Premiers contacts

Les années avaient passés depuis que le fléau avait quitté les terres Fironkoise.
La vie avait reprit son cour normal et la société s'était reconstruite, étrangement autour des mêmes bases que jadis.
Fironk n'était toujours pas repeuplé et ses habitant avaient encore beaucoup a faire chez eux mais le commandant Kahg décida d'aller voir ce qu'il se passait au dela des frontieres.

Il constitua un groupe avec le seul homme ayant des connaisances en langues étrangères, Joelf dit l'érudit, et quelques soldats.
Ils consultèrent ensemble une carte conservé tant bien que mal.
"Au milieu des terres se trouvait la plus belle ville de retrahant. Il parait que son éclat se voit a plus de 50 lieux. Vous irez la bas et vous prendrez contact avec les habitants, s'il y en a."


Aprés plusieurs semaines de voyage la troupe découvrit des champs. Dans le premier village qu'ils rencontrèrent, les habitants se montrèrent plus que méfiants et même agréssif. Joelf s'y attendait mais il s'inqueta quand a la prise de contact.

Ils continuèrent cependant leur route et au fur et a mesure de leur avance, les sentiers se faisaient de plus en plus larges.

Et puis quelques jours aprés les premiers champs, il la virent. La cité la plus belle du monde. Ils sentirent alors leurs esctomacs se nouer devant une telle beauté, sans même encore comprendre ce que cela impliquait.

Il suivirent donc ce qui était desormais une route avec cette étrange impréssion.

Leur présence suscita de vifs émoits sur les passant qu'ils croisaient et Joelf craignait que cette prise de contact ne se fasse pas comme il l'espèrait. Un regard sur les soldats qui l'accompagnait lui montra qu'il n'était pas le seul.

Son apréhension se renforça lorsqu'il arrivèrent devant les porte de la ville, défendue par des gardes peu amènes...

Le Châtiment avait fait disparaître de l'Empersiste toute l'organisation branlante. C'est pourquoi les gardes qui contrôlaient l'accès à Ephyne et qu'on avait habillés de haillons d'une même couleur, n'étaient que de simples gueux qui portaient une arme. On les avait trouvé digne de confiance, et enrolé comme "volontaires".

Ceux-ci ne faisaient leur tâche sans la moindre conviction, pourtant, quand on vint leur dire qu'une troupe d'étrangers arrivait, un éclair d'interêt illumina les yeux de beaucoup.
On décida d'en prévenir le responsable, qui avertit le sien, jusqu'à ce que Dertil de Crykas l'apprenne.

En apprenant la nouvelle, sa surprise avait été grande.

"-Ah? Des étrangers? Bien, à quoi ressemblent-ils?
-Mon seigneur, c'est à dire qu'on les dit grands et forts. Ils ne portent pas d'insignes distinctifs, mais ils semblent effrayés par le contact avec les villageois.
-Bien, prenez contact avec eux. S'ils comprennent notre langue, faîtes-les parler et amenez-les ici. Offrez leur à manger, ils ne comprendront sans doute que ce language."

Il rit, d'un rire sonore, mais plutôt franc. Pourquoi se préoccuper de l'arrivée d'une caravane, étrangère de surcroît. Il mordit à pleines dents dans une cuisse de chevreuil, le plaisir faisant s'envoler toutes ces questions.

Les gardes n'avaient pas attendu les ordres et essayaient déjà de nouer le contact.

Joelf ordona aux soldats de lacher leurs gardes. Il leva les mains de façon qu'elles soient bien en vu et hors de porté de toute arme, estimant que tout les peuple devait comprendre ce geste.

Puis, rassemblant toute ses connaissances, il chercha la meilleure phrase pour la circonstante et dans une tentative onirique d'expression il bégaya :

"Bonjours a vous... Je m'appelle Joelf. Nous venons de Fironk. Nous venons en paix."

Voyant les regards interloqués des gardes il comprit que son élocution était a revoir...

Il retenta tout de même sa chance, puisqu'il n'avait pas tout dit...

"Nous venons sur l'ordre du Commandant Kagh, de Rhur Donak a Fironk. Il souhaite voir nos deux peuple se raprocher"

Il jugea inutile de dire que sa mission premiere était de constater s'il y avait des habitant.

Les BG sont repris 50 ans après l'ère 2, les fironkois étaient quand même bien ouverts sur l'extérieur à la fin de l'ère 2 ... Je dirais donc ... logique !

Après, pour la grammaire, je laisse faire le créateur du BG

Edit-Warzar : Justement, j'aimerais que les grosses entorses au BG faites en fin d'ère 2a (comme par exemple un ambassadeur d'origine Kandrasienne, alors que la Kandrasie est le premier traître de l'histoire de Fironk) ne se reproduisent pas. Histoire oui, n'importe quoi non.

Fin de la parenthèse HRP.

Le baron Arnaud qui, lassé des constructions qui faisaient rage dans son bourg, passait par là après une chasse à courre. Il était suivi de trois de ses chevaliers, cavaliers habillés d'une maille usée et montés sur des chevaux sans apparât aucun. Lorsqu'ils virent les drôles de personnages accoutrée d'étrange façon, ils s'approchèrent, amusés.
Arnaud s'enquit de la situation à un garde.
"On ne comprend pas tout, mais il dit venir de Fironk, une contrée lointaine..."
Sa curiosité était attisée et, avant que le messager de l'intendant arrivât, il proposa aux Fironkois le gîte.

"Messires de Fironk, seigneur Joelf, holà ! Je vous souhaite le bonjour.
Accordez-moi donc une nuit, que vous me racontiez d'où vous provenez et comment on vit dans vos contrées ! Si vous le voulez, mon fief n'est qu'à quelques lieues...(Le messager arriva)
— Messires, l'Intendant vous invite à venir manger en sa demeure !
— Ah ! s'écria Arnaud, Gaed suit nos pas. Venez donc, que vous nous décriviez vos paysans et vos villes !"

Joelf se sentait de plus en plus mal.
Il avait vraiment du mal a comprendre ce qu’il se disait, et ne pouvait pas compter sur une aide de ses compagnons.
Voyant que le nouveau venu l’enjoignait a le suivre il lui emboîta le pas.
Il voulait apparemment qu’il parle de Fironk. Il était aussi question d’une personne appelé Lintendant et d’une autre, Gaed, qui les suivrai.

En entrant dans la ville et voyant tout ces gens qui les regardait curieusement, il commença à se demander sérieusement si ce voyage était une bonne chose…

On avait averti l'Intendant que les étrangers étaient en fait Fironkois. Ils connaissaient quelques légendes sur ce peuple mystérieux, qu'on disait primitif. Outre les habituels racontars sur les coutumes Fironkoises, Dertil avait appris que les Fironkois n'aimait pas les étrangers, cette peur pouvant trouver une échappatoire dans la guerre. C'est ainsi que l'Aevenspir et l'Empersiste avaient subis les foudres Fironkoises.

Mais l'Intendant ne s'inquiétait pas de ce passé houleux. On disait les Fironkois dénués de mémoire, chose que l'on pourrait vérifier dans quelques minutes. De là où il était, il pouvait voir une vague de gens, se déplaçant visiblement à mesure que les Fironkois montaient vers le château, et il ne pouvait que sentir sa curiosité monter à mesure qu'ils s'en rapprochaient.

Les compagnons avançaient, précédés du baron et suivi d'une bonne partie d'Ephyne...

Joelf fut soulagé de franchir les portes du chateaux, se séparant ainsi de la foule. Il admira au passage la la construction, et du même s'avouer a contre coeur que le bastion de Börm n'était pas aussi impréssionant...

Il furent introduits dans une antichambre mais ne s'y arrêtèrent pas et passèrent dans une autre salle ou ils rencontrèrent l'intendant.

Joelf inspira profondément...

"Je vous présente mes respects commandeur du milieu. Nous venons de la part du commandant Kagh a Fironk. Nous sommes honorés de vous rencontrer"

Et tous cela dans un empersoit a peine maitrisé.