Retrahant, Ere impériale
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 Beilan

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Warzar
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Warzar


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MessageSujet: Beilan   Beilan EmptyDim 21 Mai - 15:51

Citation :
Le Royaume de l'Elbre.

Il a pour capitale Beila, la ville sur l’eau. Beil, dirons nous, le royaume de l’Elbre, est une grande terre trés longue mais moyennement large.
Le royaume est en fait les terres environnantes le fleuve de l’Elbre. Il y a plusieurs régions sur lesquelles l’Elbre passe.
Tout d’abord, il prend source en les froidmarches, ou les montagnes ou encore les Glacées. On raconte que cette région est en fait le Mont-Monde. Lors du grand séisme, les montagnes entourant les plaines de Séquanie auraient engouffrèrent ces terres qui, elles mêmes, tombées enfoncées dans un immense goufre. Ainsi les Glacées serait le Mont Monde et les les anciennes montagnes-frontières de Séquanie. D’ailleurs , quoique trés dispersée et peu nombreuses, la population est Séquane, d’aprés les rares anciens.
Cette région n’en est pas vraiment une, souvent on la regroupe avec le Piedmont. LePiedmont est tout simplement les terres se trouvant au pieds de ces montagnes.
De vastes fôrets s’y trouvent, et les mines aussi. Les populations et seigneurs sont, dirait-on, des Séquanes et des Rohrims, avec , bien sûr, des Empersois, peuple récurent en retrahant. La langue est un mélange du Séquane et du Rohrim. On remarque que leurs langues originelles se ressemblent beaucoup et en de nombreuses consonnances, à part si leurs anciennes relations ( domination des guerriers Séquanes lors de l’Empire Séquane en l’ère 1 ) en sont la cause.
Le piedmont est donc une terre de bois et de paturages montagnards, il y a peu d’agricultures, mais les chèvres et bestiaux de montagnes sont la principale nourriture. D’ailleurs, le vin du piedmont a une réputation non-négligeable.
Ainsi, en ces terres, l’Elbre est encore une rivière, souvent rejointe par plusieurs autres. Aprés avoir traversé les foréts du piedmont, l’Elbre arrive en les plaines de Beil.
Les plaines centrales, ou les plaines, sont la région la plus grande du Royaume de l’Elbre. La rivière se transforme en fleuve, et de grands champs se voient à perte de vue. On y trouve de nombreux moulins à eau sur les fleuves du Royaume.
Quoique trés dispersée pour l’instant, les villages sont prospères, paisibles et bien nourries. Le language est le même que dans le Piedmont, un Empersois mélangé au Séquano/Rohirrim. Les grandes terres et les traditions de la population a favorisé l’immersion d’une nouvelle noblesse, guerrière et féodale. De plus, la religion gaedienne, religion officielle dans le Royaume Beilan, est un autre fondement de cette aristocratie de guerriers libres, souvent descendant des puissants barbares et autres, mélangés aux coutumes Empersois, Gaediennes et courtoises. De cette nouvelle classe sociale sort de nouveaux guerriers, les chevaliers. Un code d’honneur rigide et des principes inscrits dans les moeurs font de ces nobles les principaux defenseurs du royaume.
Mais le Royaume de l’Elbre ne s’arrète pas là, le grand et bruyant fleuve continue jusqu’à la capitale Beilanne, Beila.
A la limite des marécages et des plaines propères se trouve Beila. Une grande science de l’eau et de sa force permet à la capitale de disposer d’un système d’égouts accroissant une population déjà nombreuse. De grands moulins et autre batiments construits autour de l’eau permettent à cette cité d’être dominante dans l’économie de Beil.
D’ailleurs, Beila est construite sur un ancien marécage. Alors qu’ils auraient dû les asséchés, il les ont purifiés et ont construit la capitale dessus.
Quoique encore faible, la ville développe un commerce des batiments fluviaux. Parcourants l’Elbre du Nord au Sud, ces bateaux déplacent les denrées du nord ( charbon, fourures, or ? argent ? fer, autres...) vers le sud, et vis versa.
La population de cette partie du Royaume est en grande partie empersoise et, facteur et preuve du début de richesse de la cité, quelques succursales Tulkas s’y sont installées.
A ce moment, l’Elbre se sépare en plusieurs rivières. Puis, ces dernières, se fondent dans la terre. C’est ici les marécages, ou Mornemares. Comme encore beaucoup d’endroit dans la plaine, cet endroit n’est qu’un énorme refuge pour lépreux et brigands, et de grandes landes humides et sombres. De grandes légendes chevaleresques ce sont installés ici, comme quoi nombres chevaliers auraient vaincus terribles Serpents et monstres en tout genre. Mais d’horribles rumeurs trainent sur ce lieu de misère et de Meloï. La route royale, suivant scrupuleusement la plus grande rivière de l’Elbre qui traverse Mornemares.
Puis, enfin, le Delta, le Sud. On arrive aux côtes, grand carrefour des marchés et marchandises. Ici, les seigneurs féodaux sont moins influents, et les patriciens et princes-marchands sont plus puissants que les barons du delta. D’ailleurs, de nombreux marchands ont rachetés des terres à d’anciens seigneurs endettés, n’ayant pour terre que de grandes mares, prolongements de Mornemares. Ces marchands les ont asséchés et fait de grandes exploitation agricoles, vendues à bon prix lors des guerres et des sièges, dans le nord.

Citation :
1- la Population

-Piedmont: Séquanes et Rohrims, quelques landiens, une partie d’Empersois.
-Plaine: Empersois et Rohrims, alariens et quelques cavaliers Séquanes. Certains marchands ombosiens et Tulkas, remontant le fleuve grace aux bateaux à marchandises.
-Mornemares: population mélangée, peu de monde, peu de villages et bourgs.
-le Delta: Ombosien, Empersois en forte majorité( originaires d’Hérion), Tulkas, Héosiens.

Citation :
2- le Language

-Piedmont et plaine nord: un mélange de la langue Empersoise et Séquano/Rohirrim.
-Plaine de Beila: Empersois, et quelques variantes avec du Séquano/Rohirim. Aussi de l’ancien Ephynois ( genre de latin) pour les clercs.
-Mornesmares: -
-le Delta: langue officielle: Empersois pur.
langue marchande: Héosien ( mélange d’Empersois et d’Ombosien )

Citation :
3- Culture, Histoire

La culture vient directement de la population. Le nord reste avec de nombreuses traditions guerrières et touchant l’honneur.
Aussi, la courtoisie et la pratique Gaedienne est valorisé.
Les deux grands mouvements traditionnels, quoique séculiers se sont amalgamés et ont été soudés grace au pouvoir féodal, commun au deux peuples.
La chevalerie est la mode du Royaume. Quoique guerroyeurs, ils sont Gaediens, ils doivent pliés aux contraintres de cette religion.

Citation :
4- Les seigneurs

Plusieurs sortes de seigneurs. Les seigneurs des plaines et du Piedmont se ressemblent beaucoup, et, quoique faibles, les seigneurs « traditionnels » du Delta sont les même que les Piedmontais.
Mais de nouveaux princes se sont installés en le Royaume de l’Elbre.
Les princes marchands: souvent au sud, ils vivent à présent du commerce mais aussi des terres qu’ils ont rachetés aux anciens seigneurs.
Les protecteurs Gaediens: partout dans le royaume, ils sont les maitres de guerres des légions de moines armés et les chefs de leur forteresse-monastère, ils ne se mèlent pas des guerres intraseigneuriales, mais n’obéissent pas non plus au roi Beilan. Ils sont sous les ordres du maître d’Ephyne.
Les moines Gaediens: des citées monachistes ou cathédrales. Les dirigeants de ces cités sont souvent des moines de l’ordre ou de l’église Gaedienne ou bien un évêque du Royaume. Les évêques ont souvent une influence sur les seigneur Beilans.
L’archévêque: c’est l’émissaire du maître d’Ephyne, il peut poser l’excommication sur les seigneurs, mais pas sur le roi, il peut imposer un véto.
Les patriarches Tulkas: voir les Tulkas.

Citation :
5- La religion

Le royaume de l’Elbre est Gaedien. Au nord comme au sud, les seigneurs non Gaediens sont acceptés, mais une dîme spéciale, appelée le sceau, leur est imposé Ils se doivent de payer un impôt de plus que les Gaediens.
Le Gaediannisme Beilan est plus une sorte de polythéisme qu’un dualisme. Les saints et les patrons font souvent office d’idôles pour les seigneurs du nord. D’ailleurs on a déjà retrouvé des Sainte Kare dans les plaines. Dieu n’est d’ailleurs plus vu comme le frère de Meloï mais son ancien père et maître.
Le roi est un représentant de Gaed en son royaume.
L’Archévêque est le deuxième grand puissant du clergé, il a de l’influence sur le roi et peut déstituer de ses fonctions le maître d’Ephyne lors d’un cercle d’Archévêques, si le vote est unanime.
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Warzar
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MessageSujet: Re: Beilan   Beilan EmptyDim 21 Mai - 15:51

Citation :
Texte d'ambiance

C’était un jour comme le autres sous le soleil du Piedmont. Sool se levait,le bel astre faisait une entrée timide dans le ciel, entre les collines et quelques nuages.
Encore trop jeune pour travailler aux champs ou, puisse Gaed, père des dieux, l’en garder, aux mines du Piedmont. Le jeune enfant avait encore le droit de vaquer dans le petit village ou bien travailler avec ses soeurs et cousines à faire des paniers. Bien-sur, ce n’était pas digne d’un descendant de Lug, même un enfant. Les traditions Séquanes étaient restées trés fortes dans le Piedmont, pays au pied des Froidmarches, et les jeunes, dès la jeunesse, se battaient avec des batons de bois d’abord assez souples, puis, à mesure qu’ils grandissaient, plus durs et longs.
Sool se dirigea vers une réserve de nouriture du Seigneur, en quête de ses compagnons de batons. Il les trouva en cercle, avec des mines de conspirateurs.
« ’faites quoi ? z’en faites de ces têtes!
- Chuuuut! » lui intima Marx, le plus grand de la bande.« Par Lugh, tais toi ou j’t’égorge! »
Le blasphème, ainsi que la provocation du garçon ne laissa pas Sool de marbre, qui se jeta avec rage sur Marx.
« Blasphèmes! Criaient certains.
- Fanatiques ! » rétorquaient en gueulant les autres.
Le bruit que produisit la bagarre attira les paysans les moins enfoncés dans les champs de blé.
L’un d’eux arriva et attrapa sans douceur Sool tout en chassant de sa bèche l’autre.
« Qu’s’y passe là ?! Rugit-t-il. z ’êtes dans l’moulin au Seigneur, v’lez des coups d’maul dans la tronche ?
- C’est c’te Confédéré qui crie comme une truie, y respecte pas Gaed!
- Tu ments sale batard! »
Avant que la discussion ne finisse encore une fois en coups de poing, le paysan décida qu’il valait mieux prévenir que guérir, et cingla à Marx une baffe qui claqua. L’adolescent fut projeté à terre par la tape ’’préventive’’.
« Rhaaa! J’dû frapper ‘peu fort...Grogna la brute, alors ? Qu’s’y c’est passé ici ? »
Tous se mirent à brailler en même temps jusqu’à ce que le gueux offre quelques gifles bien placées.
« C’est Marx, il l’a provoqué, le Sool, et pis il a blasphémé, il a crié Lugh tout fort.
- Et alors ? dit n autre paysan qui était arrivé aprés la tournée de la brute. Il a raison, y’a qu’Lugh qu’est bon
- Blasphèmes ! commença un autre paysan.
-Fanatiques, crièrent certains.
Les paroles allèrent se transformer en gestes lorsque des hommes d’armes du Seigneur arrivèrent du regroupement.
La situation aurait été la même avec les hommes d’armes si le père de Sool, messager du Seigneur, n’avait pas fait silence. Son fils raconta son histoire, puis se fut à Marx et enfin aux autres enfants.
Ne pouvant faire la vérité sur cette affaire, tous réclamèrent la voix des lames, pour les Lughiens, ou le jugement de Dieu, pour les Gaediens.
Le père, quoique forcé, accepta ce duel avec joie. La population du Piedmont était bien souvent violente et les guerres n’arrangeaient rien, tous ces évènements avaient déteints sur les esprits de la populace et des seigneurs.
Sool prit pour la première fois une épée.


...


Il était à présent sur les routes du royaume. Comment avait-il pu perdre contre Marx ?!
Et quelle défaite cuisante ! devant son père !
Les Piedmontois, qu’ils soient Gaediens ou Lughiens n’auraient jamais accepté ça... Mais son père l’avait protégé, par pur bonté Gaedienne ? Par pitité ?
Sool s’arréta pour pleurer. Il était sur la grande route du Royaume. La royal’Route, la route de l’Elbre c’était son nom.
On lui donnait ce nom parce que le fleuve y passait toujours à côté, que ce soit dans les plaines, à Beila, la capitale, dans les Mornemares, ou même au Piedmont.
Notre héros arriva devant une auberge se trouvant prés du fleuve.Entrés à l’intérieur, le bruit du tumulteux Elbre était feutré, mais les faibles parois preservait sans grande réussite du bruit sourd la salle, et seul le feu de l’atre collective réchauffé l’atmosphère de l’a batisse.
La batisse était encore jeune, elle se développa en même temps que le commerce fluvial. Depuis l’arrivée en Beilan, les explorateurs avaient remarqués que la fonte des neiges des Glacées faisait croître en puissance et en taille le grand fleuve.
Se servant des éléments et de cette crue, certains marchands armèrent des bateaux et commencèrent des échanges fructueux entre le Delta et le Piedmont.
D’ailleurs, la clientèle de l’auberge était entièrement un équipage de l’un de ces vaisseaux marchands, à l’exception d’un veiux prêtre Gaedien. Ce dernier discutait avec celui qui semblait être le maître du bateau.
« Oui, tout au nord ce sont les Glacées, ces terres appelées les froidmarches.
Ha! oui, c’est sur qu’avec le froid qu’il y fait, il n’y a pratiquement personne. Ils sont tous au pied des montagnes, le Piedmont.C’est une région boisée...Oui, les fourrures et les métaux y sont là bas à profusion, et leurs ouvrages en métal sont d’une grande habilité.
Mais gards, marchand, certains piedmontois prient encore les anciennes idôles telles que Lugh, ou même Torfinn, le demi-dieu, toutes âmes damnées de Meloï, puisse Gaed leur montrer la lumière...
Ici ? Où nous sommes ? Mais, étranger, vous êtes dans la grande plaine Beilan, entre le Piedmont et la citée d’eau Beila...Beila ? C’est la ville du maître des Mange-Terres. On raconte que l’ancêtre de cet homme était un grand seigneur venant du saint pays. Il aurait prié les population Beilannes de se convertir, puis il demanda à Gaed d’arreter les démons qui faisaient trembler la Terre. Lorsque son voeux fut exaucé, le Seigneur partit répandre la bonne parole du Saint Créateur. Il prona la liberté, l’égalité, les fondements du Gaedianisme. Mais ses anciens pairs, iniques et brutaux, ne l’entendirent pas de cette oreille et le cruxifièrent.
On raconte alors que, des lointaines Montagnes Glacées, Gaed libéra l’Elbre, appelé le sang du Christ, et réssucita son serviteur.
Ainsi naquit Beila, la ville sur l’eau. La ville se situe à la jonction de la plaine et des Mornemares.
Aprés Beila ? Un enorme cloaque où se deverse les dechets de la capitale, puis aprés cet enfer sombre et humide appelé Mornemares, le Delta, la grande terre des Patriciens. Tout s’achète, tout se vend. C’est la votre destination finale. C’est une population de marchands étrangés et d’esclaves qui vit la bas. Quelques nobles ont gardés leur terre, mais ils n’ont plus grande importance en ce lieu.
Quoi ? Comment est dirigé le royaume ? C’est le roi qui dirige les affaires du royaume. Mais les autre pays ne sont pas sont l’autorité du roi. Lui ne s’occupe que de la région Beilanne.
Les autres régions telles que le Piedmont ou mornemares sont des comtés. ce sont les grands seigneurs qui dirigent leur pays. Les comtes ont prété allégeance à Dieu et le Christ, ainsi qu’au roi de Beila, descendant du Christ.
Qui représente le Christ chez nous ? Personne, mais le Patriarche est le descendant de Saint-Pierre grand serviteur du Christ.
Ainsi, le roi n’est pas tout puissant, il doit demander conseil et prévenir les pairs de la nation avant d’entamer de grands projets...Oui, il arrive que des guerres intraroyaume arrivent... Les comtes se combattent ou même se révoltent contre le roi ou sa faction.

HJ: bonjour...vous trouvez peut-être ce royaume classique mais détrompez vous. ce royaume, quoique basé sur les traditions et fondements classiques de l’époque médiévale ( architecture d’inspiration Romane, religion Gaedienne, vassalité, royauté.), mais, comme vous avez put vous en rendre compte, il est trés hétéroclite.
Je l’ai créé ainsi pour que les guerres civiles aient lieu et donc pouvoir empécher l’ennui dans le territoire. Car, j’imagine qu’un cercle d’alliances vont se créer bien malgré les germes de chaos qui vous planterez, et donc je voulias une roue de secours contre une époque guerre froide. Les comtes et chevaliers sont totalements classiques, mais, pardonnez moi, je veux tenter d’imposer des bases classiques pour que les joueurs puissent partir dans leurs « trips » tout en respectant le Bg du territoire. Et ici, le seigneur peut incarner plusieur genre, un barbare encore indécis entre le polythéisme et le Gaedianisme, un inquisiteur violent, un marchand noble, un pretre qui tentera les intrigues plus que les guerrres seigneuriales.
Pardonnez moi pour les fautes et tout, j’espère que ce petit éloge ne sera pas mon champs du signe.
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