois fois plus nombreux qu’à la normale.
—La vipère fait diversion, ne t’inquiète pas.En plus ils sont tous à moitié ivres.
—Et pourquoi suis-je là?Je ne sers à rien et je suis petit...
—Oui tu es petit et tu vas nous servir.
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Foulque




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MessageSujet: Re: Essai Sur Heos, capitale des dunes   Essai Sur Heos, capitale des dunes EmptySam 5 Fév - 2:33

Kriss buvait un alcool fort dans un bar, si rare, d’Heos.Il attendait une nouvelle fille qu’il avait rencontré dans une salle à grain de sable; Kriss était vite tombé dans cette drogue aprés le meurtre d’Estias.
Estias, l’homme qui l’avait trahis lors de ce qui avait l’apparence du cambriolage le plus osé de cette ère.Les jongleurs d’Estias avaient dûs profiter de la fête qu’organisait l’empereur pour s’infiltrer dans la salle des coffres et prendre les cadeaux des invités, véritables fortunes. Ils s’étaient introduits dans le palais de Raul, Empereur d’Hérosie, et puis Estias lui avait demandé de le suivre.
Alors que les autres s ’étaient dirigés vers la salle des cassettes de l’Empire, lui et Estias étaient partis vers les apartements imperiaux.
Les couloirs aux dalles de couleurs sombres étaient déserts, et les hautes lampes de formes orientales étaient pour la plupart éteintes.Les pas feutrés des deux voleurs faisaient un boucan que seuls eux entendaient.
Les deux hommes s’écartèrent de l’aile de l’empereur et de sa femme pour les apartements princiers.Une fois arrivés au bout d’un long couloir mal éclairé, ils arrivèrent devant une porte d’où s’échappait de la musique et une lumière bleutée; soudain Estias atrapa le col de Kriss et frappa à la porte, puis baissa la tête.Un homme leur ouvrit.Il était jeune et l’euphorie se lisait sur son beau visage.
On fit entrer les deux hommes dans la petite salle; elle était remplie de poufs à la mode des terres du Sud, la lumière bleue etait douce et plaisait à Kriss, qui sourit. Non pas grâce à la volupté de la lumière mais à celle de la fumée qui se dégagait de differentes pipes.Plusieurs jeunes gens saluèrent les deux étrangers avec force cris de joie. L’homme qui les fit rentré leur dit alors:
—Ah, esclave! tu nous apporte enfin le jeune pur, HreHeos va enfin pouvoir se repètre d’un garçon vierge.
Kriss esperait un gromellement,mais Estias baissa la tête et opina silencieusement.Alors le jeune homme prit doucement Kriss et l’emmena vers une petite fosse se tenant au milieu de la salle.Le jeune jobleur , qui s’attendait à trouver dans le trou entouré de pierre un liquide quelconque, faillit s’étouffer lorsqu’il vit les centaines de serpents s’agitant en dessous.Les autres hommes s’étaient approchés de la scène, Kriss, quant à lui venait de comprendre ce qui allait lui arriver.Il commença à se débattre et poussa des petits cris.
Les jeunes nobles se mirent alors à se disputer pour savoir qui allait enfoncer le poignard dans le ventre du vierge et qui le pousserait.
Estias prit alors la parole:
« —Messires, Sire, permettaient moi de m’immiscer dans vos discussions, je pense que c’est au prince que revient l’honneur de sacrifier le jeune garçon au Grand Serpent. »
Tous, apres l’avoir scrutés un instant, opinèrent du chef et tendirent le Kriss vers un jeune homme à l’allure gaillarde et joyeuse, l’euphorie des grains de sable se lisait sur son visage et ses mouvements.Il saisit nonchalament le couteau et s’approcha lentement du jeune Jongleur.
Alors, Estias, sûr de l’identité du prince Impérial, bondit comme un fauve sur lui.En un mouvement, il prit son arme,la sortit du foureau,et la pointa sur le bas ventre de ce dernier.L’autre, encore sous l’effet des grains de sable, ne réagit pas tout de suite, mais lorsque le poignard le perça, il cria de douleur.La vitesse et la puissance du choc firent tombé l’assassin et le prince.Encore étonné de la situation, un autre courtisan tomba à terre, pousant un petit hurlement de surprise.Estias se releva et saisit Kriss au passage. Ils coururent.
Mais personne ne les suivait, tous les nobles étaient encore sous l’effet de la drogue d’Ombos.
Ensuite, une poursuite commença, et les jongleurs furent tous tués dans le desert.Tous, a part lui.
La furieuse cavalcade, trop intense pour l’enfant, l’empêcha de suivre la troupe et les autres durent le laisser dans une étape au milieu du desert.
Aprés ça, Kriss retourna a Heos.Il survecu grace à ses acrobaties puis les vols et la mendicité.En effet, le jeune garçon ,seul et faible, se faisait chasser des nombreuses places déjà occupées par d’autres troupes de jongleurs.
Alors, il trafica un temps, puis tomba dans le grain de sable, véritable fléau du desert.
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