Attaque d'Ephyne

Mes argument peu developé? Peut etre trouverez vous les tranchant d'une lame graméenne assez developpé pour vous!

Et c'est qu'il me ferait des avances! Gougea, vile perverti, vous merité une correction; j'en parlerai à votre cousine!

Mes fantasme ne vous procurerais nul plaisir, je vous le garantie!

Côté fantasme, j'ai déjà exposé mon opinions, et vous n'êtes ni Empersois, ni très...
Développé sur cette partie basse physique... quel dommage que ces haillons vous moule tant!

Owkars leva la main en direction de Dame Saila.

"Saila, vos piaillements commencent eux aussi à me fatiguer ..." Puis il fit signe à ses hommes, suite à la demande du Karsper, et se releva lentement.

"Bien, nous pouvons donc fermer les portes de cette joyeuse assemblée le temps que les Empersois et moi même rebâtissons le pays. Bâillonnez les prisonniers et trouvez leur un endroit pour qu'ils s'y reposent, capitaine. Pas trop à l'ombre tout de même, mais évitez le luxe des grandes chambres d'Ephyne, cela fera les pieds à notre ami le diplomate, qui a cru bon manquer de respect à ses hôtes ... Mais où ont ils donc été éduqués ?" lâcha t'il en direction de son Karsper.

Puis, reprenant le fil de la conversation avec le capitaine Aevenspeer, il reprit.
"Allez capitaine, emmenez les."

Les manteaux noirs s'approchèrent alors des prisonniers graméens, les bâillonnèrent et les firent sortir de la salle, les emmenant dans une tour d'Ephyne la Belle.

"Pour ce qui est des autres personnes ici présentes, je vous offre le gîte le temps qu'il vous sierra."

Owkars souffla quelques mots à l'un des soldats resté à côté de lui et sortit. Le soldat se dirigea vers le Karsper et lui souffla à l'oreille : "Le sieur Owkars désirerait vous parler en privé, monseigneur."

Pitié raccompagnez moi dans ma cellule, ne me laissé pas avec cette timbré! je n'ai meme plus mon armure! elle a des visions!

ho, en parlant de prisonnier, il y a encore la dépouille du lieutenant de Dame Liara qui jonche sur le sol de mon bureau! Haaa, je suis étourdite ces derniers temps...

Et la Dame quitta l'assemblé

Le seigneur des Marais de Fer vit les soldats s'approcher pour le saisir... Il cracha à la figure d'un Aevenspeer tirant son épée et lui assena un coup de pied qui le fit valser... Il écarta les bras et foudroya du regard les soldats résignés à le réduire à néant...

Il sortit un poignard de sa jambe dans un geste vif et égorgea le prochain qui se jetta sur lui... Il fut submergé dans la seconde et saisit par les cheveux, la tête en arrière les bras dans le dos...

Amk'Cherk vous maudit !

Les Val vous maudissent !

Le sang du troubadour se répandait sur le sol de l'assemblée...

Il avait agi par amour...

Saila, l'alliée du Seigneur Owkars de Kawsr venait de le tuer...

Owkars entendit du bruit derrière lui, dans la salle. Il se précipita vers la porte et vit, avec dégoût, ce qui se passait à l'intérieur. Un de ses hommes lui lâcha en Aevenspeer que l'Empersoise venait d'abattre froidement un représentant indirect de l'Intendante Graméenne. Le seigneur de Kawsr hurla quelques mots en Aevenspeers et revint dans la salle. La Dame Empersoise fut rapidement arrêtée par deux colosses en manteau noir, et ramené de force dans l'Assemblée. La, devant le regard de glace d'Owkars, elle fut forcée de s'agenouiller, pliant sous la force des deux hommes.

"Vous n'êtes qu'une imbécile, Saila. Les mots ne sauraient dire à quel point votre incompétence est grande, et vous avez en ces lieux dépassés les bornes. Je vous banni séant d'Empersiste, et je vous encourage à faire rapidement vos valises et à quitter le royaume, sans quoi je me verrais contraint d'envoyer quelques manteaux noirs s'occuper définitivement de votre cas." Il lâcha ces paroles avec un profond mépris et se retourna sans même un regard.

Un Aevenspeer gisait au sol, égorgé. Cette vision le fit entrer dans une rage qu'il tenta difficilement de contenir.

"Vous n'êtes que des barbares stupides et orgueilleux." grinça t'il entre ses dents.
Le diplomate graméen était solidement maintenu par plusieurs manteaux noirs. Owkars se tourna alors vers le Karsper.

"Faites en ce que vous voulez."

Soit, je m'en irait, mais n'oubliez pas ce que je vous est dit en privé ; ni ce que la Dame Liara a dit: c'est votre allié qui l'a tué, je n'est fait que récupérer mon dû.

Et puis, un graméen de plus ou de moins... Ce n'est pas comme si c'était un Khan, où là, vraiment, j'aurais de gros ennuis.

Bon, au revoir Empersiste, Au revoir La Belle!

Edit de Shaados : Tu es prié de lire correctement ce que les autres écrivent avant de répondre des anneries de ce genre. Liara n'est pas la, et n'a rien dit. Le post de Liara était une sorte de parenthèse faite par un narrateur omniscient, et comme tu as abattu son seul PNJ dans cette salle, elle n'a rien dit.

Aegen regardait tout celà de loin. Il revenait d'une campagne militaire assez violente, loin au nord, en pays Sher, et voilà qu'à son retour il avait été envoyé vers Ephyne, pour y diriger des bataillons.

Non pas que celà le génait. Il était soldat et faisait son travail. Mais ce à quoi il venait d'assister le déroutait. Il s'avança vers le seigneur De Kawsr de sorte à lui faire face.

"Seigneur De Kawsr, j'ai beaucoup connu votre frêre. Vous avez son physique. Permettez-moi d'ajouter que vous avez aussi la même légèreté d'esprit que lui, dans un sens que je ne veut pas flatteur."

il désigna le diplomate Graméen.

"Il y a peu, vous traitiez cet homme de lâche. Voilà qu'il agit en soldat, et maintenant à vos yeux il n'est plus qu'un barbare stupide et orgueilleux. Concernant Saila je peux facilement comprendre votre réaction. Ici, je ne vois que la même chose qu'à l'extérieur : la guerre. Ce Graméen est considéré comme un ennemi, il doit de même nous considérer ainsi. Il se défend alors même que sa situation est désespérée... Et quoi ? C'est ainsi que vous agissez ? Mieux vaut encore face à vous être le plus veule des chiens, on s'en sort mieux."

Il fit un signe aux deux soldats qui maintenaient le diplomate.

"Vous pouvez le lacher, maintenant. Que je sache, il n'a plus d'arme. Allez !"

Puis, aidant le Vasegrois à se relever,

"Nous n'avons que faire de vos malédictions. Nous vivons de la guerre, et il n'y a pas pire malédiction. Gardez-les pour des ennemis mieux nantis. En attendant, évitez de chercher la mort. Les diplomates des marais de fer semblent les plus valables de Gramée, il serait idiot qu'ils cherchent à se sacrifier."

Le seigneur Kemer se tourna vers le Karsper et s'inclina.

"Karsper Arskpel, au nom de mes années à votre service, je demande votre indulgence pour cet homme. Nous avons eu notre dose d'imbécillités pour aujourd'hui, et une mort de plus en serait une..."

Il se releva.

"A moins que vous ne désiriez faire abattre Saila, auquel cas je me ferai un plaisir de retrouver mes talents de bourreau."

"Il n'y a eu déjà que trop de morts dans cette assemblée. Si le fait de voir l'un de vos frères tomber d'une façon aussi lâche, libre à vous. C'est une chose que je ne conçois pas. J'ai fort à faire ici Aegen, et je n'ai pas de temps à perdre avec ces futilités, et encore moins avec vos conseils de mère poule outragée.

Si vous trouvez ça normal de voir vos hommes mourrir, il en est différement pour moi, surtout hors de la bataille. Notez bien que je n'ai pas été pour le fait d'abattre de sang froid ces Graméens, mais vous savez comment réagissent les Mogus et les Arkspel.

Bref, comme je l'ai dit j'ai fort à faire, je vous souhaite donc une bonne journée."

Owkars sortit de pièce, et le premier mur qu'il rencontra entra en contact avec son poing. Qui était ce général arrogant pour parler de lui de la sorte ?

Aegen regarda sans sourciller Owkars sortir de la pièce, puis, ceci fait, se tourna vers le Karsper.

"Ce jeune coq a encore beaucoup à apprendre, Karsper. M'est avis que la proximité de fort Kawsr avec la Kandrasie a rendu la famille règnante trop métissée par quelques traditions Kandrasiennes. J'espère que le trône d'Ephyne lui mettra quelque chose dans la cervelle..."

Il regarda l'assemblée, s'arrêtant sur les quelques Graméens prisonniers.

"Et j'espère que ce ne sera pas du fer Graméen, même si je ne doute pas qu'il y aura des combats. Maintenant, si vous le permettez, je vais disposer, et vous redemande avec insistance d'être clément envers nos prisonniers."

Sur ces derniers mots, il se retourna et marcha hors du Sénat, accompagné par quelques soldats.

Un vieux Aksper planté à côté du Karsper susurra d'une voix rauque à ce dernier.
"Seigneur Iëren, Aegen parle bien et on peut lui donner rai...
- Non. Tais-toi et envoie quelqu'un voir qui est mort. Mes vassaux ne me permettraient pas la mort d'un de leurs fils sans que le sang du drôle coule."

Lügen l'Aksper se dirigea voir le cadavre. (Jet de dés : 3 ! /HRP) C'était un homme de la plèbe. Pas de quoi s'inquiéter. Il revint apprendre l'affaire à Iëren.
"Bien, fais emmener l'homme et rosse-le un peu, pour le symbole. Rejoins-moi sur l'Île et somme Aegen de rester ici. Qu'il combatte un peu. Son indépendance me déplaît. La gloire ou la mort me l'apaisera."

Aussitôt il se leva, suivi comme d'un seul homme par ses lames-liges, qui, la mine sombre, devisaient gravement. Le bataillon sortit d'une démarche lourde et lente et régulière. Direction le Nord.

Aegen, rattrapé par le messager du Karsper, prit connaissance de ses ordres, bougonna, et se mit à la recherche d'Owkars. S'il devait rester à Ephyne, autant qu'il se mette directement en contact avec ce bellâtre sans cervelle comme seuls savaient faire les De Kawsr.