Un homme encapuchonné arriva, déposa un papier, qui fut lut par le scribe :
"Une fois sorti de sa tanière, l'Araignée est en danger.
Les pattes repoussent, mais la tête aussi.
La seule façon de l'éliminer est détruire le grenier,
Pour n'en faire qu'une tombe,
Où elle moisira jusqu'à ce qu'elle appelle "Le Tout Puissant"
Qu'il vienne la sauver.
Malheuresement pour elle, le Corbeau l'aura volée,
Poussière elle redeviendra,
Car poussière elle a été..."
C'était le premier paragraphe d'un poème divinatoire.
"Lorsque les douzes coup de minuit auront sonné,
La confédération de l'Araignée
Qui, depuis longtemps a contrôlé les Cavernes
S'éteindra comme le Corbeau l'a été.
Mais, sous une autre forme elle réapparut,
Alors que le grand œil ne l'a pas vue
Et prépare sa vengeance,
En détruisant l'ennemi par coup de chance..."
"Quand la Vipère et le Renard seront aux côtés de l'Araignée,
Aucune chance elle aura pour se sauver,
Car piégée elle est,
Entre les Crocs et l'Œil,
Prendre congé elle devra..."
Les derniers paragraphes étaient comme écrits à la "va-vite". Le scribe put lire
tout de même :
"La mort attend tous ceux qui s'opposeront à l'Œil
Et le seul Puissant prendra le don du grenier
"Tête Pensante" ils ont été appellés,
"Tout-Puissants" ils seront
Par eux le bon choix sera fait
Et la paix règnera dans la Forêt."
"Vous qui lisez ceci
Ne soyez pas idiot
Déchiffrez ce message,
Ce lourd fardeaux
Pèsera tout son poids sur vos maux
Vous, fils de l'Araignée, vous mourrez tous,
Par le tranchant de l'Arme
Votre séjour dans l'arbre ne s'annonce pas de tout repos..."
Enayr
L'homme, encapuchonné, dit ces quelque mots :
"Je suis Oraclès, et ma destinée était de venir vous donner ce message.
Soit, personne ne devait être au courant avant,
Mais je l'ai dit, c'est le plus important...
C'était les dernières paroles de l'Ancien..."
Sur ces mots, il s'en alla en direction d'un bateau...
Menant sur un territoire quelconque...