Retrahant, Ere impériale
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 L'exil de Thomas de Crykas

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Dylan Selden

Dylan Selden


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Localisation : Ephyne, Empersiste
Date d'inscription : 24/01/2007

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MessageSujet: L'exil de Thomas de Crykas   L'exil de Thomas de Crykas EmptySam 12 Mai - 21:41

Thomas de Crykas s'était toujours révélé un homme autoritaire ; ses ennemis le dépeignaient comme un homme cupide assoifé de pouvoir et rempli d'une haine incommensurable envers tous ceux qui étaient en mesure de lui faire de l'ombre. Son règne n'avait pas vraiment duré aussi longtemps que celui de son père mais il resterait néanmoins dans de nombreuses mémoires en Empersiste comme celui qui avait su poursuivre l'oeuvre de sa famille, enrichir son patrimoine personnel et approter fortune et puissance aux flatteurs qui l'entouraient. D'aucuns aimaient à montrer son autre facette, celle d'homme sage et raisonnable qui, malgré ses nombreux ennemis, ses escapades dans des contrées lointaines où il n'apportait que mort et famine, avait su préserver son "empire" des invasions et des pillages. Il avait même relancé l'économie laissée à l'abandon par Dertil en créant une épée de meilleure facture.

Son pouvoir s'était effondré en quelques saisons d'une campagne terrifiante où avaient péri plusieurs dizaines de milliers d'hommes de civilisations, de croyances différentes. Il était de ces généraux que la défaite ne pouvait atteindre et c'est donc "victorieux" qu'il fut jugé par les siens et considéré comme coupable. Mais accuser le représentant de Gaed et le destituer était une chose, risquer la fureur du divin en l'exécutant en était une autre. Il avait fallu trouver un autre remède, punir sans trahir le Dieu qui voit tout et qui entend tout, éloigner un danger potentiel tout en s'assurant de son isolement par rapport à ses fidèles. Pour faire simple, disons que ces gens en avaient peur. Ils sélectionnèrent deux cent hommes pour le garder, deux cent hommes triés sur le volet pour surveiller ses visites, la plupart du temps les interdire, empêcher qu'il contacte ses partisans, abattre tous ceux qui pourraient l'aider de queqlue manière que ce soit.

Ses partisans seraient surveillés un temps, le lieu de son éloignement tenu aussi secret que la date des derniers saignements de la servante du nouvel intendant. Une abbaye quelconque au fin fond de l'Empersiste ferait l'affaire. Aussi isolée que possible, tenue par des moines peu croyants dans la mesure des disponibilités, aucun risque ne devait être pris. L'Empersiste était plus grand qu'on ne le croyait et c'est un peu au hasard que l'Abbaye de Clemance fut retenue parmi de nombreux choix possibles. Elle appartenait à une communauté de moines qui s'étaient isolés depuis plusieurs dizaines d'années, reclus sur les hauts plateaux de l'arrière-pays. On avait cherché trace d'un couvent ou d'un lieu de prière dans les archives d'Ephyne et il s'en était fallu de peu que Clemance échappe aux yeux fatigués des archivistes d'Ostombe. Le lieu parfait pour une détention discrète.

Le seigneur du village voisin fut mis aux arrêts pour manquement aux valeurs de Gaed, on avait curieusement trouvé les restes de magie noire dans ses appartements secrets et ses jérémiades n'avaient convaincu personne. Qui donc aurait bien pu gagner à fabriquer de fausses preuves ? Il fut remplacé par un jeune noble dur venant selon certaines rumeurs du Ciran et de terres avoisinantes d'Ostombe, la cité sainte des gaediens. Il prenait donc sous sa destinée une petite centaine d'âmes qui rapidement, comprirent que son unique raison de vivre désormais était de fournir à l'abbaye de Clémance tout ce dont elel aurait besoin. Après quelques disparitions inexpliquées, ils avaient pris pour parti de ne plus chercher à comprendre pourquoi une vingtaine de religieux passablement avinés mais néanmoins pieux s'étaient soudain mis à manger pour deux cent.

Toutes traces furent effacés sur ce sujet, à Ephyne et rapidement on pensa que chacun avait oublié Thomas de Crykas et que le pays allait pouvoir renaître.
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Hernander

Hernander


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MessageSujet: Re: L'exil de Thomas de Crykas   L'exil de Thomas de Crykas EmptyMer 16 Mai - 19:16

Quelques saisons après l'arrivée du nouvel hôte à Clemance, la vie s'était tournée vers une routine quotidienne. Les villageois travaillaient dur pour l'abbaye voisine et aucun d'entre eux n'était vraiment intéressé à l'idée d'en savoir plus. A force de chuchoter aux petits enfants curieux qu'une armée de fantômes, héros saints de jadis gardaient les lieux de toute intrusion, les villageois étaient parvenus à s'en persuader eux-mêmes. En cela bien aidés par leur seigneur tout heureux de cette explication somme toute bien pratique. Les moines étaient désormais regardés avec crainte lorsque par hasard un d'entre eux se déplaçait au petit marché ou officiait une cérémonie particulière dans la chapelle du village.

Le prêtre local, un homme d'une quarantaine d'années bien tassées, portait crâne rasé et toge défrichée tandis que son ventre rivalisait avec sa foi en taille et en croissance. Chaque cycle semblait apporter à l'un comme à l'autre une étape supplémentaire, les prêches étant de plus en plus vigoureux et lyriques à la messe tandis que les jeûnes n'étaient plus que des souvenirs effacés. Il ne fallait cependant pas le mésestimer non plus, le pauvre homme vivait des heures extraordinaires avec la proximité d'un lieu saint tout près du village où Gaed parlait aux moines et protégeait ses conversations par son armée divine.

Au cours de l’été 417, des événements inquiétants commencèrent à se dérouler dans le village. Ce fut tout d’abord une jeune fille qui disparût, probablement sacrifiée pour éloigner Méloï et ses adeptes, puis une deuxième, puis une troisième. Une nuit où un brouillard s’était étendu sur les quelques masures massées autour de la chapelle, des rires résonnèrent dans les champs tout autour des paysans. Les chiens aboyèrent à s’en rompre la voix et chacun commença ses prières pour Gaed, seul capable d’encore protéger les habitants. Il y eut des bruits de lutte, des cris de douleur et toujours ces chants qui résonnaient de partout à la fois comme-ci plusieurs dizaines de guerriers s’étaient réunis pour punir les empersois de leurs pêchés. Le prêtre les avait pourtant bien prévenus, malheur à qui ne respectait pas assez le Guide, Celui qui Sait et qui Voit tout. Une dizaine de chevaux fit trembler le sol de la place principale tandis que leurs cavaliers, probablement des fantômes chevauchant les montures de la mort se plaisaient à refaire plusieurs passages et à faire hennir leurs montures. Un paysan tenta de sortir pour observer ce qui se passait ; il quitta ainsi le cercle protecteur dressé par le représentant de Gaed au village, la protection du prêtre disparut et il mourut, son corps percé de nombreuses flèches retrouvé le lendemain de cette sombre nuit.

Une rumeur commença à enfler parmi le bas peuple d’Empersiste, rumeur propagée par les prêtres, les colporteurs, les saltimbanques et autres troubadours. Quelque chose se cachait à l’abbaye de Clemance, une chose que Gaed et Méloï convoitaient tous deux et pour laquelle ils se livraient un combat féroce. Les nuits de Clemance faisaient revivre les champs de bataille de jadis. Le bien et le mal s’affrontaient une fois encore en déchaînant des armées infernales dévastant tout sur leur passage.

Hernander, petit noble des environs d’Ephyne se trouvait dans une des chambres de luxure qui parsèment la Belle quand il fut informé de cette rumeur. N’accordant que peu de foi à une démonstration des pouvoirs de Gaed ou de Méloï, il se moqua de sa compagne d’un soir et sortit pour une traditionnelle promenade dans les bas-quartiers généralement cachés aux diplomates de passage. Toute rumeur a un fond de vérité mais qu’est-ce qui pouvait bien être caché dans une abbaye dont personne ne connaissait l’existence et paraissait incapable de situer précisément ? Les abbayes appartenaient au nouvel intendant d’Ephyne mais pourquoi se préoccuperait-il d’une quelconque bâtisse à des lieux du pouvoir et de l’influence de la Belle ?
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Dylan Selden

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MessageSujet: Re: L'exil de Thomas de Crykas   L'exil de Thomas de Crykas EmptyVen 18 Mai - 15:50

Le prêtre Bertrand et le capitaine Fabre s'étaient rejoints à la sortie d'Ephyne. Une dizaine de cavaliers d'Ostombe acompagnaient ce dernier et la petite troupe se mit en route rapidement vers la frontière Aevenspeer. Il avait été convenu d'un retard "inattendu" d'une patrouille empersoise gênée par quelque bande de brigands en fuite avides de chevauchées dans les bois. Une course-poursuite inutile puisqu'ils reviendraient bredouilles mais le passage à la frontière en serait grandement facilité. Les représentants de Selden n'eurent guère à patienter longtemps, dès leur arrivée ils entendirent le signal convenu auquel ils répondirent après un bref regard surpris : les aevenspeer étaient à l'heure.

Leur campement temporaire, sans feux ni chants de guerre pour ne pas attirer l'attention, fut levé en quelques minutes tandis que le commandant de ces barbares s'entretenait avec Bertrand et Fabre. Ils se mirent en route rapidement, chacun chevauchant léger et ne transportant que le strict minimum : épées, arcs et boucliers ne seraient pas de trop pour ce qui les attendait. Cet endroit de la frontière, méconnu des empersois n'était surveillé sur plusieurs lieux à la ronde que par une patrouille occupée ailleurscette nuit là. Pénétrer sur les terres de Gaed fut une partie de plaisir. Ils chevauchèrent toute la nuit pour parvenir au petit matin sur les hauts plateaux de l'Empersiste. Ces terres étaient humides et fraîches, envahies par une forêt étendue et épaisse où ils patientèrent toute la journée Il leur fallut plusieurs nuits pour parvenir à leur destination.

Un petit groupe fut envoyé en reconnaissance, il revint assez tard dans la soirée pour confirmer les informations des empersois : l'abbaye était située en retrait d'un petit village. Ils confirmèrent qu'elle était fraîchement fortifiée, deux murs d'enceinte entourant un cloître et divers dépendances. Beaucoup de bâtiments mais aucune agitation visible de l'extérieur. Pas de patrouilles, pas de guetteurs visibles : personne ne semblait se soucier d'une éventuelle attaque extérieure, ces gens se souciaient plus d'empêcher les évasions que les invasions. les empersois resteraient à l'écart des aevenspeer durant leur "travail", ne souhaitant même n'en avoir aucun détail. Ils seraient appelés une fois que tout serait achevé pour la mise en scène.
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Kallulah Maakan

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MessageSujet: Re: L'exil de Thomas de Crykas   L'exil de Thomas de Crykas EmptySam 19 Mai - 1:24

Les mercenaires, bien entrainés, furent rapidement en position autour de l'abbaye. Les environs étaient surveillés par quelques éclaireurs Mogus tandis que le gros de la troupe s'avançait vers les bâtiments consacrés où se terrait Thomas de Crykas. Un des éclaireurs les plus en avance de la troupe s'approcha de la lourde porte de l'enceinte extérieure de l'abbaye et y attendit ses camarades, écoutant attentivement les mouvements, inexistants, de l'autre côté de la porte. Bientôt les Aevenspeers furent réunis autour de la porte, quelques hommes cernant l'enceinte dans le cas où une de leurs futures victimes tenterait de prendre la fuite.

Bientôt le chef de la troupe siffla quatre fois un rythme court, et peu de temps après la lourde porte s'entrouvrit. Le félon qui les attendait leur ouvrit la porte avec un sourire en coin, avant qu'une lourde épée de facture Kandrasienne ne lui ouvre le crâne. L'Aevenspeer pesta contre l'arme étrangère et fit signe à ses hommes, lesquels dégainèrent tous des épées de même facture.

Il ne fallut pas plus d'une heure aux mercenaires pour nettoyer de fond en comble l'abbaye, prenant de court des gardes peu entrainés et qui ne s'attendaient surtout pas à ça. Il fallut beaucoup moins de temps pour trouver Thomas de Crykas, leur cible. Il fut amené bailloné et lié au commandant des mercenaires, qui donna quelques ordres rapides à ses hommes en leur lançant une corde.

Ces barbares Kandrasiens pendaient ceux de leurs nobles ennemis qu'ils pouvaient juger. Très bien. Thomas serait pendu, puisque tels étaient les ordres. Tandis que quelques rares épées Kandrasiennes étaient abandonnées ici et là dans des cadavres Empersois, le malheureux fils de Dertil fut hissé au bout de sa corde, bientôt pendant sous le porche de l'abbaye. Les arbres étaient trop bas.

Les Aevenspeers soignèrent leurs blessés, réunirent leurs morts, et sortirent de l'abbaye, lançant un dernier regard à cette abbaye où des vils Kandrasiens venaient de commettre un meurtre dans leurs plus pures traditions de déshonneur et de fourberie. Ils furent bientôt proches du campement où les attendaient Fabre et Bertrand. Le capitaine des mercenaires vint au rapport auprès des deux représentants, les informant de la situation dans un Empersois fluide et sans accent.

Le Crykas était mort et les... Kandrasiens... N'avaient fait aucun survivant. Nul doute que le nouveau régent de Kandrasie avait décidé de faire par la force sa justice barbare, en une ignoble parodie de ces procès impies dont ils avaient l'habitude.

L'Aevenspeer termina son rapport avec un sourire narquois. Lui qui se tenait au courant des aléas de l'assemblée d'Ephyne conclut, en imitant de façon forcée l'accent Fironkois, par "Les ennemis de mes ennemis sont mes amis, n'est-ce pas ?"
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Dylan Selden

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MessageSujet: Re: L'exil de Thomas de Crykas   L'exil de Thomas de Crykas EmptySam 19 Mai - 19:45

Trois cent cavaliers avaient quitté la Belle quelques jours plus tôt. Menés par un lieutenant dont chacun reconnaissait avant tout la compétence et l'intégrité, ils avaient suivi les consignes de l'intendant d'Ephyne les envoyant dans les terres du côté d'un petit village où ils devaient retrouver des envoyés empersois de Selden. Leur mission semblait beaucoup préoccuper Dylan qui s'était rendu en personne au sein de la garnison de la cité pour fournir ses directives. Il tenait à ce qu'ils se déplacent aussi vite que possible, en ne laissant leurs montures se reposer que le strict minimum. Ils verraient près de ce village des choses qu'il faudrait taire et il avait confiance en eux pour suivre la voix de Gaed et agir selon les ordres de leur lieutenant. Ce dernier devait avant tout rejoindre un prêtre et un gradé au village.

Leur chevauchée fut ponctuée de peu de péripéties, chacun s'attachant à ne pas traîner en chemin et à pousser sa chevauchée le plus loin possible avant de faire une brève halte. Ils parvinrent au village en question à une heure avancée de la matinée, les villageois s'empressant de venir les observer avec crainte tandis qu'un petit groupe formé de deux prêtres, d'un capitaine empersois et d'un jeune seigneur ciranais s'approchait d'eux. Le capitaine leur fit les salutations d'usage et s'adressa au lieutenant.


"Nous venons nous aussi d'arriver, lieutenant et attendions votre venue pour nous rendre à l'abbaye.
- Quelle abbaye ?
- Clemance, Gaed nous garde, monseigneur Selden ne vous a rien dit ? Nous avons envoyé une missive de la frontière kandrasienne voici quelques jours et avons chevauché le plus rapide que nous avons pu vers ce ... village mais suivez moi, il n'est peut-être pas trop tard. Envoyez des éclaireurs vers l'Ouest et vers le Nord, qu'ils cherchent une colonne de chevaliers kandrasiens portant les couleurs d'Elderine et de l'Ordre d'Erelian."

Ils se mirent prudemment en route, les soldats adoptant une tactique défensive et se préparant à un combat éventuel. Des archers à cheval couvraient les troupes séparées en deux ailes tandis qu'un petit groupe composé de quelques notables du village et des émissaires de Dylan suivait le mouvement d'un regard inquiet. Un cavalier apparût quelques minutes plus tard le visage sombre : "Tous massacrés, dit-il, tous massacrés". Chacun des présents pût alors constater l'horreur de ce qui s'était déroulé. Des cadavres éparpillés dans toute l'abbaye et le coupable ne laissait guère de doute sur son identité. Des armes kandrasienens gisaient un peu partout, les traces sur le sol livraient leur message et ils avaient de plus amené avec eux leurs cadavres probablement pour leur "honneur" si fragile depuis la déchéance des vieilles familles nobles avec l'arrivée d'Alanor sur le trône.

Un ancien bâtiment était entièrement calciné au fond du cloître, c'est probablement là qu'avait eut lieu le plus fort de l'affrontement, des chevaliers kandrasiens avaient dû périr dans la bâtisse tandis que des gardes emeprsois empêchaient quiconque de les déloger. Le feu avait eu raison d'eux mais avait aussi empêché ces fils des plaines d'emmener les corps de leurs compatriotes. On reconnaissait entre les décombres de nombreuses armes d'Elderine et de l'Ordre d'Erelian à moitié réduites en poussière.

Le pendu fut retrouvé sans peine par le groupe horrifié du spectacle. Certains notables avaient le visage livide et le prêtre du village avait vomi tout son copieux déjeuner derrière l'autel de la chappelle de l'abbaye. Ainsi les kandrasiens étaient venus assouvir leur vengeance. L'intendant d'Ephyne avait mis tous ses moyens pour le protéger de ses ennemis en lui offrant le repentir qu'il espérait ; une deuxième vie à répondre de ses pêchés dans la maison de Gaed. Mais les kandrasiens en avaient décidé autrement.
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