La cité de l'éspoir.

Le soleil est doux sur le visage, les jours heureux semblent revenir. Quelles épreuves Raphëlk et sa famille avait du passer pour survivre, combien de temps avait-ils du se sacrifier, eux les Sidh et leur peuple? Les cités qui avait été pourtant bâtit pendant la catastrophe avaient tenu bon, mais a quel prix? Lorsque le père de Raphëlk, Danenel, avait fondé le village de Selfen-Reisse, tout restait a faire. Hélas, malgré une existence plutôt longue, sa vie, avait été emporté prématurément lors d’une partie de chasse avec son fils, où ils étaient tombé dans une embuscade organisé par sa mère . Et c’est a ce moment précis que l’ont avait vu ses efforts stopper net, lors de la régence de sa femme. En effet, celle-ci, d’origine empersoise, fut frappé de se que l’on nomma a Selfen-Reisse, le vice empersois. Depuis sa tendre enfance, Manda Calassiane, avait été le fait d’un mariage arrangé. Ainsi, son père eu tout loisir de faire l’éducation de sa jeune fille pour qu’il puisse en tirer profit, lorsque celle-ci serait marié et parti en Beilan. Il est dit dans les rumeurs des confidentes, que le père de Manda aurait tenté de gagner du pouvoir en essayant de faire de Danenel l’intendant du Beilan. En effet, la popularité de la famille Sidh aurait peut être permit une montée sur le trône, mais Danenel était trop attaché a sa terre. Et c’est ainsi, que pendant tout le règne de Danenel, les rêves de sa femme et de son beau-père, furent détruits.

Jusqu’au jour où, la mort frappât a la porte de Selfen-Reisse. Seule aux rênes de la cité, Manda Calassiane pouvait enfin assouvir ses rêves de grandeur, elle pouvait toujours essayer de gagner de l’influence. Seulement son fils, qui avait vu, tout comme son peuple, claire dans le jeu de sa mère, ne lui laissa que très peu de temps. En effet, neuf mois après le début de sa régence, Manda fut remercié, puis renvoyé dans la cité de son père, mort depuis deux ans auparavant.

C’est ainsi que débuta le règne de Raphëlk, dans la paralysie totale. Ne pouvant assurer tout seule sa charge, il demanda soutien a son oncle et sa tante, qui lui permirent d’affirmer son autorité sur son peuple, et de renforcer son pouvoir. Les grands travaux d’aménagement pouvait débuter. Pour s’assurer du bien être totale de son peuple, Raphëlk prit le risque de s’isoler, demeurant muet aux demandes extérieurs, omit sa famille. Il fit renforcer sa flotte de pêche, construire un port qui puisse accueillir une flotte plus que respectable, améliora les voies qui reliaient la cité aux autres villes du Beilan.

Et c’est ainsi, qu’après un travail d’arrache pied, Selfen-Reisse, devint l’une des plus belle cité de Retrahan, ainsi qu’une plaque tournante qui permettait d’acheminer de grandes quantités des produits de luxes rares, des matières premières de la meilleur qualité. Le pauvre petit village avait grandit a un telle point qu’il était devenu une ville très peuplée, sa richesse et son expansion culturelle attirait des centaines de petites gens chaque jour.