retour

De retour d’un long exil un homme avancé d’un pas déterminé vers l’everen. Son ancienne terre été bien différente de se qu’il avait connu avant d’en être chasser.
Observant les ravages faites lors de la guerre qui opposé la confédération aux hordes barbares Sequans le seigneur Baltazhar ne pouvait s’empêcher de ressentir une haine farouche même si il ne savait pas vraiment envers qui il en avait à part lui-même.
Accompagner de sa suite et de son fils Karhag il comptait bien reforger une nouvelle réputation dans ce territoire.

Arrivait devant une cité ravagé par la guerre il se retourna vers ces fidèles :

Mais amis nous voilà devant notre destin. Il nous faut recommencer, réaffirmer notre détermination. La priorité est a la reconstruction de se bastion. Nous allons surtout nous occuper de l’approvisionnement en ressources et laisser dame nature nous défendre pour l’instant.

Il s’arrêta pensif. Voila 37 ans que le seigneur Baltazhar n’été pas revenu en Everen. La nostalgie le gagnait. Tan de chose s’était passé pendant son règne mais si il avait été écourté par la traîtrise d’un des autres seigneurs de l’Everen. A cette époque là il était jeune et trop sur de lui-même ce qui entraîna sa perte. Maintenant il été aguerri par l’age et se refaire était chose facile pour peu qu’il ne se fasse pas trop remarqué et son fils l’aiderai dans cette tache.

Puis d’un coup il s’exprima

Arkhan dim voila son nom. Ceci est votre cité donc défendez la avec honneur et courage.

Sur ce la suite s’enfonça dans les ténèbres de la cité.

Un mois après les occupants des ruines avais rejoint le seigneur Baltazhar dans sa quête de richesse et les brigands de toutes sortes avaient eu leurs têtes accrochées à des pieux pour décourager ceux qui n'avaient pas été capturé.

Assis sur son trône Baltazhar pensait a l’avenir de sa cité

Bienvenue à vous.
Le travail qui nous attends est long mais je suis sûr que vous allez m'aider grandement et me voit ravi de votre retour en Everen qui en a bien besoin.
Je m'excuse pour mon acceuil tardif, mais quelques affaires m'ont retenu ces derniers temps.

Un vieil homme entra d'un pas lent dans la salle principale de la cité et regardait le seigneur Balthazar droit dans les yeux pour mieux reconnaitre l'homme qu'il avait connu étant tout jeune, il s'avança encore et dit :

_Bonjour seigneur Balthazar, je suis le fils de feu Subotaï de Haagengord qui vous as servis il y a de ça 40 ans et qui est mort devant les murs de Haagengord pour sauver ma vie, je n'imaginer pas que vous reviendriez de cet exil un jour . Les Evereniens doivent se réjouir du retour d'un de leur ancien intendant, l'Everen prospérer sous votre régne et sous celui de Zbipbip, hélas ce temps est révolu, c'est le temps des guerres .

Seigneur Vonlanthen vous êtes mon intendant et je m'efforcerai de vous aider dans la noble quête qui est de remettre sur le premier plan l'Everen. J'espère que mon expérience nous aidera.

Seigneur Gengis je me rappel de votre père qui été un ami fidèle de l'Everen. Je ne vous connais pas personnellement mais j'espère que vous êtes un digne successeur de Subotai.

Pourriez vous me raconté votre passé ?


Lancegreg avait l'air intriguet .

Seigneur Lancegreg mon passé risque de ne pas vous plaire mais bon je n'es rien a cacher.

En effetj’étais jeune quand je régné et je me suis laissé influencé par un puissant seigneur de l’époque: Galandel d’Empersiste. On avait réuni quelques seigneurs de l’Everen et nous avions pris d’assaut la capitale de la Séquanie qui à l’époque été dirigé par Eklaan et on l’en avait chassé. Puis dans la même année alors que nos troupes rentrées chargées des butins nous nous sommes tous fait chasser par un seigneur de l’Everen qui été resté fidèle au seigneur Zedar et je suis parti en exil laissant mes fils faire leur vie dans ce monde.

Je ne crache pas sur mon passé même si apparemment sa serai le mieux a faire vu la situation mais le passé est le passé et ce qui compte c’est le présent et surtout le futur radieux de l’everen.

Je n'ai rien à vous reprocher , je viens de me rendre compte qu'à cette époque je n'étais qu'un bambin !

Il fuadrait que je refasse restauré les archives de mon pére .

Je vois que vous etes un bon seigneur, baltazhar, vous reconnaissez vos actes et souhaitez effacer ce qu' il c' est passé, enfin c' est comme cela que je l' interprete.

Je vous souhaite un bon retour. Mon pere m'a parlé de votre attaque sur la Sequanie. Bel assaut, le seul ayant fait tomber Joux, il s'est mal terminé pour vous toutefois. Les bénéficiaires en furent Galandel et mon pere d'un certain coté. Le jeune seigneur qu'il etait avait alors la seule réelle armée du territoire. C'est d'ailleurs lui qui a délivré Joux quelques jours apres son occupation, il en est ressorti glorifié.

Sieur Baltazhar je souhaite un bon retour sur les terres de Retrahant, et une bonne chance sur ce qu'il reste des terres d'Everen.

Je m'en rappel bien j'ai fait parti de cette assaut et de la prise de Joux pendant même pas une heure je crois d'ailleur.

Un peu moins il me semble en effet. Un bien bel assaut que c'était, guidé par votre folie. On me qualifie parfois de fou, mais jamais vous ne me verrez courir à la mort en croyant la semer. Vous aviez été aveugles. Tous ; que ce soient vous, heureux de la victoire, que ce soient les Séquanes, trop sûrs d'eux avant la prise de Joux, que ce soit Galandel lui-même, surpris par la vitesse du torrent dans lequel il venait de jeter des seigneurs naifs. Vous aviez trahi votre ancien Intendant, Balthazar, en menant l'Everen vers la mauvaise voie. Il vous a trahi de même auparavant en fuyant pour de futiles raisons. Futilités. Cette ancienne guerre n'était que futilités, et pourtant la plus justifiée de outes les guerres auxquelles j'ai assisté depuis. Nous avons réussi à dépasser le futile, à descendre plus bas, merveilleux. Veillons. La nuit n'est toujours pas terminée depuis l'année quatorze. Nous vivons dans l'obscurité la plus totale sans pour autant le savoir. Une lumière noire baigne nos vies, nos pensées, nos actes.
Et les rares voyants voient ;
Une aube rouge se lève.

Je remarques qu'avec le temp votre folie ne s'est pas améliorée, c'est triste... pour nous car vous, vous n'en êtes même plus conscient.

Triste... Cela est-il réelement triste ?
Vous devez avoir tristesse en quantité pour ainsi en distribuer.
Pardonnez moi, mais j'ai bien trop d'orgueil encore pour accepter une tristesse publique, surtout quand elle ne rime à rien. Vous êtes triste. Comme cela l'est, être triste sans même savoir réelement pourquoi.
Sans même réelement l'être.
En sachant qu'on ne l'est pas réelement ?
Je serais de votre trempe, je vous plaindrai ; du moins, ferai semblant. Et vous me comprendriez ; du moins, feriez semblant.
Mais je ne vois absolument pas pourquoi je devrai vous plaindre. Après tout, je suis fou, n'est-il pas ? Et le monde qui vous entoure est rationnel, certes.