Retrahant, Ere impériale
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Retrahant, Ere impériale


 
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 L'apogé d'une citée ...

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4 participants
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Mimoza




Nombre de messages : 152
Date d'inscription : 12/03/2005

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MessageSujet: L'apogé d'une citée ...   L'apogé d'une citée ... EmptySam 28 Jan - 4:14

Moi capitaine des troupes des relation diplomatique, vais relater les aventure du seigneur Domont, et ce durant sa dernière campagne de guerre.

Le temps était lourd, cela faisait longtemps que les hommes n'étaient plus sortis du pays. La dernière sortie s'est effectué en Gramée et s'étais terminer de bien malheureuse façon. La formation de l'armée était lente, pourtant la ville était resplendissante, il faisait bon vivre. Venables situer dans le territoire du Beilan, dans la région du Pied Mont, région au relief montagneux. Le seigneur Domont était nerveux, la politique prend beaucoup trop de temps, l'action manquait aux hommes.
Quelques jours passèrent avant qu'une nouvelle agitation change l'ambiance de la ville. Des espions étaient revenus d'un pays hostile, Orcum, ils apportaient des informations cruciales. De source sur une occasion militaire se présentait, la capitale elle-même étais en difficulté, une armée avait réussit a affaiblir considérablement les défense de la ville, mais elle n'étais pas tombé. La ville avait beaucoup de main d'œuvre, et les caisses remplie, que demander de plus, l'appât du gain étais fort. Orcum, allié de l'ennemie historique du Beilan, la Gramée, de nombreux raid parcourai la Gramée, mais aussi en Orcum, le seigneur Domont n'y avait jamais pris part, il n'hésitât pas, il fallait profiter de cette faiblesse pour la gloire et le profit du Beilan.
En Venables les caisse étais aussi bien remplie, mais les rang de l'armée n'étaient malheureusement pas assez nombreux. Si nous voulions profiter de cette occasion nous devions renforcer nos rangs rapidement, l'appel à des mercenaires était donc indispensable. Rapidement deux seigneurs proposent leur service, un renfort confortable était donc disponible, le chiffre estimé suffisant nous nous apprêtions à partir. Le voyage s'effectuât sans encombre, le temps était clément avec cette troupe, et l'enthousiasme des hommes faisait plaisir a voir, et surtout extrêmement motivant.
Arrivé devant les portes de la ville, un champ de bataille, les marques d'une batail récente étaient encore très présentes. L'ambiance se glaçât, l'odeur des corps en décomposition, la vue de cadavre, des trébuchets a terre. Les murailles étaient encore fort, mais de nombreuse trace d'assaut étaient présentes. Une certaine agitation animait la ville, cela est fort normal car des troupes hostiles approchaient de la ville. Mais après observation l'activité militaire ne se faisait que faiblement sentir. Une troupe de volontaire fût constitué, il fallait tester les défenses de la ville. Cent hommes, avec un bélier, et pour mission d'évaluer les défenses de la ville, la mission était risqué, tous pouvaient ne pas survivre, ou seulement une partie, mais ce fût une surprise quand ceux-ci revinrent tous indemne. Tous, aucune perte pas un blessé, le bélier usé, de nombreux coup ont été porter sur la porte mais celle-ci tient bon, l'enceinte avais une capacité de 2000 hommes, son entré étais donc imposante. Même les mercenaire payer pour se battre nous aidèrent dans notre tache, la première porte se brisât. Une seconde enceinte faisait face, avec prudence un test des défenses sur cette enceinte fût fait, identique, pas un archer garder sur cette enceinte. Après quelques coups elle se brisât elle aussi. Un autre surprise nous attendait, la dernière enceinte n'étais pas réparé, la porte étais grande ouverte. L'assaut final fut donner, l'ennemie n'avait plus beaucoup de troupes, la victoire fût notre. Néanmoins un certain respect s'était installé, ces combattants défendirent leur cité avec courage et dévotion. Les mercenaires se payèrent en esclaves, le trésor et les autres esclaves furent pris par le seigneur Domont. En repartant de cet endroit un mercenaire rentrât chez lui, fière d'avoir combattu en ces terres. Le seigneur Domont et le deuxième mercenaire firent route ensemble vers une autre citée sur le chemin du retour. La même méthode fût appliquer, mais les enceinte étais gardé, beaucoup des notre y restèrent, ils avait réussit leur mission et briser les deux porte protégeant le cœur de la citée. Cette fois ci seul le trésor revint au seigneur Domont, les esclaves furent pris par le mercenaire.
A ce moment le seigneur Domont ordonnât le retour au royaume, les hommes étais fier, des richesse et des esclave vont permettre de grand-chose, Venables deviendra une citée des plus importante dans le royaume.
L'accueille dans la citée fût triomphale, une enceinte de 4000 unité étais en préparation, avec les nouvel richesse la ville allait redevenir rayonnante. Mais cette aura de bonheur allait vite s'assombrir.

[HRP] PS : Désolé pour le retard [/HRP]
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Smertrius

Smertrius


Nombre de messages : 29
Localisation : Saffarah
Date d'inscription : 18/12/2005

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MessageSujet: Re: L'apogé d'une citée ...   L'apogé d'une citée ... EmptySam 28 Jan - 11:51

A l'écoute de ce récit, un historien orcumien fronça les sourcils et ne put s'empécher de corriger le récit d'après ce qu'il savait et de ce que le capitaine avait raconté.

Vous tenez là des propos qui me semblent légèrement incohérents capitaine. En effet vous dîtes, et je vous cites "pour la gloire et le profit du Beilan", je ne vous contredis pas sur le profit mais sur la gloire puisque vous reconnaissez vous même avoir attaqué une cité très affaiblies et ainsi peu défendue...en Orcum, celà se rapproche du comportement des hyènes, un animal qui n'a pas la meilleure réputation.

Un deuxième point, vous affirmez que votre seigneur ordonna le retour au royaume suite à votre deuxième pillage. Dans ce cas, pourquoi certains gardes de la cité dans laquelle je m'étais réfugié ont affirmé avoir vu une épée dépassée d'un buisson? certains de vos soldats se seraint-il égarés dans notre désert?
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Mimoza




Nombre de messages : 152
Date d'inscription : 12/03/2005

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MessageSujet: Re: L'apogé d'une citée ...   L'apogé d'une citée ... EmptySam 28 Jan - 17:26

Attaquer une citée affaiblie n'est certa pas glorieux, mais affaiblir encore un peut plus les allié de nos ennemis est honorable et non dénuer de sens. Vous me traitez de hyène alors que je ne vous ait pas insulté, j'ai respecté la mémoire de vos soldats.
Quand a vos vision d'épée sortie d'un buisson je ne sais pas si cela est vrai. Mais par contre il est vrai que mon seigneur a laissé une troupes d'archer en arrière garde pour surveiller si quelqu'un allait nous poursuivre. J'espère avoir répondue a vos attentes.
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Inial

Inial


Nombre de messages : 77
Localisation : Masyaf, Orcum
Date d'inscription : 29/12/2005

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MessageSujet: Re: L'apogé d'une citée ...   L'apogé d'une citée ... EmptySam 28 Jan - 17:43

Un vieil homme, qui commencait à se faire connaître dans l'hémicycle demanda la parole, d'une main fébrilement levée. Attendant que le calme s'installe dans le lieu qui se voulait être celui d'échanges courtois entre les peuples il débuta ainsi son oration.

" Il fut un temps, où Beilanais et Orcumiens se battirent ensemble contre les envahisseurs empersois venus jusqu'à TerresDieu pour y quérir moultes richesses. Le dénommé Kabir était à la tête de son armée, et je me souviens qu'avec l'aide de fidèles Gaëdiens il avait réussi à démanteler les forces armées empersoises perdues dans le majestueux territoire qu'est le vôtre. Cependant, une fois la guerre finie, aucune faveur ne fut faite au coquin Kabir pour son aide précieuse si bien qu'il décida d'arrêter là les échanges entre Beilan et Orcum. Peu après sa mort, le Gouverneur arabite Waldo prit contact avec la Gramée afin d'aider les deux territoires à s'échanger savoir et armées et ainsi éviter d'être isolés en cas de guerre. Cependant cette directive n'avait aucunement été prise comme un contrat mais plutôt comme un souhait de paix entre deux peuples qui se faisaient la guerre auparavant.

Une fois la stabilité d'Orcum retrouvée, la confrérie dont vous faites partie s'est lancée à la conquête d'Orcum au nom de l'envie de gloire. Ne remettez pas en cause mes dires, car sinon vous auriez encore un fief vous appartenant et non pas une quelconque cellule monacale pour vous offrir un peu de repos. Cette confrérie a été défaite avec brio, ce qui vous a conduit à mander des mercenaires aevenspeers afin de vous aider à réaliser quelque chose avec votre plan, excusez-moi de le dire, des plus douteux. Bien heureusement pour vous votre plan à fonctionné, si bien même, que vous avez réussi à enchaîner plusieurs milliers voire même plus dizaines de milliers de nôtres qui, je vous le rassure sont revenus dans le désert une fois votre ville abandonnée.

Je ne comprends donc pas pourquoi mettre cette attaque sous l'excuse d'une alliance avec la Gramée, alors qu'une fois l'Akathaïdah sur le trône tous les traîtés doivent être resignés et complètés avec de nouveaux engagements. Votre acte ne portait donc que la Gloire d'un peuple qui commence à être oublié de tous, sans doute car la guerre civile y faisait rage et que les divergences des seigneurs les forcaient à se faire une guerre bien souvent verbale, n'en ait que la preuve entre le félon Essiopal et les armées intendantes. Cessez donc que vous protèger sous cette envie de faire chuter un territoire pour dire que vous avez affaiblit votre ennemi juré, cela ne fait que porter à confusion vos propos et vos actes si bien que l'on se demande si vous ne déraisonnez point en ces lieux. "

Reposant son céant dans un confortable fauteuil, le vieil homme se fit servir une coupe d'eau venue de Masyaf qui se voulait être bienfaitrice pour le corps et l'esprit.
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Smertrius

Smertrius


Nombre de messages : 29
Localisation : Saffarah
Date d'inscription : 18/12/2005

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MessageSujet: Re: L'apogé d'une citée ...   L'apogé d'une citée ... EmptySam 28 Jan - 17:51

Je ne vous insultais pas, j'ai reçu une éducation.En fait, je faisais une comparaison sur des faits, juste sur des faits, ensuite l'interprétation vous est libre.

Maintenant, pour l'épée, la question de savoir si c'est vrai ou non ne se pose même pas, les troupes Orcumiennes ne sont guère des ivrognes et rien ne vous empêche de vous renseigner auprès de l'un des seigneurs qui ont suivi le votre.

Sur ce, Capitaine, je dois vous laisser, je dois faire mon travail en consignant les faits qui se sont produits.


L'homme salua alors le capitaine et les autres personnes présentes avant de s'éloigner.
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Mimoza




Nombre de messages : 152
Date d'inscription : 12/03/2005

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MessageSujet: Re: L'apogé d'une citée ...   L'apogé d'une citée ... EmptySam 28 Jan - 19:04

Mes seigneurs, je voie que vous avez déja votre point de vue sur l'affaire. Certa ma citée a été punis, pas de cet acte mais les fait sont là, elle n'est plus. Si vous le voulez bien je vais me retirer pour faire mon deuil.
Salutations
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Liara

Liara


Nombre de messages : 573
Localisation : Narcoria, Gramée
Date d'inscription : 11/06/2005

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MessageSujet: Re: L'apogé d'une citée ...   L'apogé d'une citée ... EmptyDim 29 Jan - 3:04

Liara, bien qu’elle se considère avant tout comme une graméenne, se sentait concernée par l’avenir d’Orcum. La présence de son clan pendant de nombreuses années dans ce désert et le rôle politique qu’avait joué son père justifiaient cet intérêt. De plus, le fait qu’un Gaëdien pille la capitale d’Orcum lui était insupportable. Pour ces raisons, elle avait assisté aux explications du Seigneur Domont.

Malgré le départ de ce dernier, elle donna son avis, en espérant que son intervention mettrait un terme aux justifications erronées.


Il est étonnant qu’un Seigneur gaëdien justifie une attaque contre la capitale d’Orcum pour, soit disant, affaiblir les alliés de ces ennemis. Tant d’ignorance est déplorable, ainsi que vient de le confirmer le Sage Raznid, l’alliance entre la Gramée et Orcum a pris fin lorsque mon père, Waldo de Narcosis, décida de mettre un terme à la gouvernance afin de rendre le pouvoir à ceux à qui, il revenait de façon légitime. L’envoyé du seigneur Smertrius, seigneur que j’apprécie, évoquait une hyène, mais ce genre de carnassier ne se nourrisse que de cadavres. Je souhaite de tout mon cœur que ce magnifique territoire n’est pas mort et j’espère que ceux qui ont, maintenant, son destin entre les mains sauront le faire prospérer.

Quant à l’apogée d’une cité, nous venons plus d’assister à sa déchéance. Seuls les mercenaires ont su en tirer profit. Mais cela devient une habitude…

Il est vrai que la bienséance aurait voulu qu’elle aille saluer le sage Rzanid avant de s’exprimer, mais son éducation graméenne lui avait appris à ne montrer aucun signe de faiblesse et elle avait quelques amertumes envers lui. Elle pensait que son père aurait du égorger tous les orcumiens qui contestaient sa gouvernance. Elle avait déjà vu cet homme auparavant, lors de la cérémonie de l’union entre ses parents. Il ignorait alors qu’ils avaient eu une fille avant leur mariage. Son frère, lui, avait été conçu dans les règles.

Sage Raznid,

Vous devez savoir maintenant que je suis la fille de l’arabite qui a toujours été fidèle aux orcumiens, je n’aurai pas les mêmes faiblesses.
Mes propos n’ont fait que confirmer les vôtres. Mais qu’une graméenne confirme vos dires devrait empêcher les pillards gaëdiens à justifier leur besoin d 'esclaves et d’argent par des mauvaises excuses.
Vous avez toujours contesté l’alliance de mon peuple avec le vôtre. Vous nous considérez comme des barbares mais les barbares ne sont pas ceux qui pillent les cités faibles mais ceux qui veulent empêcher la renaissance du peuple orcumien. Vous avez, de nouveau, l’avenir de votre peuple entre les mains, les événements récents m’inquiètent. J’espère sincèrement que vous saurez redonner sa grandeur à Orcum .
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