En route, Quesinois!!!

Hiver 50

- Le froid est cinglant, ce matin. Se frottant les mains et attachant sa fourrure qui lui servait de manteau.

- Les soldats sont prêts?

- Oui, intendant.

- Bien capitaine Bahrung. Vous allez prendre leur commandement et vous allez les diriger vers cette fameuse capitale. J'ai un petit compte à rendre.

- Je comprends tout à fait intendant.

-Je le sais bien que vous me comprenez, mon ami. J'ai quelques détails à régler ici mais je vous rejoindrez plus tard. Faites honneur à Quesinae. A plus tard mon ami. La route sera longue et froide.

Sur ses mots, le capitaine Bahrung pris ses armes, s'approcha de ses hommes.

- En route soldats, et levez bien haut l'étendard Quesinois. Nous en sommes fier. A bientot, intendant.

- A bientot mon ami.

Pipiche apprit la nouvelle, il fit venir tous les maîtres d'arme, les forgerons et les menuisiers à sa cour.

"Messieurs, notre intendant envoie une armée pour l'honneur de la Quesinae. Je veux que les hommes redoublent d'effort, un entraînement intensif et vous forgerons et menuisiers que les chaudières brûlent jour et nuit, nous avons besoin d'armes et de la meilleure qualité qui soit."

*Enfin.... nous leur montrerons notre détermination, ils nous ont poussés jusque dans nos plus retranchement, et maintenant à nous de leur montrer...*

Printemps 50

Le capitaine Bahrung arrivant sur les lieux

Hummm, il n'y a personne devant les murs de cette ville. Sergent, dites à 100 hommes d'essayer d'enfoncer la porte de l'enceinte. Quelle belle enceinte d'ailleurs. Elles sont rares ses enceintes si grandes.

Les pauvres soldats. Enfin bon, ce combat risque de durer. Je pense que notre cher intendant aura le temps de venir nous rejoindre avant que nous en finissions avec cette capitale. Que l'on construis des trébuchets pour la venue de notre intendant. Nous allons sieger la capitale. Construisez 80 trébuchets. Notre intendant sera heureux de voir que nous n'avons pas fait que l'attendre.

Pendant ce temps dans la capitale de Quesinae

L'Intendant LethKha

-Bon je pense que le seigneur Bahrung. Enfin j'espere.
Alors que les autres troupes pretent partent le rejoindre.

-Intendant?

-Oui capitaine?

- les 20 000 hommes que vous avez demander sont prets.

- Tres bien. Qu'ils partnt sur le champs rejoindre le capitaine Bahrung. Je les rejoindrai plus tard. Dites au capitaine Bahrung que j'ai confiance en lui. Et prévenez le que d'autres seigneurs ont envoyé des troupes et que Pharykis n'est pas seul.

- Bien intendant.

- Bonne route.

Le premier lieutenant de Shaggar de Kogeras ,Karrack, avait préparé les troupes pour le retour de son seigneur. Ce dernier était parti en Alaria voir l’intendant Zedar et avant de rentrer avait fait un détours par la Séquanie.
Lorsque la colonne de cavaliers pénétra dans la ville il alla à la rencontre de son seigneur.
Il lui suffit de fixer son maître et en un regard il sut qu’ils ne reviendraient pas en arrière.
Shaggar monta sur un promontoire et s’adressa aux troupes qui se préparaient depuis des jours.

-Fils de Lug ! Notre honneur a été bafoué ! Nous ne saurions tolérer qu’on manque nous manque de respect ! Prenez vos armes fidèles compagnons et allons montrer à cet intendant que le peuple de Quesinae n’oublie pas les affronts qu’on lui fait !Pour l'intendant LethKha!Pour la gloire de Lug !

L’immense ost de guerriers sorti alors de la ville tout en entonnant des chants à la gloire de Lug.

Gontran, jeune seigneur Quésinois, avait appris la mobilisation des troupes de Quesinae.
Pour marcher en Empersiste, semblait il...
Gontran désapprouvait totalement que Leclerc, qu'il estimait niais et maladroit, reprenne la destinée d'Empersiste en main, et il priait pour que le but de son Intendant ne fut pas de remettre ce "niais" au pouvoir.

D'un air navré, il regardait du haut de sa tour les troupes quésinoises traverser tout le territoire, sous la neige, s'en allant à la guerre.
Gontran secoua la tête, poussa un soupir, qui se transforma en un nuage de buée, au contact de l'air froid de l'hiver, puis il releva son col de fourrure, et alla écrire une lettre à son Intendant, le Seigneur LethKha, pour dissiper ses doutes et ses craintes.

La Saison suivante

Les secondes troupes du Seigneur LethKha arrivèrent à la capitale et marquèrent un temps d'arret; du moins elles ralentirent en voyant cette belle citée entouré de puissante enceinte. Mais elles virent aussi les troupes du capitaine Bahrung.

Ils se dirigèrent donc vers lui.

- Capitaine Bahrung, nous sommes le deuxieme convois du seigneur LethKha. Nous venons vous preter main forte.

- Tres bien, alors soyez le bienvenue. Notre intendant ne vient donc pas?

- Si, bien sur, il doit arriver la saison prochaine normalement.

- Je ne sais pas si ce sera la peine. Depuis que nous sommes là, nos adversaires n'ont pas bouger de derriere leur enceinte. Et puis vous arrivez à pique. Nous allons lancé la premiere vague de trébuchet. Voyons voir ce que cette enceinte de 10 000 va t'elle faire. Puisque les trébuchets sont prets, faites feu.

Les trébuvchets lacherent leurs grosses pierres en direction de cette imposante enceinte et vinrent s'écréser dessus pour la pluspart. Un énorme nuage de poussiere se leva et on ne voyait plus rien. Le vent commenca à dévoiler un amas de pierre mais celui ci ne formait plus une enceinte mais une ruine. Alors apparu plusieurs groupes d'archers.

- Quel dommage de détruire une si blle enceinte. Mais, que vois je. Il y a bien du monde derriere cette enceinte. Qu'on sonne la charge.

Sur le bruit des cors, les cavaliers chargèrent, se ruèrent sur les archers. Mais ceux si se deffendèrent et quelques cavaliers tombèrent. Mais les archers tombèrent les uns apres les autres. A ce moment la cavalerie revint vers le capitaine.

- Capitaine, nous n'avons pas subit de perte en nous approchons de la deuxieme enceinte. Je pense que nous devrions essayer de forcer la porte avec le bélier.

- Et bien soit, qu'on envoit 100 hommes essayer de forcer la porte. Mais j'avoue que celà serait surprenant qu'il n'y ait personne sur cette enceinte. Mais bon essayons. Qu'on envoit aussi un messager prévenir notre intendant que ce n'est pas la peine qu'il vienne.

100 hommes partirent forcer la porte avec le bélier. Ils réussirent à forcer la porte sans subir de salve de fleches. Ils revinrent alors vers le capitaine pour lui anoncer.

A ce moment, derriere eux, des étendarts Quesinois se firent appercevoir. Le seigneur Arturux et le seigneur Shaggar de Kogeras approchèrent du capitaine Barhung.

- Mes respects Seigneurs. Heureux de vous voir parmis nous.

Le Seigneur Shaggar de Kogeras :
- Bien le bonjour capitaine. Ou en etes vous? Puis rentrer prendre l'intendance de la capitale?

Le Seigneur Arturux :
- ahahahah. Toujours aussi pressez Shaggar. Vous n'avez pas arrêtez de m'en parler pendant le voyage.

Le Seigneur Shaggar de Kogeras :
- oui c'est vrai mais je suis si impatient.

-Et bien mon seigneur, il ne vous reste plus qu'à forcer les portes des enceintes et cette ville vous appartiendra.

- Je vois que vous avez fait du bon travail alors. Je ne manquerai pas d'en parler à LethKha

- Merci Seigneur mais je ne fais que mon devoir.

- Très bien. Alors je vais tout de suite me diriger vers ses portes...Et faire moi aussi mon devoir.

A ces mots le capitaine Bahrung ordonna à certaines troupes de retourner en Quesinae vers la capitale. Puis il demanda à d'autre de le suivre et leur signala qu'ils se dirigeraient vers une autre capitale.