Hiver 185. Une fin d'année placée sous le signe de Xiones

Hiver 185 du calendrier de Retrahant post catastrophe.

C'etait une soirée d'un rude hiver, comme il y en a souvent en Retrahant. Le soleil était couché et les routes étaient rendues presque impraticables suite aux grandes chutes de neiges. Les arbres avaient perdu leurs vert feuillages et n'etaient maintenant plus bon qu'a recevoir la neige sur leurs larges branches. Le cavalier grelottait sous sa lourde armure d'Eria. Son pur sang blanc n'etait lui non plus pas accoutumé à des températures si peu clémentes. La cape aux couleurs d'Elderine qui le recouvrait était désormais blanche, et le vent glacé fouetait le visage du chevalier, le faisant grimacer. "Pourquoi me fais tu endurer cela Ris ?" dit il à voix basse. Il pressa le pas, avançant sur les routes glacées de Retrahant.

Le chevalier avait quitté Elderine il y a déjà plusieurs semaines, et avait pour mission de se rendre en tout territoire du monde connu, même gaedien, pour y dispenser sa nouvelle. Après quelques longues minutes sous la neige, le cavalier apperçu de la lumière provenant d'un grand batiment au bord de la route. "Enfin j'y suis" se dit il. Il savait qu'en cette aurberge il aurait le plus de chance de croiser un grand nombre de notables de Retrahant, de tout pays confondu. Il pressa le pas, impatient de se réchauffer autour d'un bon feu.
Arrivé devant l'auberge, il guida son cheval dans les écuries, ou se trouvait deja bon nombres d'autres chevaux. Il fit le necessaire pour son pur sang, détacha son épée de la selle de l'animal et fouilla dans l'une des sacoches. Il y sortit un parchemin cacheté, referma la sacoche et se dirigea vers l'entrée de l'auberge.

Il ouvrit la porte, la chaleur qui en dégagea le fit sourire. Il entra rapidement, retenant la neige hors de l'auberge. Il salua le tenancier et regarda rapidement la salle, au fond de la piece, une cheminée dont les reflets des flammes donnait des tons d'un orangé léger à sa lourde armure d'eria. "Un bon feu !" dit il souriant.

Se rappelant de la raison de sa venue ici, il se redressa et s'eclaircit la gorge de façon à ce que tous le remarque. Il déroula ensuite son parchemin et lit à haute voix.

" Messires et nobles de tout Retrahant, vous êtes officiellement invités au futur mariage de l'Intendant Shaados de Kandrasie avec la belle Dame Zandras de Kandrasie à Elderine, capitale du royaume. Le mariage aura lieu lors des prochaines Xionides, ou plus precisement durant les premières semaines du printemps. l'intendant à proclamé la jours festifs les quatorzes premiers jours du dit mois. Elderine sera revêtu de sa parure de fête et nombre de mariages auront lieu.

Messires, la Capitale vous ouvre ses bras."

Il salua l'assemblée et se depecha de s'installer à une table pres du feu.

La porte de l'auberge grinca légeremment puis une mince silhouette accompagnée de gardes indigènes et karéens fit son apparition .
Elle était vétue de parures indigènes et de légers voiles rouges .


"Lorsque le mariage aura lieu , sachez que toute ma ville et ses habitants qu'ils soient indigènes ou karéens me suivrons sur les barques qui descendront le Kandrasque jusqu'à Elderine .Même en ces jours où Thane fait souffrir notre peuple , où ces terribles affrontements en ma cité de Lystoka , je vous promet que je viendrais célebrer votre union .

Je ne suis pas en Kara , mais que ceux qui gouvernent les cieux vous accordent leur bénediction . J'en profite pour vous annoncer que le 4ème Apogée se verra reçu par le monde dans environ six mois .

Longue vie au Royaume de Kandrasie !"

Elandrane etait presente dans l'auberge en cette journée d'hiver et elle sourit a l'anonnce ... Ca faisait un moment qu'elle se demandait si ils allaient enfin officialiser leur relation.

- Cavalier restez donc un moment l'hiver est derriere cette porte et le bon feu est present a l'interieur. Je vous offre a boire pour cette bonne nouvelle, ainsi qu'a toutes les personnes presentes ...
Et n'oubliez pas de retour a Elderine de faire part bien sur de ma venue pour cet evenement.

le chevalier sourit à l'intention de dame Elandrane.

"Ma foi madame je ne saurait refuser la proposition d'une si jolie dame ! Je ferais mon rapport à mon seigneur Intendant Shaados n'ayez aucun soucis.

5 hommes entrèrent. 4 d'entre eux vétu de long manteau goudronnés typiquement Aevenspeers et portant la vougue Mogus. Le 5 ème pouvait ètre déroutant pour ceux qui connaissait Araksis il le revoyait avec quelques années de moins. Le 5 éme personnage était Kïmos fils d'Araksis chef de meute des Mogus. Il était, contrairement au autre, vétu trés légérement, une épaisse tunique de laine ouverte laissant voir sa musculature impressionnante pour son jeune age. La neige couvrait ses longs cheuveux d'ébéne et ses vétements. Son visage était orné de peintures tribals au contours difficil à cerner. Le froid ne le dérangeais pas plus que ca sans doute était-il habitué à de si rude climat dans ses montagnes natals.

Il avança d'un pas décidé dans l'auberge faisant signe à l'un des 4 hommes qui l'accompagnait de fermer la porte. Un sourir sur de lui sur le visage pouvait le faire sembler arogant, déli de nombreuses personne de son age.
Sa voix était un peu gutural mais l'accent s'approchait assez du Kandrasien et cette dans cette langue qu'il parla du mieu possible.

-Bonjour, messeigneur. J'ai entendre dire que ce auberge était le meilleur endroit pour rencontrer Kandrasien et autre nationalitées. Je suis Kïmos fils d'Araksis, seigneur des loups Mogus et honnoré de faire votre connaissance. J'ai cru comprendre que Kandrasiens prépare mariage chez eux. Pour menner nos peuples vers la bonne entendre..paix. Je souhaiterai participer au festivitée afin de vous montrer que les Mogus malgrés ce qu'ils ont fait à vous il y'a longtemp souhaitent lier une relation de confiance avec Kandrasiens. Me permettez vous de me joindre à vous ?

Il s'inclina trés légérement, car dans sa culture s'incliner était montrer soumission. Et que nul ne peut soumettre un loup Mogus. Ceci dit il souhaitait montrer ses efforts. Les 4 homme en manteau noir firent comme lui.

Le chevalier se retourna et fut tout d'abord impressioné de voir un seigneur si jeune.

"Bien sur Aevenspeer, mon Intendant m'a donné des directives claires, toute personne voulant y assiter est la bienvenue, même les gaediens. Il a decidé de mettre nos rancunes de coté pour l'un des evenements les plus importants de sa vie. Je vous note sur ma liste messire."

Il sortit une plume et un parchemin et ecrivit les noms d'Elandrane, de Lena et de Kimos d'Aevenspir.

Les bruits des sabots des chevaux se firent soudain entendre à l'exterieur. Les quatre cavaliers mirent pied à terre. La porte grinça sur ses gonds et s'ouvrit doucement. Les hommes entrèrent, Silmadrïn ouvrait la marche, suivit des trois de ses gardes. un bandeau traversait son front et retenait ses longs cheuveux d'èbène. Il portait son habituelle lame courbe à la ceinture, battant sa cuisse avec un rythme régulier. Il portait une lourde cape noire d'apparat et une épaisse tunique de cuir noir cloutée. Il portait aussi un pantalon bleu nuit ample et de bonne facture.
Il salua Les seigneurs Kandrasiens et le chevalier respectueusement. Il s'aprocha de Kïmos et lui serra la main puis lui envoya une lègère bourrade sur l'épaule.

Je vous salus, seigneurs, certains d'entre vous me connaisse, je suis Silmadrïn d'Akel Talbos. Je sais que des divergences m'ont poussé à l'exil. Nos deux nationsréunis, j'épère alors que vous me pardonerez déclara-t-il à l'intention d'Elandrane.
L'heure est heureusement aux réjouissances.

Silmadrïn se tourna vers le chevalier, quelque part ravi que ce ne soit pas le mariage de cette dernière. Si L'intendant Shadoos le souhaite, il pourra me compter parmis les invités.

Un petit homme transis de froid rentra dans l'auberge dans une bourrasque de neige, d'une démarche chaloupé il se présenta devant le messager et, passant d'un pied a l'autre s'en s'arreter dit :

"Le vent porte la nouvelle du bonheur de votre Intendant, à Fironk les sapins bruissent déjà dans leurs épines mouventes l'histoire de ce couple qui s'uni.
Votre Intendant accepetera-il ma présence pour cette fête? J'avoue que jen serais grandement honoré! Je danserais pour lui!"

Dans une pirouette assez élégante pour ce petit homme trappu il tourna autour du chevalier

Le chevalier regarda les deux nouveaux venus tour à tour puis s'exclama.

"Certes messires, vous serez les bienvenue ! De toute façon, je n'ai point le pouvoir de refuser ceux qui veulent s'y rendre, et les instructions de mon Intendant sont claires. Je vous note comme participant aux festivités messires d'Aevenspir et de Fironk."

Il reprit le parchemin et la plume qu'il avait laissé sur le table et ecrivit rapidement quelques mots en kandras, suivit des noms des deux nouveaux arrivants.

Le sourire habituel d'Elandrane disparu pour laisser place a son regard glacé

Silmadrïn il y a des choses pardonnables et d'autre non ... deduisez donc tout seul ce que j'en pense ...

mais rassurez vous il y aura bien assez de monde pour ne point se voir. Neanmoins moi je ne trahirais pas mon intendant et je ne gacherais point la fete a venir vous voir.

Je vous demanderais donc de ne pas trop vous apprecher de ma personne ou de ma citée et "tout ira bien"

Cependant vous serez comme l'a dit ce messager le bienvenue a Elderine lors de cette fete.

Savourez donc votre voyage jusqu'a la capitale car en temps normal je ne pense pas que vous pourriez vous deplacer a votre convenance en Kandrasie ... vous devez d'ailleurs comprendre aisement pourquoi ...

Hypos se leva à l'arrivée des seigneurs Aevenspeers. Il tiqua à la remarque de Dame de Liegor.
"Chevalier, vous direz à votre Intendant que je serais présent à la cérémonie."
Se tournant vers Elandrane :
"Si, Dame de Liegor, il y a des choses pardonnables. Et sachez que contrairement à ce que vous croyez, le seigneur Silmadrin n'a rien du traitre que vous vous représentez. Il a fait ce qu'il croyait juste, c'est à dire essayer de protéger le peuple Aevenspeer, attaqué quelque peu injustement. Celà, votre Intendant l'a compris. Libre à vous de ne pas le comprendre.
Je vous demanderais cependant de ne pas vous montrer aussi agressive. Vous avez tendance à invectiver par trop les seigneurs non Kandrasiens, et refuser toute critique. Acceptez celle-là, et suivez mon conseil. Vous aurez un jour des ennuis."

Le chevalier se tourna vers Hypos.

" Je pense que mon seigneur Intendant sera heureux de vous avoir parmis ses invités messire Hypos. "il nota son nom sur son parchemin, puis mis une note à coté en kandras. L'Aevenspeer se pencha et lui demande ce qu'il venait d'ecrire. Le chevalier lui répondit.
"j'ai mis une note pour mon Intendant, pour qu'il n'oublit pas d'importer de la liqueur de votre pays. Vu le nombre des votres, il en faudra quelques reserves." il sourit.

Le jeune Mogus se tourne vers la dame qui remettait en doute l'honneur d'un de ses compagnon de chasse.

-Dame. Sachez que contrairement à la plus part des Kandrasien cet homme à eut le courage de regarder mon père dans le yeux lors d'une charge. Alors que tous les autres avait pris la fuite, lui courageu et sans peur est resté pour combattre dans l'honneur. Mon père ne ma jamais conter votre présence sur le champ de bataille. Etiez-vous en train de vous coiffer ? .... hum ... Enfin bref, alors que ses "alliés" et "amis" l'avait abandonner il est resté avec ses hommes et a combatut férocement malgrés cette traitrise. Voyez vous le problème differement maintenant madame ? Qui a trahit qui ?

Il donna un petit coup du bout du manche de sa jougue sur le sol et tourna les talon pour adresser un sourir à Silmadrïn.

-Les Aevenspeers ne vous abandonnerons jamais si vous ne nous donnez pas une bonne raison de le faire.

Elandrane recommenca a sourire

voyez vous nous ne le voyons pa avec les memes yeux voila tout. Pour moi meme s'il a couvert la retraite des hommes envoyé dans votre pays il n'en reste pas moi un traitre ... il a fait ce qu'il a cru le plus juste voila tout. Tout le monde fait des erreurs mais nous ne pouvons les pardonner toutes ...

Puis se tournant vers Hypos

Seigneur Hypos etre agressive est dans ma nature ... votre conseil est avisé je le sais fort bien, d'ailleurs vous repetez juste certaines paroles qu'on me dit parfois et j'ai essayé de faire des efforts car comme tout le monde on en apprend tous les jours. Mais je ne peux lutter face a mes impulsions ...

Quant a avoir des ennuis ... bah si j'en aurais je saurais d'où ca viendra et j'assumerais.

comprenez bien que je ne suis aucunement contre les Aevenspeers ... seulement contre certaines personnes ... en malheureusement comme vous pouvez le voir j'ai un autre defaut : je suis rancuniere. Ca va pas empecher le monde de tourner n'est ce pas ?

Cassius penetra a son tour dans l'auberge. Apres s'etre fait resumer discretement la discution par l'aubergiste,alors que celui ci le servait, il ne put que sourire.

-"Du calme, Dame Elandrane, le sujet est plus au rire, calmez votre sang."

Il se tourna vers le jeune seigneur Avenspeer:

-"Quand a vous, apprenez du destin de votre pere, sachez fermer votre bouche. La reaction de Dame Elandrane est comprehensible, alors ne vous laissez pas aller a l'insulte. Ce serait une bonne chose de vous avoir a Elderine, vous pourriez des lors montrer un autre aspect de la famille d'Araksis." Et, levant son verre pour dissiper la gene:

-"Au futurs mariés"

voir Cassuis lui faisait toujours plaisir. Elle prit son verre et l'imita

Au futurs mariés ! Puisse les Dieux les benir.

Sans était trop, on insulté ses compagnons de chasses et un inconnu lui donnait des ordres et des conseils et critiquait son père. Le jeune homme sera sa vougue en main et se prépara et la pointer vers le Kandrasien alors que son autre main commençait à tirer une Trapassa finement ouvragée. Mais il ne put en faire plus, une vougue de posa sur la sienne pour la ramener vers le sol et une autre prennait la garde de l'épée et la rentrait doucement dans le fourreau. Kïmos fit reculer les armes dans une impulsion, puis repris une hatitude neutre, ceci sit sa machoir n'arrétait pas de se contracter et le bout des doigts sur la vougue viraient à la couleur blanche à force de serrer.

Un des 4 hommes en manteau noir lui parla en dialect Mogus, une langue faite de bruit guturaux et de grognements

-Heureusement que certain d'entre nous savent tirer des leçons de leur passé. Au mariés puissent-ils avoir une grande meute et la dirigée dans la paix et le bonheur.

Il pris une flasque de liqueur Aevenspeer et la leva

-En espérant que les Aevenspeers ne seront pas le seul à ... Il continu en dialect Mogus. Et une coup de manche de vougue dans les côtes vien le rapeller à l'ordre alors qu'il regarde l'une des silhouette en manteau avec un sourir hargneu

Galamar ,à qui on avait appris la nouvelle par messager dans son château, entre dans l'aubergue pour fêter comme il se doit cette nouvelle

bonjour à tous, et encore une fois levons notre verre aux mariés.

Puis il paya une tournée à tous les seigneurs présents...

Se tournant vers Kimos :
"Aelt o speers, Kimos. Kanspeers arant kern, ut araenas, kar Mogus... Oui, comme les Mogus..."
Regardant Cassius :
"Vous avez pris de l'assurance depuis notre première rencontre dans cette auberge, et je m'en réjouis. Mais ne jugez pas trop vite Kimos ou son pêre Araksis. Tous deux représentent les Mogus, et le peuple Mogus n'a qu'une seule facette. Quand aux injures contre dame Elandrane... Ma foi, je n'ai vu que la vérité dans ses paroles... Quand à vous, dame Elandrane, sa voix se fait plus sèche vous apprendrez que cette "erreur", commes vous dites, peut facilement être pardonnée. Nous avons pardonné à votre peuple des actes terribles. Nous avons accepté les notions d'honneur des deux parts. Mais ne pas pardonner à un homme qui fut plus une victime qu'un meurtrier, voilà ce que je juge peu honorable..."

"Seigneur Hypos, l'homme dont vous parlez est responsable de la mort des ouvriers d'Elderine, plus de dix milliers d'innocent. Alors permettez moi, meme si comme mon pere je ne garde aucune ranceur envers le peuple Avenspeer, de mepriser souverainement celui qui se refugia dans le donjon d'Elderine alors que la cavalerie Risienne, dont je fais parti, passait sur le corps des maigres forces qui lui restaient. Quand aux insinuations de votre seigneur, quiconque a vu le devenir des forces Empersoises devant Elderine ne peut qu'en ricanner. Dame Elandrane et ses hommes ont fait la preuve de leur vaillance.
Mais brisons la, l'heure n'est pas au passé, mais au futur. Laissons le temps cicatriser les blessures, et comme l'aurais fait mon pere, buvons aux futurs mariés."

les dieux sont mes seuls juges seigneur Hypos apres ce que vous pensez de moi libre a vous ...

Mais je ne veux point que cela ne gache la fete donc cessons cette discutions car je resterais sur mes positions.

Trois hommes d'imposante stature entrèrent dans l'auberge. Ils étaient vêtus de vêtements variés, venant de divers pays. On pouvait voir qu'ils avaient la peau très mate, et leurs longs cheveux noirs tressés en nattes cernaient de grands masques métalliques qui cachaient totalement leurs visages. Celui qui marchait devant s'approcha du chevalier Kandrasien tandis que les autres allaient s'asseoir à une table.
"Excusez moi, chevalier, je viens d'arriver... Mais si j'ai bien compris, votre maître organise une cérémonie à laquelle il convie tout le monde ? Bien, bien... Pouvez-vous m'en dire plus sur votre royaume ?


[hrp : je rapelle qu'à part quelques Beilanais, personne n'est censé savoir ce que c'est que ce masque bizarre. D'ailleurs, je parie qu'il y en a plein qui le savent pas du tout ]

Ayant assister à la scène, il n'avait pas répondu, ne voulant surtout pas s'aventurer sur un terrain aussi peu stable. Son passé s'était effondré, c'était suffisant, il avait été exilé, c'était suffisant. Il tapota l'épaule de Kïmos et fit un signe discret à Hypos. Il fouroya ensuite Elandrane du regard.Puis se tourna vers Cassius.

Ne jugez pas trop vite Kïmos, comme l'a déjà dit Messire Hypos, de son père il n'est que le fils et le successeur. Si vous êtes trop borné pour le comprendre, je ne pourrais pas faire comme vous : superposer l'image du père défint sur le fils. Avec toute l'estime que je lui portais ajouta-t-il pour lui même

"Rassurez vous, je ne juge pas le fils pour les crimes du pere. Simplement, que celui ci ne reitere pas les erreurs de son pere, en s'en prenant a un quelconque seigneur de Kandrasie. Tant qu'il fait montre des manieres de son rang, je ne pense pas avoir quoi que ce soit a lui reprocher."

-Comme je l'es dit il y'a quelques années mon but ultime et de fournir une paix durable à mes loups, peut importe le prix. Dans notre culture une insulte verbale et bien plus grave qu'une atteinte physique. Ne me confondez avec mon père, nous avons en commun c'est notre habilitée à la vougue, notre sens de l'honneur et nore dévotion envers notre meute. Mais en aucun cas la politique. Je ferai preuve de calme si personne ne m'insulte moi, ma famille, ma meute et mes compagnons de chasses. Sinon vous verrez de prés la vougue famillial. Ceci est un avertissement pour tous le monde afin d'éviter tous futur malentendu. Modéré vos paroles, je modérerais mes instincts d'Arak, puisse le Toï'Kom ètre témoin de ma promesse.

Maintenant place à l'avenir, dans la paix, l'honneur et la tolérance.