Lettre ouverte à Gabriel, roi de Beila.

Citation :

Messire,

Les provocations, puis les insultes ont plongé nos nations dans un conflit que je ne souhaitais pas, Amk Cherk m'en est témoin. Cependant, l'intégrisme religieux de certains l'a rendu inévitable.

Une armée composée de près de soixante dix milles beilanais, empersois,ciranais et avenspeers à lancé une invasion sur la Gramée. Tous ces vaillants guerriers ont trouvé la mort au pied des murailles de Melit Aend et aujourd'hui, les pleurs et les cris de soixante dix milles veuves et orphelins résonnent dans vos territoires et, je l'espère, troublent vos nuits.

J'apprend maintenant que vous voulez étendre ce malheur au peuple kandrasien en l'incitant à entrer en conflit avec la Gramée.

Messire, nous avons eu quelques tensions avec la Kandrasie, et ceci à cause de son ancien intendant à qui de nombreux graméens devaient leur liberté. Aujourd'hui, cet épisode est terminé et nous n'avons pas de griefs contre les kandrasiens qui, soit dit en passant, ne sont pas Gaëdiens.

J'aurais également pu céder aux demandes pressantes de khans et lacher les hordes graméennes sur le Beilan pour le réduire en cendres, mais je ne l'ai pas fait. Certains khans n'ayant pas attendu mes ordres sont déjà partis pour le Beilan, mais je leur ai ordonné de faire demi-tour et d'épargner vos villes. Nous pensons que le peuple de Beilan n'est pas responsable de l'intégrisme et de l'intransigeance de certains de ses seigneurs.

Messire, vous seul pouvez mettre fin à cette boucherie dont vous savez fort bien que la Gramée n'en sortira pas vaincue.

Comptant sur votre sagesse et en espérant que la bonté de Gaëd pour son peuple ne soit pas un vain mot, recevez, messire, mes plus sincères salutations.

Milagrine Felddottir
Grande Prêtresse d'Amk Cherk
Intendante de Gramée.

Un veil homme appuiyer sur une canne pris la parole d'une voie forte et clair
Dame Milagrine Feldottir
Voila des paroles sae et pleinne de bon sens, digne d'un grand seigneur et dirigant. Je militerai pour votre offre d'apaisement dans tout Beilan en tant que simple homme de ce pay. Mon seigneur vous estime maintenant beaucoup, et n'a plus de griefs en vers la Gramée. Il feras de même envers notre intendant, et tous les seigneurs de Beilan. Je ne sais pas si cela portera ses fruit mais va signe pour un apaisement de nos relation seras entendue.

Il se rassit en demandant a un serviteur du papier a et un encrier, il demanda aussi a un coursier de porter la prochaine lettre a son seigneur en Beilan

"Vieil homme, remerciez votre seigneur pour la confiance qu'il nous fait. Mais il apparait que tout le Beilan n'est pas encore prêt à vivre en paix et que certain de ses seigneurs qui se donnent le titre de chevalier ait décidé de passer sa colère sur Orcum.

Comme votre maître doit le savoir, après quelques années difficiles, Orcum et la Gramée ont décidé de se faire confiance et de s'allier. Dans de telles circonstances, si le gouverneur Waldo me demande mon aide, je ne saurai lui refuser.

J'espère seulement que le chevalier en question sera suffisamment intelligent pour présenter les excuses demandées par Waldo.

Mais je vous retiens, vieil homme. Allez porter votre message et que votre dieu veille sur vous."

Je suis admiratif devant votre sagesse Milagrine. J'ai le plus grand respect pour vous. Le peuple orcumien a toute confiance envers le peuple graméen. Le seul avantage de ce conflit aura été de faciliter le rapprochement de nos peuples.

Nous attendons en effet les excuses du Seigneur Bloudalir qui a attaqué des cités n'ayant pas participé au conflit. Nous verrons ainsi si le Beilan souhaite la paix ou la guerre.

"Eh bien, attendez les" dit le messager qui ne faisait que répéter ce que lui avait dit Bloudalir.

Je pense qu'il reste donc peux de solutios soit le roi du Beilan puni Bloudalir, soit nous punissons le Beilan.

Mais ces paroles n'engage que moi Xerty Khan, mais je pense que mon maitre serait en pleine accord avec moi

Le messager, qui pour la première fois émis une opinion, dit :

"La patience n'est visiblement pas la vertu la plus développée chez vous."

Vous avez raisons mais si vous nous reparler su ce ton petit gueux vous n'aurez meme plus besoin de develloper des vertus, enfin sans votre tete cela vous sera difficile!

Marmonnant.

"Il vous manque aussi la politesse ainsi qu'un Empersois correct et intelligible. Vous êtes aussi incapable d'assumer vos menaces."

Reprenant d'une voix claire.

Mais bien sur, Monseigneur.

Vous devait vous doutez que je peut assez facilement comprendre de quoi font sujet vos marmonerie petit hommes, vous devez surment vous flatter l'egaux en me sortant quelque insulte, amis bien sur sans que je puisse les entendre intélligiblement!
Les laquait de votre espece se ressemble bizarement tous!

je vais surment ou je devrai vous exécuter mes mon esprit prend le dessus sur mon bras et me dit d'attendre quelque peu et puis votre tete roulant sur le sol ne me satisfera point, j'en est vue assez pendant que les beillannais sont venue mourrir en nos marais, pour vous sa sera surment ma bonne vieille pendaisons par les pieds en vous ouvrant les tripes comme nous fesons pour nos traitres!

Enfin je ne sais pas encore je médite sur votre cas!

Le veillard secoua lentement la tête, l'exaspération etais visible

Je suis las de toutes ces prise de bec inutile, on ne peut tenir une discution diplomate et sans insulte sans que quelqu'un vienne envenimé la discution. Donc je vous laisse a vos "discution" je ne suis pas de cet acabie là.
Salutation mes seigneurs et j'èspère vous revoir dans une salle plus acceptable que celle des injures et des menaces.

Il pris sa canne et fit un effort pour se lever en s'aidant de sa canne, il partis sans se retourner.

malheuresement je suis du meme avis que vous, mais vous ne voyez les insulte que quand elle viennent de nous et comme par hasard quand elle vient des perosnnes de vos rangs cela ne vous derange!
Vous n'avez de toute facon jamais etait capable d'entreprendre une discussion ces derniers temps sans avoir un but de provocation ou d'insulte a notre egards!

Cette lettre était adressée à un seigneur particulier, il serait bon de le laisser s'exprimer ...

"Graméens, un peu de retenue s'il vous plait !

Je trouve extrèmement dommageable que par des propos incongrus tant d'une partie que de l'autre, le diplomate du seigneur Mimoza nous ait quitté ! Sa conversation et sa sagesse ma plaisait.

Mais je dois ajouter dans cette salle que Melit Aend viens de recevoir la demande officielle du Gouverneur Waldo pour l'aider suite aux pillages de ce chevalier du Beilan."

Un messager du pays des Rocs s'avança alors et délivra le message de son seigneur :

- Mon maître se réjouit de constater que l'intendance graméenne est toujours porteuse d'une sage diplomatie, plutôt que représentative d'une force brute profitant de toute occasion utile pour libérer la puissante force guerrière de son peuple. Toutefois, il aimerait préciser à votre Lettre que les osts aevenspeers cités ne représentaient que deux milliers d'hommes de sa seigneurie pour la raison dont il a fait mention en d'autres lieux, et qui n'ont rien à voir avec une quelconque agressivité à votre égard. Il avait lui même à l'époque interdit la participation de sa patrie à cette affaire.
Peut être certains osts aevenspeers seront levés dans le cadre mercenarial -et vous savez que même en sa qualité d'Ewsper il n'aurait nul pouvoir pour interdire cette pratique traditionnelle si conduite dans les règles- mais Aevenspir maintient sa neutralité et mon seigneur renouvelle son entente envers sa noble Intendante.

Sur ce, je ne saurais troubler ce lieu qui ne m'est pas dédié, et je vous laisse céant de suite...

Citation :

Madame la prêtresse, fille du boîteux,

Non point que je veuille me mêler de l'affaire des intendants, mais il faut avouer que cette lettre-là, que je tins dans mes mains, n'a en rien les paroles qu'on devrait tenir lorsque l'on veut la paix des peuples. Premièrement, vous vous adresser à un homme mort depuis des années de cette guerre, et vous ne vous adressez pas même à feu Laïan de Beila, mort devant vos portes, pour sûr. Deuxièmement, vous parlez d'un intégrisme gaedien qui rendit la guerre incontournable. C'est prêter fondements aux excuses qu'a formulées votre gouverneur d'Orcum, pour se permettre d'attaquer certaines villes d'Empersiste. En aucun cas la bataille de Melit Aend n'a eu pour but l'idéal de Gaed, mais bien l'honneur, honneur bafoué et entraîné dans la boue par les deux partis. Troisièmement, vous ne semblez pas peu fière de votre victoire à Melit Aend, et paraissez bien hautaine lorsque vous parlez de paix envers les deux factions. Vous auriez retenu les Khans, vous nous auriez sauvé d'une destruction certaine. Voilà beaucoup de termes qui, après nous avoir certifié que vous regrettiez cette guerre, soulignent le contraire. Mais je divague jusqu'à la virulence. Tout cela pour vous demander bien humblement, Madame la prêtresse, de revoir la missive envoyée aux Beilans, afin qu'un jour, un traîté collatéral soit entendu sans honte, pour aucun des intéressés.

Je vous prie, Madame, de bien croire en mon respect envers votre personne et votre nom.
Thierry de Fondblois, Beilan.