L'homme du nord

Sur la grand place d'Ephyne, un homme s'avance, les cheveux longs, blonds, non armé, apparemment jeune, mais fatigué. Il ne porte pas de paquetage, il est seulement entouré de 3 autres hommes, blonds eux aussi, qui ont l'air perdus.

Messeign...

Il s'éclaircit la voix

Messeigneurs !

Je me présente, Bokad. Je viens des steppes lointaines du nord. Mon peuple m'a envoyé ici pour vous informer de leur présence, loin d'ici, là où les arbres sont réduits à de simples herbes, tellement le froid est maître dans cette région. Je représente ce peuple pacifique, et je compte instaurer de bonnes relations entre les miens et vous, peuples du sud. Je me suis installé en un vieux territoire que vous n'avez encore jamais osé contrôler, que j'ai baptisé Grek, compte tenu des bibles que j'y ai trouvées.

Je tends ma main à qui voudra la prendre, en espérant que vous ne la serrerez pas trop fort.

Je ne connais pas tellement votre région. Je suis ici depuis plusieurs saisons déjà, mais je suis resté en Grek, pour ne déranger personne. Je vous observe, et suis étonné d'une telle barbarie. J'ai moi-même été victime des territoires qui m'entourent, je ne sais pourquoi. Notre peuple est candide. Toutefois, il n'est pas dupe. Je sais apprécier la faiblesse, l'orgueil des uns, tout comme j'admire le courage et la bravoure d'autres.

Je ne demande qu'à vivre en paix. Je ne dérangerai personne. Grek est une terre d'accueil pour tout Seigneur cherchant harmonie, non-violence, et qui serait rejeté d'ailleurs.

A bientôt, peuples du sud !

Il s'en va alors, perplexe...

un homme l'interpela , il portait l'écusson des terres de l'ordre ,du messire Lancegreg


Je me souviens de vous messire !

Lors du combat entre vous et mon seigneur ,vous avez montrez une faculté à commander exceptionnel et vous avait fait preuvre de courage !

Il est vrai que notre armée vous avez vaincu mon seigneur vous apprécie !J'espére qu'il n'y aura plus de conflit entre nos deux peuples !

Interloqué, Bokad se retourna

Il n'est pas dans mon habitude que celui-là même qui me marchait dessus me tende par la suite la main.

Je ne sais quoi penser d'un Seigneur qui pille un nouvel arrivant, sans aucune discussion.

Vous dites que je me suis bien battu ? Diantre ! Je n'avais pas d'armée ! Ou alors appelerez-vous armée ces quelques dizaines d'homme à qui j'avais prêté des bâtons métalliques ?

Ne retournez jamais en Grek, sire Lancegreg. Vous n'êtes pas le bienvenu.

C'est le coeur lourd que Bokad repartit d'où il venait, pour continuer à vivre en hermite.

Le Seigneur Hector apprit la nouvelle, il ne savait pas quoi penser.
Dites moi que c' est faux Seigneur Lancegreg, dites moi que vous n' etes pas aller voir le Seigneur dans le seul but de faire des esclaves.

Hector laissa la parole au seignuer lancegreg d' un air triste

Mais je ne suis point celui que vous pensez mais l'un des ses sujets !

Et je ne vous tent point la main .

Il est vrai que vous ne possédiez point de véritable armée mais votre courage a fait votre force alors vieillez m'excuser mais mon seigneurs m'attend

Cessez cela Lancegreg, vous êtes allés troubler les contrés paisible de Grek, vous avez caracolés à la tête de vos forces, vous avez tout ravagé là-bas! Quand mon père a voulu venger son ami vous vous êtes cachés derriere vos murailles en attendant que votre intendant viennent vous liberer!
Les seules missives que mon père a recu de vous n'ont montrées que votre niaiserie!
Maintenant arrêté de vouloir être l'ami de vos victimes, si vous voulez vraiment l'aider verser lui un tribut pour l'aider à rebâtir sa cite qui était il y a encore peu de temps florissante.

Mon seigneur n'a jamis voulu être votre ami ,c'était une remarque comme une autre voila c'est dit !

Si à chaque fois que je dis quelque chose vous devez me critiquer et bien ce sujet n'a plus lieu d'être !

il fumait tranquilemen ça pipe mais ne pu s'empêcher de lancer un commentaire

Eh bien mon chère lancegreg vous avez une sacrée réputation .

Il se retourna vers folken et pris sa remarque avec le sourir !

Oui vous avez fortement raison !

Je n'aime pas être jugé mais alors là ils y vont fort !

Lancegreg ne fut pas surpris quand il vut Hector partir , mais il éprouva du regret car il apprécié énormément cet homme.


Les seigneurs comme moi et bokad avons besion de piller de tant à autre ,ce n'est pas forcément toujours trés agréable mais j'ai était élevé comme ça !

Sieur boka ,ne me dîtes pas que vous n'avez jamais pillé ,je ne vous croirais pas !Par contre Hector je veux bien le croire !

Un érudit grekois était resté là, il observait la scène... Il s'appelait Warzar, et se tenait debout grâce à un bâton tordu. Sa cape empêchait même les personnes les plus proches de lui de découvrir son visage. La voix rauque, il prit la parole.

Cessez de vociférer ces méprisants dires, misérable Lancegreg. Votre langue ne vaut pas plus que ce que je donnerais pour manger un rat... Grek n'a jamais pu se constituer aucune armée, en grande partie grâce à vous ! Vous saurez aussi que Grek n'a pas vocation à piller, à raser, à voler, à détruire... Nous sommes des bâtisseurs, au contraire de vous. Maintenant, taisez-vous, pauvre sot.

Warzar s'asseyait alors, le visage toujours couvert.

Ne rien construire !!!!

Même Hector vous dira que je sais construire ! Nous avons tout les deux fondaient un territoire !

Et je trouve que mon ancienne ville était plutôt réussi contrairement à la votre !

Car j'en ai visité des territoires pour prendre des avis sur les différentes architecture

Lancegreg, je ne sais pas d'ou vous accusez le sir Bokad d'être un pilleur de votre sorte, mais d'aussi loin que je me souvienne je n'ai jamais vu cet ami de mon père à la tête d'une troupe, même lors du temps ou il se trouvait en Alaria.

Marina ,vous n'avez jamais vu votre pére au commande d'une troupes ?

Car pour moi il disposé d'au moins 10 000 hommes !

Je ne parlais pas de mon père mais de Bokad, et je ne renie pas que mon père disposait de plus de 10000 hommes, mais bon ca n'a pas plus vraiment d'importance.

je n'ai pas accusé Bokad ,je lui ai juste posé une question dans laquelle vous n'aviez point à intervenir !