Fin de la Régence beilanaise

Un Cor sonna. Anyaïs de Blanchelicorne parut alors, fatiguée et parée de ses habits de voyages. Elle s'adressa au Conseil Retrahanien d'une voix faible, mais le fidèle capitaine de sa garde personnelle reprit ses dires en écho de sa puissante parole :

Seigneurs de Retrahant ! Jadis, mon aïeul Estreval d'Aevenspir cédait son trône au beilanais Daaran d'Estiria suite aux implications des commencements de la guerre beilano-graméenne, n'ayant pu concilier son honneur et sa charge d'intendant en cette période troublée. Aujourd'hui, il semble que l'histoire se répète quelque peu, et je vous annonce céder moi aussi mon trône. Une partie du peuple beilan n'a su accepter une nouvelle politique de pair avec une nouvelle Régente, et je suis lasse de cette haine viscérale envers la Gramée. Certes, j'aurais fini par accepter, en tant qu'Intendante, l'exercice militaire que certains craignaient avec horreur de ne plus voir du tout du fait d'une Régente portée sur la paix et l'entente. Toutefois, cela aurait été contre un territoire à notre égal militaire et d'orientation neutre, afin de ne point amener de haine passée. Je tiens rigoureusement à éliminer les vieilles rancoeurs qui ne servent qu'à rancir le coeur de ceux qui les entretiennent, et à me battre sans alliance et contre qui aurait une chance de se défendre. A ce niveau, sans doute aurais-je choisi les terres de Fironk.

Souriant vers la tribune fironkoise, Anyaïs reprit :

Mais ne craignez rien, c'est contre la Gramée, encore et toujours contre la Gramée, que se porte l'ardeur beilan. Le traité de paix instauré par mes soins devient donc caduc. Je prévois donc que les raids graméens qui s'organisaient à cette époque et qui furent supprimés reprendront, ce que veut Beila je suppose, mais je serai redevable envers Gramée de ne point attaquer les terres des seigneurs Horp et Aurelle qui furent de mon coté. Le Comté de Piedmont fut également un soutien inestimable, mais je pense que ses armées iront au devant des vôtres avant que vous ne pensiez à assiéger sa puissante forteresse.

Que les Seigneurs de l'Elbre qui m'aidèrent à faire de leur Royaume une terre d'abondance alimentaire et à stabiliser rapidement les ressources soient remerciés. Si, un jour, vous désiriez repartir d'un nouveau départ, je puis à votre demande revenir vous aider, mais je ne puis me satisfaire de la politique que vous opposez à la mienne. Adonc, puisse l'Elbre me pardonner son abandon. Et puisse Terresdieu, Capitale Royale de Beila, être remercié pour les doux moments passés en ses murs.

Soudain !

Oui, soudain Anyaïs revint. Mais la plupart ne la reconnurent pas. Sanglante, soutenue par quelques soldats blessés eux aussi, elle manqua s'effondrer. Ulyor le Valeureux, son Capitaine, parla à sa place et annonça :

- L'installation de la Régente en Aevenspir s'est déroulée comme prévu jusqu'à ce que... Ah ! Peu importe. L'Ost de la Licorne est morte. Les survivants de l'armée en déroute tentent de rejoindre Gramée. Anyaïs de Blanchelicorne, gravement blessée dans son corps et son idéal, renonce à sa filiation et devient Anyaïs de Kar, qui demande l'hospitalité graméenne. Tout est dit.

Grindel s'avança au devant de l'assemblé

Cher seigneurs de Retrahant, je viens vous annoncez qu'en cet instant, Crineria de Merok est devenue Crineria de Terresdieu.
La politique mené par dame Anyaïs était pacifique et pleine de grandes idées, mais elles ne corespondaient pas vraiment aux attentes des Beilans.
Pour le moment les lignes politiques ne changent pas, Dame Crineria compte s'occuper d'abbord de l'interieur du Beilan, les changements vis à vis de la polithique exterieur arriveront d'ici quelque saisons.

Les rumeurs sur la mort d'Anyaïs de Blanchelicorne étaient certes infondées... La jeune Anyaïs jeta donc un regard reconnaissant et répondit d'une voix toute faible:

- Je vous en suis infiniment redevable mais... Je vous en prie...Accordez-moi votre hospitalité... Si la mort m'a épargné, je ne souhaite ni ne désire gouverner la moindre cité. Que votre intendante soit louée pour son accueil... Je...

Sa voix s'éteignit alors, et elle se laissa porter...

Depuis la tribune Beilanne, le nouvel ambassadeur prit la parole :

"Puissiez vous entendre ses mots Dame Anyaïs.
Je prie Gaed de soigner vos blessures et d'abréger vos souffrances, je prie Gaed pour que vous vous refusiez à vous exiler chez nos voisins, qui vous ont certes déjà acceuilli, mais vous savoir chez eux m'emplit d'amertume.
Ensuite, je vous remercie pour la gratitude que vous avez porté à mon égard, pour votre soutien manifesté lors de mes actes et mes dires, et enfin, pour ma nomination en tant qu'Ambassadeur de Beila, votre dernière décision en tant que Régente du Beilan.
Même si quelques points de vue nous différencient, le respect que j'ai pour vous est inestimable et c'est pour cela que je réitère ma demande, n'allez pas chercher l'hospitalité des Graméens, je vous en prie. Ma citadelle sera vous protéger, et nos moines de l'Evéché vous soigner. Que Gaed vous accompagne en ces moments difficiles !"

Il se tourna maintenant vers tout les Seigneurs de Retrahant.

"Je donnerai pas mon avis sur la prise de la Couronne Beilanne par Dame Crineria entre ses murs, par peur que mes mots soient faussement interprêter, il serait mieux d'en discuter entre Seigneurs Beilans. Tout comme les propos lancés sur les relations entre la Gramée et mon pays, qui me semblent trop hâtif pour être vérifié."

Liara organisa tout d’abord le transfert de Dame Anyais vers la cité de Narcoria en Gramée comme elle l’avait souhaitée. Ensuite, elle s’adressa au Seigneur Grëm.

Vous vous présentez comme l’ambassadeur du Beilan mais des messagers m’ont averti de votre retrait de ce poste. Qu’en est-il ?
En ce qui concerne Dame Anyais, ne vous inquiétez point, les praticiens de ma cité, qui ont su profiter des connaissances gramméennes et orcumiennes en matière de médecine, sauront lui apporter les soins nécessaires. L’Unique veillera également sur elle, mon dieu ne néglige pas des personnes de sa valeur.

Puis, elle élargit son discours à l’ensemble de la tribune beilanne :

Nous regrettons la fin de la régence qui a su amener la paix entre nos territoires et prenons acte de l’accession de Dame Crimeria à l’intendance du Beilan. Je demande une clarification rapide des intentions de l’intendance beilannaise sur ses relations avec la Gramée et ne saurait attendre qu’elle ait résolu vos problèmes internes. Enfin, je souhaite que les seigneurs du Beilan ayant soutenu Dame Anyaïs prennent contact avec moi ou mon intendante.

Anyaïs, se soutenant d'un bâton, avait tenu à revenir parler malgré sa convalescence. Cheveux défaits, elle était vêtue d'une grande cape de laine blanche toute simple, et avait abandonnée toute parure.

Seigneur Ambassadeur Grëm, Comte d'Orgnac, sachez que vous aviez vous aussi tout mon respect... En d'autres circonstances, nous aurions pu faire de grandes choses ensemble, mais la divergence de certaines de nos opinions et, dorénavant, ma situation présente, rendent cette possibilité tout à fait utopique... Soyez remercié pour votre invitation qui me touche profondément, mais je me dois de clarifier certaines choses... Voilà ce qui m'est arrivé au juste, maintenant qu'avec le recul je peux le raconter...

Lorsque je me croyais enfin en sécurité chez mes amis aevenspeers, et que totalement confiante envers eux j'avais laissé mon mur dépourvu d'archerie et privé aussi ma ville de la moitié des soldats de l'Ost de la Licorne, je... J'ai été surprise par cette attaque qui m'a prise au dépourvue et... Je me suis retrouvée presque avec ma seule cavalerie pour faire face aux assaillants, qui étaient de propres frères aevenspeers, guidés par un seigneur que je connaissais bien. Toute ma cavalerie est morte, mais en me défendant héroïquement, et leur courage m'a sauvé de la mort.

Je passais donc toute la nuit à terre, parmi les dépouilles des compagnons qui avaient donnés leur vie pour me défendre, attendant le retour du reste de mon armée. A l'aube, elle était là, et aidée d'une amie d'enfance elle anéantit l'armée ennemie, qui était restée pour s'assurer du tribut imposé à ma ville. Mes derniers fidèles m'ont retrouvés et remise sur pied, mais tant de violence m'avait ébranlé la raison, et je leur demandais de m'accompagner en Gramée, ivre de colère et de vengeance, décidée à devenir si ce n'était l'égal de la terrible Deis de Gramée au moins une ombre lui ressemblant.

En chemin, ma colère s'est dissipée, et je me suis laissé aller à la gravité de mes blessures physiques et morales. Toutefois, j'ai survécu miraculeusement jusqu'à Melit Aend, et l'accueil et les soins de l'Ambassadrice Liara qui vint à ma rencontre m'ont sauvée. Adonc, je suis sauve, mais je renonce fermement à gouverner quiconque, pas même le moindre serviteur, et je passerai le restant de mes jours dans les terres de l'Ambassadrice Graméenne tant qu'elle voudra bien de moi. Ainsi, dorénavant, qui attaquera Liara de Gramée attaquera aussi Anyaïs.

L'Histoire d'une saison est parfois bien pleine... Quelle ironie, n'est-ce pas, en une seule saison la Régente de l'Elbre, entourée de ses treize mil soldats et de ses sept mil chevaliers, ne possède maintenant en tout et pour tout que son cheval, et n'a que lui pour lui donner les ordres qu'auparavant elle faisait respecter par tout un territoire...

Dame Liara, je puis vous assurer que vous parviendrez à trouver la patience necessaire à la remise en marche du Beilan.
J'appréciais beaucoup dame Anyaïs, dois je prendre contact avec vous également ?
Seigneur Grëm, j'aimerais avoir vos opinions sur la situation actuelle, je vous prierais donc de me contacter, merci à vous.

"Chère ambassadrice de Gramée, si vous avez reçu une missive portant une telle information, je doute fort de sa justesse, en aucun cas je ferai défaut à la dernière faveur en tant que Régente de Dame Anyaïs. Maintenant, peut être que certaines personnes mettent en doute mes aptitudes et mes valeurs à être ambassadeur des terres de l'Elbre. Qu'ils s'annoncent publiquement, car je n'en ai pas eu vent.
Quant à votre requête, Dame Crineria de Melrok, car vous resterez ainsi pour moi, je suis préférable à dévoiler mon ou mes avis à tout les seigneurs Beilans, je vous proposerai donc un discours au sein de la Cour de Beila dès que j'y retournerai dans quelques temps."

Puis il s'adressa en privé à Dame Anyaïs :

"Je respecte votre choix qui me désole. Peut être vous reverrai-je à Narcoria, lors d'un voyage diplomatique ou autre à l'ambassade d'Amk'Cherk , en tout autre cas, il me sera difficile de vous revoir en tant qu'ennemi. Que Gaed vous protége."

Gaed ne protège pas les gens qui fuient chez ses ennemis... Au moins on est sûr de savoir pourquoi elle voulais la paix avec Gramée à présent.

Esperons simplement que ses nouveaux amis seront plus indulgent avec elle que ses frères.

Liara leva les yeux au ciel

Comment pouvez-vous tenir de telle propos Seigneur Ezald?

Puis s'adressant aux Seigneurs du Beilan

Votre réponse ne me sastisfait pas Dame Crimeria.

Seigneur Grëm, vous aviez été choisi comme ambassadeur par Dame Anyais et donc je n'ai aucun doute sur vos capacités. Je ne cache pas que je vous trouve trop empreint par le Gaedisme à mon gout mais bon... En fait, je suis seulement surprise qu'on vous ait retiré ce poste.

Dame Liara, je vous ferais juste une remarque comme quoi le titre d'ambassadeur n'a pas était enlevé au seigneur Grëm, et qu'il n y a actuellement aucun ambassadeur en Beilan en attente d'un renouvellement qui se fera après entretien avec le seigneur cité.

Ensuite, je suis désolé que celà ne soit pas à votre convenance mais je crois bien que vous serez obliger de faire avec un petit moment.

Edit-Warzar : Pas de HRP ni de smiley dans H&D

un double malheur viens de s'abattre sur le beilan la fin d'une régnce mener par un dame de haute qualité et la prise de pouvoir par crineria. Cela ne présage rien de bon mais seul l'avenir nous le dira.

Oh, le seigneur Atika vient d'arrivé au Beilan pour piller les petites villes, je supose que c'est un message de paix et d'amour envoyé par la Gramée ?

"C'est avec un certain désarroi que j'apprends que le nouvel ambassadeur du Beilan se nomme Kaev. Non pas parce que je désapprouve ce seigneur, bien au contraire, il est doté d'une bonne et agréable parole, bien qu'un peu discrète. Mais je désapprouve cette décision car elle me déshonnore et m'affecte durement, et je suis aussi surpris que Dame Liara, je n'ai point eu le temps de discutayer avec vous, Dame Crineria, mon soutien était loin d'être gagné, mais vous semblez vouloir définitivement le perdre. A votre guise !

Quant au seigneur Graméen, je vois qu'il n'a pas perdu de temps, et qu'il se réjouit que la paix entre nos deux pays ait cessé. Ah ! Atika, vous ne changerez jamais ! Craignez votre mort qui sera lente et douloureuse !"

Dame Crimeria, je vous avais prévenu les seigneurs graméens ne sont pas patients. Pour cette raison, je vous avais demandé de vous exprimer sur les relations que vous envisagiez avec la Gramée, vous ne l’avez pas fait.
Le commandeur Athanas vient précédemment de résumer le sentiment général en Gramée. N’oubliez pas que vous avez été à l’origine du dernier conflit qui a opposé le Beilan et mon pays et que votre haine contre nous est connue de tous.

Cela dit, l’intendance graméenne ne veut pas la guerre et n’encourage pas pour l’instant les actions contre le Beilan. Nous interdisons même toutes actions contre les seigneurs ayant soutenus la régence de Dame Anyais et son œuvre de paix.

Seigneur Grëm, vous vous trompez, le commandeur Atika ne se réjouit pas que la paix entre nos deux pays ait cessé. Je suis persuadé que si une autre personne que Dame Crimeria avait accédé à l’intendance du Beilan, il ne serait pas intervenu en vos terres.

Manquant s'étouffer, Anyaïs répondit à l'intendant empersois :

- Je vois là la piètre estime que vous me portiez ! Je m'en désole ! Sachez que la paix avec Gramée ne fut conduite par mes soins que dans l'intérêt beilan, et non le mien ! Sachez aussi que je ne considérais aucun pays comme mon ennemi, et vous voir penser ainsi me confirme qu'il valait infiniment plus m'exiler en terre graméenne qu'en terre empersoise ! Je...

Elle chancela, la faiblesse de sa convalescence lui empêchant finalement la colère... Se calmant donc, elle reprit, s'adressant finalement au Comte du Piedmont :

- Hum... Vous ne devriez point trop blâmer les graméens; je dois vous préciser que le seigneur Atika faisait partie des seigneurs de Gramée s'apprêtant à fondre sur Beila au commencement de ma régence, et dont ma position calma les troupes. Il était donc prévisible que l'accession au pouvoir beilan du parti belliciste amène telle situation. Et, pour ma part, ce n'est pas faute de n'avoir pas tenté de calmer cette haine stupide. Comme le précise l'Ambassadrice, je suis persuadé que le Khan Atika aurait préféré me voir rester sur le trône pour maintenir la paix.

Seigneur Grëm, mon message était explicite, le seigneur Kaev est l'actuel ambassadeur, pour des raisons de commodités et d'organisation, lorsque les choses au sein du Beilan seront en place,l'ambassadeur sera élu par le peuple de l'Elbre et changera toute les cinq années, malheuresement pour le moment, vous vous faîtes désirer, et je ne peux que trop rarement communiqué avec vous, c'est pourquoi j'ai préféré mettre à ce poste un homme que je peux voir régulièrement.
Le poste d'ambassadeur ne représente à mon gout que peu de responsabilité, c'est pour celà que j'ai pris la décision de le faire changer tout les cinq ans.
Sachez néanmoins que je ne vous oublis pas, même si notre entente n'a jamais était des meilleurs je sais très bien que vous êtes l'un des plus grand seigneur Beilan, et vous reconnait comme tel. C'est pour cette raison que je pensais à un poste plus fixe pour vous.

Se retournant vers Liara

Et bien si le peuple Graméen n'est pas patient, il a interêt à savoir que moi non plus, un assaut ne serait ce que du plus petit chien des marais sur leterritoire de l'Elbre et la guerre sera officiellement réouverte.

le Commandeur Atika arriva a l'assembler, aucune tache de sang sur sa belle armure.
les bras lever sur les coter, un grand sourire au lèvre, il dit :

mes amis graméens voila qui ai fait, une petite escapade en pays beilan m'a redonner une petite jeunesse, je me suis bien amuser en accompagnant mes valeureux guerriers.

je suis passer dire bonjour a ce cher (éternue) qui je crois avait abandonner son royaume de retrahant pendant que mes frères mourrai sous la famine et je suis allez frapper a la porte de l'intendance du moment pour dire un p'tite bonjour, rien de très bien méchant et nous voila encore a entendre de la bouche de crineria "du plus petit chien des marais", revoilà les insultes. enfin avec crineria a la tète du beilan nous savons au moins a quoi nous en tenir.

puis il ce dirigea vers la tribune graméenne où il tomba à la renverse à mi-chemin de son siège, pris une nouvelle fois d'un un spasme d'une de ces nombreuses maladies vénériennes qui touchaient moult habitants du royaume des marais et du reste du monde.

Ah, vraiment, quel homme cet Atika.

ha ha ha

Les manifestations de masse dans lesquelles agissent les autres seigneurs doivent être acceptés par ces derniers. Or, je n'ai vu aucun refus, mais aucun acceptation de la part des seigneurs mentionnés.

Comment avoir de l'estime pour quelqu'un qui a casser les liens entre mon territoire et le sien ? D'autre part vous savez aussi bien que moi que votre exil en Empersiste était impossible : vous n'étiez pas la bienvenue. Cependant il ne sert a rien de se battre là dessus, vous êtes a présent mon ennemie, comme tous vos nouveaux frères et je n'ai jamais eu de respet pour mes ennemis... peut-être a cause du choix, allez savoir.

Si vous vouliez tant que ça le bien du Beilan, il fallait assurer une personne pour vous suivre à la direction de ce trône, vous avez préférez semer la zizanie, c'est sûrment choses faîtes et la nouvelle intendante se trouve être la meilleur ennemie de vos amis, mais c'est indirectement votre choix.

Sieur Atika, venez prendre santé chez moi, cela me ferait vraiment plaisir, hélas vous ne pourriez plus venir vous vanter ici par la suite... si vos "valeureux guerriers" ne valent pas mieux que de piller un petit bourg, il ne mérite pas un aussi "grand" chef que vous. Et n'oubliez pas d'amener Anyaïs, je ferais ainsi d'une pierre deux coups.

Etonnée, Anyaïs reprit d'une voix fatiguée :

- Ainsi, vous m'en voulez au point de vouloir me tuer, alors que vous savez que je n'aurais désormais aujourd'hui comme demain pas même un seul soldat pour me défendre ? D'autant plus que je ne suis coupable d'aucun des deux faits dont vous m'accusez. Je n'ai cassé que la guerre qui portait un lourd préjudice à mon peuple qui avait grand besoin de se reprendre et de réorganiser la conscription de l'armée beilane; si cela vous paraissait suffisant pour établir la rupture de toute relation, vous n'avez qu'à vous en prendre qu'à vous même. Ensuite, si je n'ai pas nommé de successeur, c'est que je l'ai cherché depuis le jour de mon arrivée mais ne l'ai pas trouvé. Le Comté de Piedmont en aurait eu les capacités évidentes, mais n'en était pas vraiment enthousiaste, bien qu'à l'avenir il investisse en définitive peut être la Capitale, je ne sais.

J'aurais pourtant pensé que la rapide investiture de Dame Crineria vous comblerait d'aise puisqu'elle signe la réouverture des hostilités que vous recherchez.

Mais allons... Je n'ai pas encore la force de polémiquer sur ce sujet, et quand bien même je l'aurais, je n'en aurais point le désir. C'est seulement un coup bien bas et bien triste de m'accuser d'avoir instauré la paix en sous-fifre du gouvernement graméen. Vous, vous êtes pire qu'un graméen pour n'avoir ainsi aucune pitié envers ma condition présente.

voila les choses s'eclaircir quelques seigneur graméens lancait athanas;

Alors qu'il y a quelques temps les empersois nous demandait audience pour un traité de paix ou du moins un cessz le feu du fait que leur plus précieux allié le beilan devenait plus resonnable a notre égard les choses ont bien évoluer et de la prise de pouvoir de crinéria en beilan nous voila de nouveau avec les mêmes arrogance que fut un temps certains seigneurs ne se serait pas permis.

Bien a vous vous voila réunir l'ensemble des gaediens maintenant vous pouvez reprendre vos hostilités je supose. Pourquoi ne pas être allé demander le trône du beilan vous même empersois puisque la personne qui s'y trouvait ne vous convenait point. 2tait pas lacheté ou bien aviez-vous peur que la majorité du beilan ne soit plus derrière vos convictions.

J'entraine deja mes troupes en vue d'un futur conflit car votre arrogance retrouvé je ne vois point la paix a l'horizon.