La Belle des Etrangetés

[HRP : Rectification : il n'y a pas de famine dans les "campagnes", et il n'y avait pas d'hommes derrière les portes de Börm. Ils vous attendaient, les bougres. Au fait, s'agirait de pas faire passer sa frustration php sur le Rp, hé, c'pas très mature ça.]

HRP/ il y a plus de 100 000 hommes sur deux villes, soit une impossibilité de soutenir assez d'hommes dans le système réparé du bug famine. Donc je tenais compte du fait que les campagnes mourraient de faim et non les villes.

Autre chose, en ouvrant les portes de Börm l'on a trouvé un paquet de monde et on a dit qu'on a pas pu attaqué, vous tendant une perche pour nous décridibiliser.

Pourquoi parles tu de frustration ? L'on a eu ce qu'on voulait... en parti... L'Ham étant compté pour mort dans la missive que tu m'as envoyé, le Grand Tiram aussi. On savait que ta ville et Börm seraient bien garnis. Cette expédition de petite envergure n'était pas vouée à piller Fironk, mais redorer l'honneur Orcumien et rpeiser la situation aussi.

Si tu souhaites que je modifie des choses, on en parle par mp.

/HRP

[Ouais, juste pour Rpiser. Ca me manquait ce genre de réplique. ]

HRP/ texte corrigé selon demandes Fironkoise/HRP

L'expédition eut pour effet la plus belle des étrangetés. En effet, cette procession d'hommes armés jusqu'aux dents, cette armée venue frapper le coeur de Fironk, asséna le coup fatal au culte païen qui tenait encore tête à Faörlihg et ses Salamandres.

Ressituons un peu l'histoire de Fironk. Il était une fois un pays asservi à une puissante famille graméenne. La vie y était rude, car les taxes fortes et le servage difficile. Aussi, sous le joug d'une race étrangère, travaillant durement pour le plaisir de quelque inconnus, les Fironkois attendaient un nouveau Commandeur, un de ces Fironkois puissants qui les libèrerait de l'emprise d'étrangers. Mais au lieu d'un messie vint un nouveau dieu et son cortège de prophète. Leur réputation obscure et guerrière redonna espoir aux Fironkois, et nombre de jeunes gens des cités dominées par la Gramée s'en allèrent embrasser le nouveau culte et se mettre au service des Salamandres. Ce dernier enflait. Peu à peu, les Commandants le rejoignaient et chassaient les adorateurs de l'ancien culte, suivis des dernies féaux des Graméens.

Les prédicateurs de Lihg et la répression de Magnusious des Marais firent leur effet, et les Fironkois rejonirent clandestinement ou officiellement les Salamandres de Lihg. Le caractère messianique de ces personnages pesait lourd dans la balance, comme le fer de leurs épées. Quelques années plus tard, ils renversèrent Magnusious, qui retourna en sa patrie.

A cet instant, les Salamandres fermèrent les frontières et empêchèrent les étrangers d'entrer. Nombre d'entre eux furent chassés ou passés par le fil de l'épée. D'autres, comme les Kandrasiens, depuis longtemps intégrés à la société fironkoise, et une poignée de nobles graméens, utiles en de nombreux arts, notamment l'art militaire, furent épargnés et purent étendre leur richesse avec la bénédiction lihgoise. Ainsi, isolés de tout et de tous, Fironk et ses nouveaux maîtres s'érigea seul. Les Singhalihg, le nom fironkois des Salamandres de Lihg, surveillaient les frontières et avaient le privilège suprême de traiter avec l'étranger. Cette noblesse nouvelle, mi sacrée mi guerrière, constituée des guerriers et des Commandants qui avaient rejoint dès le début les rangs de Lihg le Père , des premiers fidèles et des plus influents personnages, s'enrichissait en vendant sur les marchés étrangers tous ces produits exotiques fironkois qui étaient si cher et bâtissaient temples et demeures à l'effigie du nouveau dieu et pour leur plus grand orgueil.

Malgré ce mouvement massif de conversion et ce nouveau dogme si vite accepté par les Fironkois, peuple de paysans opiniâtres et peu portés au changement, certains Fironkois vénéraient encore l'ancien panthéisme pur. Ceux qui réussirent à échapper aux purges et aux exils se réfugièrent la plupart du temps à Deratus et sa commanderie. C'était la dernière région qui était commandé par un Commandant influent qui n'était pas une Salamandre ou un lihguien. Cette région était une terre malheureuse, car l'esprit nouveau qui avait naquit dans le reste de Fironk - la partie lihgoise - ne s'était pas répandu là, et on vivait encore sous les anciennes traditions de Warzar et des Commandeurs panthéistes. Ici on vivait comme on le voulait, contraint seulement par le Commandant. Ailleurs, on obéissait à de nouveaux maîtres et de nouveaux seigneurs. Des seigneurs qui avaient connu le monde extérieur et qui avaient compris qu'ils devraient adapter leur nation au changement.

Le changement, voilà ce qui caractérisa cette génération lihgoise. On fit venir des architectes et des artisans de Kandrasie, on consulta des lettrés beilanais, on s'instruisit des soldats graméens. Il fallut peu de temps pour que de hautes murailles en pierres de taille blanches apparurent, pour que des temples s'érigent et que des arts aussi divers qu'abondant fleurissent. Les villes grandissaient, les populations augmentaient. La stabilité et la nouvelle hiérarchie socialo-religieuse des Singhalihg permit une meilleure division des tâches et des rôles entre les individus.

Ainsi, par le sang des esclaves panthéistes et l'habileté de cette poignée d'hommes qu'était les Salamandres, Fironk changeait de face. Même si les Fironkois aimaient garder une certaine indépendance - ce qui expliquait souvent l'aire importante des surfaces emmuraillées - les quartiers les plus proches des temples s'élevèrent de plusieurs étages et, parfois, étaient bâti avec des pierres de taille, soutenus par des colonnes de style kandras.

Addonc, Fironk avait changé, et ce dont on parlait souvent dans les cours orcumiennes était la partie païenne de Fironk, cette petite région à la marge du pays, non pas de la terre des Salamandres. A vrai dire, cela leur eut été difficile, puisque les populations, commandées par des hommes qui connaissaient la guerre, s'étaient réfugiées derrière les murs des cités. Aussi, les armées du désert durent se contenter des dernières immondices de Deratus, bien malheureux de ne pouvoir piller les cités de leurs ennemis véritables.

L'armée orcumienne continua donc sa marche, sans chercher querelle à la commanderie de Garwän, que ses chefs disaient le vrai maître des Fironkois et l'auteur des horribles faits dont ils l'accusaient. D'aucuns prétendirent que cela était du mépris, et non de la peur. Mais lorsque les événements de Börm arrivèrent, tous s'accordèrent pour dire que c'était bien à cause de la peur que les Orcumiens n'avaient pas osé défier celui qu'ils disaient l'inventeur de tous les maux du peuple du Désert. Pourquoi un tel retournement ?

Parce que l'armée d'expédition, pourtant forte de plusieurs dizaines de milliers d'hommes outragés et armés, se dirigea vers Börm et qu'une fois les portes ouvertes, Les Orcumiens furent pétrifiés de peur. L'affaire était pourtant entendu. Ils étaient venus pour combattre les hommes qui avaient tué leur Tiram puis reprendre sa dépouille et ses symboles. Mais cela ne se fit pas. Ils restèrent ébahis devant la puissance ordonnée de Lihg, ils écoutèrent les cris de guerre puissants des guerriers fironkois, ils sentirent la terreur secouer leur échine. Là, ces soldats si vantards, ces chefs si vains, ces plans si parfaits, tout disparut et laissa place à la peur.

Ainsi fuyèrent comme ils purent les Orcumiens devant les Fironkois, foudres de guerre. les guerriers du Commandeur ne se donnèrent pas la peine de les prendre en chasse, tant ils courraient vite. Ils avaient délaissé leur Tiram ici il y avait quelques années, ils y avaient à présent laissé leur honneur.

L'expédition et la fuite des Orcumiens avait donc, comme nous le disions, impulsé la plus belle des étrangetés. Fironk était abondant, mais pas assez pour ne pas souffrir du séjour de dizaines de milliers de pendards affamés. Aussi, le pays avait été ravagé. Surtout la région de Deratus et de Kalaÿa, où les récoltes avaient été volées ou détruites.

Les hameaux et forts païens, bien que peu touchés, avaient été délestés d'une partie de leur nourriture. Faire la guerre - ou bien la rêver -, ça creuse, comme disait un fameux général everenien. Ainsi, les maigres réserves laissées plus la récolte préoccupante qu'avaient occasionné l'occupation orcumienne avaient décidé les derniers Fironkois panthéistes à rejoindre le centre de Fironk, vers Börm, où les Salamandres engrangeaient des tonnes de céréales et des cheptels immenses de Yiotas. Cet exode vers les cités lihgoises signifiait la conversion ou la mort, mais la guerre et la disette avaient tant blessé les derniers païens que le choix ne fut pas difficile.

Ce cruel coup du sort, ces milliers d'Orcumiens armés dévastant leur cité, les campagnes alentour et les fuyards inocents avait brisé les rêves des panthéistes, qui espéraient sans y croire au retour du panthéisme. Cette invasion d'étrangers renforça leur haine pour l'extérieur et affermit les liens qu'ils avaient avec les autres Fironkois, quelque soit le culte qu'ils adoraient. C'est ainsi que la dernière poche de résistance s'opposant aux Salamandres se perça et rejoignit Faörlihg et ses fils.

HRP/ beaucoup d'hrp... post à la poubelle /HRP

*** Le calme était rétablie sur Fironk....tout du moins pour le moment. Les Fironkois allèrent pour secourir Deratus mais plus rien ne restait, la population survivante était rassemblé autour d'un autel ou reposait la dépouille du seigneur Connavar, mort parmi ses soldats. Ainsi il en etait finis de Deratus la population enterait les mort avant de rejoindre leurs famille respectives.***

/HRP : j'attire l'attention des MJ sur l'absurdité ou tout du moin le non sens du système de combats. Je comprend bien que l'on doivent "accélérer" le temps pour rendre le jeu "jouable" justement mais pour une chose qui doit être planifié pendant plusieurs mois et a l'époque ou il n'existe pas d'autre moyen de locomotion que la marche l'arrivée des troupes (que personne n'a remarqué alors qu'elle est composé de plusieurs millier d'hommes) + l'attaque de la porte au bélier (700 archer sur les rempart mais il finissent quand même par péter la porte ???)+le combat (des millier d'homme tué en quelque minute on fait toujours pas mieu a l'heure actuelle)+le pillage+ rapt de la population le tout en 46min je trouve ça vraiment ridicule. Bref c'est surtout le fait qu'un de mes troupes(cavalerie) s'est fait massacré car je n'ai pu changer son statut établie il y a longtemps ou même la déplacer vers une ville allié(car les lanciers servent a rien en défense : plus de 7000 cavaliers quand même) qui me reste un peu en travers.

Je pense que la modification de ces paramètre donnerai une grande dimension stratégique a retrahant mais ce n'est que mon avis ;-).
Tout cela pour dire que Dératus restera en ruine je quitte Retrahant jusque au moins la prochaine ère. C'est le dégouts provoquer par cette baitaille qui force mon départ mais de multiple raison comme le cruel manque de temps avec mes etudes en son d'autres.
Bon jeu a tous et gloire a Fironk :p. /BIG HRP

Connavar a écrit:

j'attire l'attention des MJ sur l'absurdité (...) de (...) Fironk

* Joke On *

N'empêche, 46 minutes pour péter 30 K... On a roxé !

Je crois que vous avez mis moins d'une minute pour fuir. Heyhey ! Pas mal non plus hein ? A croire que vous commencez à avoir de l'expérience dans les fuites !

1 minutes ? J'crois qu'on est resté bien 5 minutes devant pour voir ce que l'on faisait.

On a longuement hésité à savoir si on vous laissait une carte en main ou pas, en fait.

Oui, oui, on sait, les soldats d'Orcum sont sans peur ni reproche. Ils sauvent de pauvres Fironkois qui souffrent sans leur faire de mal et ne pillent pas les villes, juste les demeures des méchants, qu'ils indentifient grâce à leur troisième oeil. D'ailleurs, si Rewal est mort, c'était juste une feinte, une étape dans un plan visant la domination du monde par les Orcumiens. Ahlàlà, vous êtes vraiment les meilleurs hein.

On est pas tous comme toi, stoo !

Tu veux dire réaliste ?

ou pas... Bref, c'est qu'une question de point de vue, hein ?

Bah non le réalisme c't'une question de réalisme, aussi asbcons que puisse paraître ce concept.