Retrahant, Ere impériale
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 Souvenirs, souvenirs ...

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Fidéliaire

Fidéliaire


Nombre de messages : 1986
Date d'inscription : 07/12/2004

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MessageSujet: Souvenirs, souvenirs ...   Souvenirs, souvenirs ... EmptyVen 11 Mar - 23:34

Ici les textes qui ont été posté il y a quelques ères de cela par certaines personnes qui devinrent plus tard l'équipe BG

Citation :

Fin Ere 0


Aujourd’hui n’est pas un jour comme les autres. Non. Aujourd’hui j’ai eu tout ce que je voulais : Une magnifique femme aux attributs plus qu’admirables, un royaume puissant par sa renommée mais aussi par ses armes et ses politiciens, des seigneurs tous les jours à ma porte, des alliés et amis dans tout Retrahant. J’ai débuté ma jeune vie avec ma fierté et petit à petit je la termine avec le pouvoir. Mais le bonheur n’est jamais complet, encore moins pour une personne exigent comme moi. Une tache noire salie inlassablement cette belle soie blanche qu’est le bonheur pure.
Aujourd’hui n’est pas un jour comme les autres. Daroum est vieux et mourant et fatigué. L’homme que je connu encore hier fort, droit et intelligent est aujourd’hui faible, recourbé et gateux. Je sais que peu de temps lui reste à vivre. J’ai ordonné à mon nouveau second, un homme dont je ne me souviens pas encore le nom, qui n’a jamais fait ses preuves au combat, ce misérable, vienne me mander lorsque son dernier souffle arrivera. Je suppose qu’il est encore assez tard. En effet, je me suis couché il y a peu de temps. Lorsque mes yeux n’avaient vu que peu d’hiver, cela ne m’était pas difficile de me coucher à point d’heure, mais à mon age, c’était une autre histoire. Mes douleurs étaient nombreuses. Mon dos me rappelait mes lourdes armures, mes genoux eux me faisaient souvenir mes champs de batailles où nous courions Moi, Daroum et mes hommes vers l’ennemi en hurlant à gorge déployée… Ah, ce Daroum. Des batailles nombreuses, tant de défaites et tant de victoires pour la gloire d’Empersiste. Peu d’Intendants de cette époque étaient encore vivants. Je dois être un ancêtre pour ces jeunes comme je l’étais il y a pour moi si peu de temps. Son age d’or qu’ils disent certains. J’ouvre enfin les yeux.
Aujourd’hui n’est pas un jour comme les autres. Non. A peine mes yeux ouverts que j’entrevois déjà cette tête dont je n’apprécie rien, mon nouveau second. Sans lui accorder le moindre honneur de lui demander quoique ce soit, je soupirais lentement d’un air nostalgique et triste. Ca y est, Mon Daroum n’est plus, n’est ce pas ? Finis-je par dire. N…Non pas vraiment Intendant. Raahh, ce bougre bégaye maintenant. Mais pourquoi Daroum me l’a proposé ? Retrouvant mes esprits doucement, je compris ce que cet imbécile voulait dire. Ses lèvres tremblaient, son bras tendu, ma fenêtre ouvert – qui aurait signé l’arrêt de mort à la personne qui l’aurait fait – en me montrant un objet semblait-il dans l’air que je ne voyais pas, mais que ressortait une lueur … Etrange je dirais …
Aujourd’hui n’est pas un jour comme les autres. Aujourd’hui je viens de découvrir des couleurs que jamais personne avant n'avait vues. Dans ce ciel parfois ombrageux, parfois ensoleillé, je voyais comme une aiguille de foin dans le ciel noir d’Ebène. Un aiguille qui cachait avec une déconcertante facilité la lune, le soleil et tout autre monument que ce fut, aussi grand soit-il. Sitôt levé devant cette chose, mon second fit entrer le meistre. Je lui demandais d’où venait ceci, qui venait de l’envoyer, il me répondit simplement par le ciel. Je n’en revenais pas. Plus j’observais cette boule énorme, plus j’avais l’impression que son panache était important. Rouge, orange, jaune accompagné de tumultes de fumées épaisses. Je restai donc ainsi, à regarder cette chose inconnue durant des heures, sans rien y comprendre.
Le jour venu prendre la place de la nuit et elle était toujours la, cette inconnue. Elle se déplaçait, petit à petit vers l’horizon. Toute chose à un but. Celle dit doit en avoir un, mais lequel ? Même les scientifiques ne pouvaient l’expliquer. Les religieux, eux, le savaient. Certains disaient que c’était le doigt des dieux pour nous montrer le chemin. D’autres, que cela était la fin de l’age d’or – mais ceux que j’entendis dire ça étaient souvent des pauvres affamés sans honneur – Les fanatiques hurlaient que le temps de la paix était fini est qu’après l’âge d’or était venu l’âge de sang. Et moi je me pris à vouloir voir où elle allait. Avec mes meilleurs, nous la poursuivîmes. Des heures et des heures, banderoles blanches et vertes déployées pour bien montrer à tous que nous attaquions pas. Traversant les terres, salués par les uns, épiés par d’autres, personne n’osait plus nous attaquer depuis des années maintenant. Après plus d’une journée de triple gallot, nous décidâmes de prendre racine le temps d’une soirée pour que tous puissions nous reposer quelque peu. Nous ne nous étions même pas approché de cette chose inconnue. Mais cette dernière avait grossi encore. Nous n’avions pas besoin de feu grâce à la puissance ce cette boule. A ce moment là, je compris.
La fin, voilà, tout était fini. Cette boule de feu allait tout dévaster. Ne pouvant dormir avec cette vérité. Je la regardais s’approcher, avec sa sérénité. Comment une chose si belle, si puissante pouvait être si malfaisante. Un vent chaud vient me chatouiller le visage. Bizarre en plein hiver. Le chatouillement devenant un souffle, devenant à son tour un vent, la chaleur augmentant, je compris que j’avais raison. Mais j’ignore encore son but ici. Tout détruire certes mais pour quelle raison ? Nous punir nous humains de s’être pris pour des demi-dieux durant des années ? Je ne le saurais jamais peut être. Quelle mort plus digne que la mienne : regarder sa mort en face sans n’avoir de pensées tel que : pas encore !! Je n’ai pas tous fait ce que je voulais !! Non, moi j’ai tout eu et j’ai tout fait ce que je voulais faire. Reste à mourir dignement, debout, attentant le verdict des dieux.
Aujourd’hui n’est pas un jour comme les autres, non effet. Le hurlement de cette bête féroce s’abattant sur moi, je reste là, l’attendant mon épée à ma main. Tous mes hommes ont fui. Ils n’auraient pas compris de toute manière. Devant dorénavant me pencher pour rester debout, la chaleur me brûlait. Mes gouttes de sueurs étaient instantanément transformées en vapeurs. Ma peau commençait à cloquer, je commençais à fumer en dehors de mes habits de fer, l’épée commence à me brûler, je commence a plissais des yeux, je commence a serrer les dents et à crier devant cette boule de puissance pure. Et je comprends enfin le but de toute vie, le but de tout homme. En découvrant la vérité, je n’avais plus mal. Les dieux m’ont montré la voie. Je lâche mon épée, je n’ai plus mal, c’est bientôt le moment de rejoindre les dieux.
Mes pensées vont vers ceux que j'aime, Aeglé, ma femme, Daroum, mon fidèle ami, mon second, tous mes amis aux côtés desquels j'ai combattu. Et maintenant, j’attends, serein, la mort approchant, sûr de ma fin.

The End


Citation :


Avant Ere 0 (pour expliquer un peu le monde de Retrahant, ou du moins, c'était l'objectif initiale...)


Moi, le roi Dreyoch, je suis devant tout mes hommes, mes soldats, mes compatriotes.
Moi, le roi Dreyoch, je vais vers la cité dont tout le monde veut se l’approprié : Ephyne, la cité d’or.
Il fait chaud aujourd’hui, très chaud même. Mais nous devons pas nous arrêter, la capitale du pouvoir est proche. Et elle sera bientôt notre. Un valet m’apporte une poche d’eau. Constitué de peau d’animal dont j’ignore la race. Recousu, un trou au centre, cela fait une gourde évacuant la chaleur et laissant l’eau bien fraîche. On me sert sur ma monture (un étalon noir, d’un age avancé mais dont son tempérament n’a d’égal sa fureur), l’on me sert des fruits rouges, dégoulinant d’un liquide jaune huileux et transparent qui plus est extrêmement sucrée. Je les mords à pleines dents. Le jus du fruit s’éclabousse sur ma barde bien coiffée. Je jette par terre le fruit à peine entamé qui s’éclate au contact de la terre constitué de poussière et de terre.
Des archers, des lanciers, des cavaliers me suivent. Nous sommes en marche. Je crie des ordres, nous nous arrêtons. Ca y est, nous sommes arrivé a destination.
La tension monte, mon second me fait le compte.
Cinq cent archers qui ont pour devise, un tir, un mort. Ils ont leurs voleurs d’âmes à distance comme ils aiment les appeler : leur arc constitué de cotes d’Eléphant.
Quatre cent cavaliers, les fous coureurs - avec leur longue épée qui bras baissé, touche le sol pour ne pas louper leur proie - qui soutiennent les huit cent soldats, les fous ou encore les fonceurs armés de haches, d’épée, de piques qui se jettent dans la mêlée. Une légende dit même qu’un jour, un seigneur a perdu une bataille à cause de ses fonceurs, ils ne s’étaient pas reconnu et s’étaient massacrées entre eux, comme le père et le fils, empalé l’un l’autre.

Première volée !!, entendis-je hurler derrière moi.

La réaction ne se fit pas attendre : des centaines et des centaines de flèches s’envolèrent dans les cieux pour retomber sur l’innommable marée humaine qui se trouver en face de nous.
Je voyais au loin cette dernière se tassait quelque peu, cela voulait dire que les flèches avaient fait mouche. Me retournant en souriant, j’allais féliciter mes archers pour leur précision et leur ordonnée une deuxième volée, enflammé celle-ci, lorsque j’entendis un sifflement sourd et aigu s’approcher très rapidement de nous. Ne comprenant pas tout suite, je me retournai prestement pour recevoir en pleine gorge une flèche ennemie. Voulant crier, je sortis de ma bouche un râle glauque et gargouillant. Je tombai comme une masse sur la terre ferme. J’entendis autour de moi les sifflements s’arrêter en se terminant par des spack! touchant mes hommes en pleine tête, poitrine ou encore bas ventre.
Un hennissement. Je n’us pas le temps de comprendre : mon cheval était touché de toute part pars de nombreuse flèches aller s’abattre sur moi. Je ne le voyais pas, je le savais. Voulant déguerpir de cette mare de sang sortant de ma bouche et de ma gorge, je commençai à me traîner difficilement sans espérer à être vivant dans les vingt dernières secondes. Et j’u raison, j’entendis un hennissement mourrant, un craquement et puis je sombrais pour l’éternelle inconscience.

Je me réveille en sueur, me tâtant la gorge, je remarque que la flèche était disparue. Quel affreux cauchemar !!
Quel monde bizarre, peut être ais-je rêvé d’un monde inconnu encore par les hommes ? Mes terres ici sont gelées. De la neige, de la glace, et peu de nourriture. Tout le monde a froid, personne n’a de juteux fruit. Quel rêve bizarre…
Je vais pour m’en aller de mon igloo. J’ai la même sensation que j’avais dans mon rêve : de la chaleur. Au moment où j’allais passer le seuil, on m’interpelle :
Dreyoch, Dreyoch !! Venez voir !! Le soleil !!!
Je ne pouvais leur expliquer ce qui allait maintenant se passer, ils ne me croiraient pas…
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Fidéliaire

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MessageSujet: Re: Souvenirs, souvenirs ...   Souvenirs, souvenirs ... EmptyVen 11 Mar - 23:36

Texte RP expliquand la prise d'Ephyne. Je crois que ca c'est passé au début de lère1

Citation :
SILK

D’un coté, celle que je dois protéger. De l’autre, mes hommes. Et derrière nous, des milliers de guerriers, cavaliers, archers, marchant vers la guerre. Il est temps de mourir pour la liberté. Pour l’arrêt de ses pillages. Il est temps de gagner cette guerre contre la famine et l’injustice.
Tout début à une fin, et je veux que ça soit celle de Daelodon et non pas la mienne. Les cavaliers avec moi, nous foncerons dans la plus grande formation, nous les éparpillerons pour que nos épéistes puissent engager le combat singulier. Nos lanciers seront la pour nous couvrir l’Est. Mais tout d’abord nos archers enverront deux à trois volées pour leur montrer que les guerriers de Tyrania Amen ne savent pas que charger : ils savent aussi viser. L’odeur de la mort nous pénétrera, la peur et la folie nous transpercera alors. Si une flèche ou une épée nous touchera, elle nous ne fera pas souffrir, nous continuerons toujours à nous battre jusqu'à la deuxième. Nous regarderons alors le ciel, et nous attendrons notre coup de grâce et rejoindre les dieux.
Mais nous ne y sommes pas encore. Sur nos destriers renâclants, sentant la tension augmenter, nous continuons à avancer vers les positions ennemies de Daelodon. Nous y attendons une forte résistance. Je souris intérieurement, c’est tout ce que je souhaite. Plus nous avançons, plus des bannières de régiment apparaissent. Et elles sont nombreuses. La mort se trouvant en face de moi, faites de fers, de sang et de chair, je lève le poing. Toutes nos forces armées s’arrêtent alors comme un seul homme. Nous entendons au loin une multitude de guerriers hurlant à tue tête :
« Ephyne Ephyne Ephyne »
Je s’approche alors de Tyrania : « Cela est sensé nous effrayé Futur Intendante ? » Cette remarque fut accueilli par l’amour de ma vie –secret- par un rire au sourire de carnassier regardant sa proie avant de la tuer. « Il paraît, il paraît », me répond-elle sourire aux lèvres.
Sortant mon épée, je lançais mon destrier au triple gallot. Ses plaques de fer défendant les cotés pour ne pas se faire éventrer, mon animal de guerre est indestructible. Tout devient flou, du sang, des hurlements, des têtes sanguinolentes, des cris barbares. Je suis éclaboussé de toutes par cette eau amère dont je n’avais pas remarqué la présence auparavant. Je la recrache. Il se pourrait être du poison.
Il est facile de voir la différence entre un Lord, un chevalier et un simple guerrier. Empaqueté dans une armure dorée et rayonnante, le chevalier est plus grand, plus fort. Son heaume brille de tout feux, et ses armes sont rarement conventionnelles. Apres en avoir abattue quelques uns dans ce fourmillement d’hommes, j’en vois un particulièrement puissant vu les projections de bout d’hommes qu’ils créaient. Armé d’une masse d’arme plus longue que la moyenne. Un grand manche en fer torsadé, et au bout, une grosse boule sanguine avec un œil planté sur l’un des nombreux piques. La tenant à deux mains, il se tourna vers moi, et me lança un duel. Non sans écraser et égorger quelques hommes en cuir bouilli, je m’approchai de lui à grande vitesse. Au dernier moment, ce fourbe de chevalier retourna de cent quatre vingt degrés sa masse et me présenta une pointe aussi acérée qu’une flèche mais aussi solide que nos murailles. Cette dernière se fourra dans le poitrail de ma monture qui se redressa et me désarçonna.
A ce moment là, je compris que cet eau n’était non pas de l’eau à un goût bizarrement amère n’était que du sang, rouge et encore chaud. Je me vis alors. A terre, du sang coagulait, séché – preuve que le combat avait déjà durée des heures-, noir parfois. Le chevalier s’avança vers moi, et me dit : « Second Silk, je vous ais battu. Abdiquez, ou je vous tuerais ». Le souffle court, encore en état de choc, je n’arrivais pas à parler. Commençant à me faire virevolter sa masse d’arme autour de ma tête, une fois, deux fois… « Une dernière fois Ex- Second de Tyrania , souligna-t-il, Abdiquez, ou vous mourrez. ». A ce moment précis, j’attendais mon coup de grâce. Les dieux en avaient décidé ainsi ? Soit. C’est alors qu’une forme féline se forma. Evitant le moindre contact, le moindre choque. Mon chat, mon amour, ma vie arriva. La masse d’arme n’allait pas tournoyer une quatrième fois. Le chevalier dit ses derniers mots : « Qu’il en soit ainsi ». Il souleva son énorme arme destructrice et visa ma tete à terre. A ce moment, Tyrania lui trancha la peau et les eaux, du haut de l’épaule au bassin avec un hurlement qui me paraissait surhumain. Le poids de l’arme du chevalier était tel que cette dernière s’effondra sur elle-même, emportant le bon, très bon guerrier avec.

TYRANIA

Nous sommes en plein combat devant Ephyne, notre destin se joue aujourd'hui. « Second De Tyrania Silk, je vous ai battu, abdiquez ou vous mourrez » Mon sang ne fit qu'un tour quand j'entendis cette voix puissante menacer mon mari de mort. Je tuai avec plus de violence, mes ennemis me laissant du répit devant ma fureur, j'eus le temps de voir où était Silk, il était a terre, une grande brute le menaçait d'une masse énorme qu'il faisait tourner au dessus de sa tête. Je me précipitai vers lui tuant tous ceux qui me bloquaient le passage. Il allait frapper quand j'arrivais a lui poussant un cri de guerre, je fis un bond et lui trancha le corps de l'épaule au bassin. Le monstre s'écroula, sa masse coupée dans son élan tomba a terre. Je jetai mon épée et me précipitai vers Silk, toujours allongé. Un Lord arriva demandant à Silk s'il allait bien. Autour de nous le combat faisait rage mais ce Lord viellait sur son maître. Quand Silk se releva, je fis de même, reprenant mon épée. Nous repartîmes au combat

Silk

Tyrania se pencha aussitôt sur moi. Un nouveau Lord que je venais de nommer avant la batille accoura. « Mon Maître va-t-il bien ? ». D’un signe de la tête, je lui fis comprendre qu’il me fallait encore quelques secondes de repos. Il me l’accorda en se battant pour deux.
Je vis alors des régiments alliés détruites. Des centaines et centaines d’hommes étaient mortes en à peine trois heures de combat. Et ce n’était que le début, mais nous avions déjà bien avancé, malgré leurs féroces résistances. Mais un retournement était si facile…
« Retrouvez vous vos esprits Silk ? » me regarda inquiet Tyrania.
« Croisons le fer ensemble ma chère. », Dis-je en réponse.
« Avec plaisir », me répondit-elle avec impatience.
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