Retrahant, Ere impériale
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 Fironk

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Dahen
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Dahen


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Date d'inscription : 04/01/2005

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MessageSujet: Fironk   Fironk EmptyJeu 10 Mar - 5:39

Citation :
Bases

Le peuple fironkois est un vieux peuple isolé sans Histoire. Il ne garde pas trace de son passé. Tout ce qu'il sait est transmis oralement par qui le veut bien, que ce soient ses connaissances, ses rites, etc... Il faut donc comprendre que Fironk n'est pas très civilisé. Il vit à l'instinct. Ce qui différencie un fironkois d'un animal est approximativement sa faculté de mémoire et de communication orale.

Citation :
Géographie

Fironk est situé proche d'un lac à la base d'un glacier géant dont jamais personne n'a vu le sommet. De ce lac naissent trois rivières. L'une fait couler de l'eau glacée, elle s'appelle Frihëga. La deuxième fait couler une eau étonnamment chaude, appelée Calanga. La dernière s'appelle Ga - ga veut dire rivière en fironkois - Elle ne possède donc pas de nom véritable car elle produit parfois une eau glacée, parfois une eau brûlante. En contrebas de Fironk se situe une forêt, Vertempli.

Les fironkois connaissent des saisons froides, des saisons glaciales, des saisons chaudes, des saisons de pluie... Si bien qu'on peut penser que Fironk se situe dans un climat tempéré. Cela dit, étant donné la difficulté de ses habitants à réfléchir, il est impossible de dire si le rythme des saisons est régulier ou pas. Ce qui est remarquable par contre, c'est que l'alternance des climats permet de faire pousser des végétaux très variés, comme nous le verrons plus tard.

L'étendue du territoire fironkois est assez réduite. En effet, les fironkois ont toujours eu pour habitude de vivre isolés entre le glacier géant et Vertempli. Pourtant, s'ils s'aventuraient à l'extérieur de ce restreint périmètre, les fironkois s'apercevraient à quel point leur territoire pourrait être étendu ; des plaines à perte de vue...

Citation :
Croyances

Les fironkois se sont aperçu que certains "éléments" bougent, d'autre pas. Ils ont remarqué aussi qu'ils ne pouvaient pas communiquer avec d'autres fironkois lorsque ceux-ci ne bougeaient pas. De là sont nées les notions de vie et de mort.

Citation :
La vie

Ce qui est vivant est donc ce qui bouge. Par exemple, cela peut-être un être éveillé, une ga, un arbre dans le vent, une arme lors d'un combat, un rocher qui tombe, la Terre qui tremble, etc...

Bien entendu, les fironkois ne comprennent pas ce phénomène. Mais la vie les fascine. Ainsi, lorsqu'ils sont heureux, ils bougent plus qu'à l'accoutumée : Ils sautent, marchent en se dandinant, ils dansent, ils courent. Parfois même, ils prennent des branches d'arbres mortes, et les agitent fortement dans tous les sens pour répandre la vie.

Ils savent néanmoins que la vie est précieuse et rare. C'est pour cela que lorsqu'un de leurs proches est malade, qu'il ne bouge plus ou presque, ils forment une ronde autour du malade et tournent sans cesse, jusqu'à ce que le malade retrouve la vie, ou alors tombe dans la mort.

Tous les hivers, les seigneurs fironkois les plus riches vont visiter Vertempli, coupent des arbres, agitent les branches pour fêter la vie. Ils croient que la vie répandue ainsi protègera Fironk et ses habitants ainsi que tout ce qui est vivant en Fironk.

Citation :
La mort

Ce qui est mort est donc ce qui ne bouge pas. Par exemple, cela peut-être un être endormi, un être tué, un arbre, un rocher, un lac, etc...

La mort fait peur aux fironkois. Montrez-leur quelque chose d'inanimé et ils sauteront dans tous les sens de désespoir.

Les fironkois ne donnent de nom qu'à ce qui est vivant, et non à ce qui est mort. Cela explique que les rivières Frihëga, Calanga et Ga ont un nom, mais pas le lac et le glacier voisins. La forêt Vertempli est nommée elle aussi, car c'est en elle que les fironkois fêtent la vie. On pourra noter que le feu est considéré comme vivant ; il est appelé Lihg.

Lorsque quelque chose passe du vivant au mort, les fironkois sont empreints d'une grande tristesse. Pour palier à cela, ils dansent et agitent des branches d'arbre, afin de préserver la vie sur eux. Lorsqu'il s'agit d'un être qui meurt, ils dansent avec le corps de celui-ci, pour lui donner un semblant - et ils savent que c'est bien un semblant - de vie.

La Terre est généralement morte. Mais lorsqu'elle tremble, c'est avec grande joie que les fironkois accueillent les secousses. Cela veut dire que la Terre vit, qu'elle ne les abandonne pas, qu'elle fait vivre tout le monde. Car il est vrai que lorsque la Terre tremble, c'est tout qui bouge, donc tout qui vit.

Citation :
L'agriculture et l'élevage

Depuis sûrement longtemps, mais on ne pourra jamais savoir depuis quand exactement, les fironkois se transmettent le savoir-faire lié à la croissance des végétaux. Cela les fascine. Ils assimilent cela à une vie lente. En effet, les végétaux bougent légèrement tout au long de leur vie. C'est donc une mort apparente, mais qui cache bel et bien de la vie. Ils savent que lorsqu'il commence à ne plus faire froid, il est temps de planter certaines graines, gardées pendant le froid à l'intérieur de leurs logements, et ainsi ils font pousser alternativement pendant l'année blé, orge, carottes, navets... d'immenses champs et de petits potagers sont abrités à l'intérieur de cet exigu territoire, ce qui laisse bien peu de place aux logements.
Les fironkois possèdent des Yiota. Ce sont des bêtes extraordinaires, rapide, magnifique, avec une grande crinière blanche et une robe somptueusement noire. Les fironkois ont pour habitude de se faire aider des Yiota pour travailler dans les champs. Ils les montent aussi quand ils doivent traverser le territoire. Enfin, ils les mangent aussi, car leur goût est très agréable aux fironkois, qui aiment la viande bien dure.

Citation :
La culture

Les fironkois sont musiciens. Leur seul instrument de musique : les branches d'arbre. Suivant le vent, ils ont appris à les agiter de façon à créer des rythmes envoûtants sur lesquels tout le monde se prête à danser. Les fironkois aiment cette musique, car elle les aide à célébrer la vie. Ces rythmes sont pour la plupart à contretemps, ce qui permet davantage d'expression corporelle dans leurs danses.
Ils dansent généralement en groupe, soit en formant des rondes, soit seuls au milieu d'un ensemble, chacun dansant à sa manière. Il n'y a pas de règles bien précises de danse, chacun bouge selon ses ressentis sur la musique qu'il entend, sur les rythmes qui le possèdent.
Par contre, les fironkois ne sont pas poètes, ni dessinateurs... ils n'ont aucune idée de ce que peuvent être ces arts pourtant primaires, c'est dire leur étroitesse d'esprit.

Citation :
Les logements

Les fironkois n'ont aucun goût esthétique. Leurs seules préoccupations en ce qui concerne le logement sont le côté pratique, la chaleur, un minimum de confort, et le fait d'avoir des espaces les plus petits possibles, mais suffisamment grands pour pouvoir y vivre. Ainsi, les logements fironkois sont disposés les uns à côté des autres, en ligne. Ils disposent d'un toit de chaume, d'un lit par personne - un lit étant en fait un tissage de brins de blé - d'un endroit pour le feu, généralement au milieu du logement.

Les Yiota n'ont pas droit à grand chose de plus : Ils sont regroupés dans des grands logements dans lesquels on étale de l'orme à même le sol. Cela leur sert de lit, ainsi que de nourriture. Les fironkois chargés de s'occuper des chevaux vivent dans ce même logement, avec un tissage de brins de blé dans un coin du logement.

Citation :
Le combat

Les fironkois aiment bien évidemment bouger, mais aiment aussi se divertir. On présume qu'un ancien fironkois eut l'idée de faire naître les joutes fironkoises. Ainsi, tous les étés, les fironkois se rassemblent à Börm, la capitale, et assistent, ou pour les plus chanceux participent, à ces joutes.
Toute l'année, les fironkois s'entraînent pour ces joutes. Ils font forger des armes au fironkois assigné à cette tâche, et s'entraînent, en famille ou entre amis. Quand arrive la date préalablement convenue, le Commandeur fironkois désigne les participants à la joute annuelle.
L'enjeu de ces joutes est le suivant : Le vainqueur des joutes a droit de cuissage sur toutes les femmes formées - comprendre adultes ou adolescentes - du royaume, sans que personne ne puisse contester.
Par ce biais, on comprend pourquoi les fironkois sont de véritables combattants.

Citation :
Politique

Fironk est infligée d'un Commandeur. Celui-ci dirige la capitale, ainsi que les Commandants qui eux ne dirigent que les petites villes fironkoises.
Le Commandeur désigne, lorsqu'il arrive au pouvoir, celui qui lui succèdera à sa mort. Bien évidemment, le Commandeur se réserve le droit de changer de successeur lorsque bon lui semble.
Si quelqu'un d'autre que le successeur désigné veut le pouvoir, il faut qu'il le prenne par la force, mais cela n'est jamais arrivé, car il faut le dire, les Commandeurs fironkois sont des hommes bons pour Fironk.

Citation :
Hiérarchie

Le pouvoir est organisé de façon très simple : Le Commandeur prend toutes les décisions concernant le territoire. Il n’y a pas de ministère. Tout est centralisé à Börm. Seuls les Commandants peuvent être engagés comme consultants, mais ils ne peuvent en aucune manière prendre des décisions de leur propre chef. Ils peuvent par contre soumettre leurs idées au Commandeur, qui donnera son accord ou pas.

Citation :
Extérieur

Fironk vit heureux en autonomie. Les fironkois ne connaissent pas trop ce qui se passe en dehors de Fironk. Tout ce qui vient de l’extérieur pourrait être une menace pour ce petit territoire.
Le Commandeur décide de ce qu’il advient de toute provenance de l’extérieur.

Citation :
Loi

Voici les principaux articles de loi valables sur le territoire fironkois :
- Chaque ordre direct du Commandeur doit être respecté par quiconque.
- Chaque ordre direct du Commandant doit être respecté s’il est en accord avec les ordres du Commandeur.
- Il est interdit de voler ou tuer ou même manquer de respect envers quiconque sans l’accord d’un Commandant.
- Le Commandeur et les Commandants ont droit de vie ou de mort sur tous leurs sujets.

Citation :
Population

Les fironkois sont généralement grands et sveltes. Ils sont tous blonds, le teint légèrement mat. Il s'habillent en peau de Yiota, selon les fantaisies des tisserands. Il s'agit le plus souvent d'une tunique unisexe, qui part des épaules et qui descend jusqu'aux genoux.
Le peuple fironkois est particulièrement bête. Il est formé de paysans pour la plupart. C’est le Commandant qui assigne une tâche à chacun. Ainsi, certains récoltent les champs, d’autres s’occupent des potagers ou bien des Yiota, plantent des arbres, construisent des logements, forgent des armes, etc...
Une grosse partie du peuple est formée de paysans. Ces paysans constituent de même l’armée fironkoise, grâce à l’entraînement quotidien des fironkois pour les joutes annuelles.
Le reste de la population est formé de gardiens. Les gardiens s’occupent de faire respecter la loi fironkoise. Si quiconque ne la respecte pas, il sera châtié selon le choix du Commandant dont dépend le maraud.

Citation :
Coutumes et croyances païennes

Les fironkois ont quelques coutumes que sûrement eux seuls peuvent comprendre. (Ces coutumes sont dites païennes car les seules croyances résident en la présence d’une vie et d’une mort omniprésentes.)
Ainsi, jamais aucun fironkois ne s’aventure ni à Calanga, ni à Frihëga. Il paraîtrait que si quelqu’un boit de ces eaux ou ne serait-ce que trempe une partie de son corps dans la rivière, celui-ci est instantanément gelé si cela se passe à Frihëga, et il est brûlé si c’est à Calanga. Par contre, rien n’est jamais arrivé à Ga, sauf un jour où personne d’encore vivant aujourd’hui n’était né, une vieille fironkoise aurait bu de l’eau, et se serait retrouvée glacée puis brûlée à maintes reprises en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Sinon, jamais rien d’autre ne se serait produit.
Le glacier géant non loin fait lui aussi partie de ces coutumes païennes. En effet, si quelqu’un arrive un jour à apercevoir le sommet du glacier, il est dit que le Soleil décrochera le glacier de la montagne et s’abattra alors sur Fironk un froid terrible, que seuls les plus résistants pourront combattre.
Dernier endroit mystérieux pour beaucoup de fironkois : Vertempli. C’est un lieu où la vie et la mort se côtoient sans cesse, tous les éléments passant de la vie à la mort et de la mort à la vie sans que rien ni personne ne comprenne quoi que ce soit. Une histoire raconte que si tout le peuple fironkois se réunit à Vertempli, les rivières Calanga et Frihëga s’inverseront, que Calanga sera froide et Frihëga chaude, et que n’importe qui pourra alors aller dans ces rivières sans plus craindre quoi que ce soit.


Dernière édition par le Jeu 10 Mar - 5:40, édité 1 fois
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Dahen
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MessageSujet: Re: Fironk   Fironk EmptyJeu 10 Mar - 5:39

Citation :
Texte d'ambiance: Histoire d’un fironkois

Warzar est un érudit fironkois, rare dans cette population paysanne. Jeune, il errait souvent de ville en ville, apprenant tout ce qu’il pouvait à droite et à gauche. Il a appris des techniques assez amusantes pour la récolte des champs, pour savoir quand ramasser les légumes d’un potager, pour savoir quand il allait pleuvoir, et surtout, comment contourner la loi, car comme tout bon fironkois qui se respecte, Warzar ne se plaignait pas du régime en place, mais il n’aimait pas qu’on le contraigne. Il a donc passé des années dans une certaine clandestinité, vivant de sa gentillesse… sur le dos des gens. Cependant, un jour où il apprenait à connaître les arbres à Vertempli, il croisait inopportunément, et par hasard cela va de soi, le Commandeur fironkois. Il s’agenouilla alors et baissa la tête.
- Mon jeunot ! dit le Commandeur, que fais-tu donc ici ? Ne sais-tu donc pas que les joutes sont pour bientôt ? Pourquoi ne t’entraînes-tu donc pas ?
- Commandeur, avec tout le respect que je vous dois, je ne pense pas faire partie des élus qui participeront à cette joute…
- Et bien maintenant c’est fait ; tu y participes ! Quel est ton nom ?
- Warzar, Commandeur.
- Warzar, je compte te voir après-demain à Börm. Puisses-tu puiser en la vie tout ce qu’elle pourra t’offrir !
C’est sur ces mots que le Commandeur s’en alla. Warzar, perplexe, se retrouvait bien dépité. Le Commandeur venait de lui porter bonheur, en prononçant la devise fironkoise. Il se trouvait que Warzar n’avait en aucun cas envie de sortir de sa clandestinité. Mais comme il avait peur de représailles, il se présentait à la capitale le surlendemain. Warzar n’avait jamais combattu. Il venait seul, avec sa chance. On l’armait pour l’occasion avec les plus belles armes fironkoises, et il se retrouvait propulsé dans la joute. Fort de sa chance, c’est avec bravoure qu’il gagnait les joues fironkoises cette année-là. Seulement, Warzar refusa le droit de cuissage auquel il avait droit. Le Commandeur se trouvait alors bien embêté, et lui proposa ce qu’il voulait. Warzar répondit qu’il voulait apprendre. Le Commandeur réfléchit, puis le nomma successeur. Quelques jours plus tard, Le Commandeur se suicidait.
C’est depuis ce jour que Warzar est Commandeur fironkois. Fort de son savoir, de sa chance, il dirige aujourd’hui le territoire d’une main de fer, sans que personne ne trouve à y redire.
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Hypos
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Hypos


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MessageSujet: Re: Fironk   Fironk EmptyVen 4 Nov - 9:32

Citation :
Texte d’ambiance: Rencontre avec la mer

Depuis l’ouverture des frontières à Fironk en l’an 169, les relations avec l’extérieur ont bien changé. En effet, Fironk a connu alliances, marchés, guerres… le tout orchestré par le Commandeur.

Les fironkois ne voient donc plus l’extérieur comme en ces temps ancestraux où tout ce qui n’était pas fironkois était nécessairement mauvais. Les fironkois savent maintenant qu’il y a du bon et du mauvais, et ont surtout découvert que cet extérieur peut être très différent de Fironk lui-même.

Sur ordre du Commandeur, les alentours de Fironk ont été explorés. Ont alors été découvertes maintes richesses.

La première fut l’espace. Fironk est entouré de plaines interminables, bien avant d’arriver à des territoires voisins comme l’Empersiste ou Ciran. Il a alors été envisagé d’investir ces terres, mais après consultation de ses Commandants, le Commandeur n’a pas mis ce plan à exécution, de peur que les fironkois ne se sentent pas aussi bien qu’au centre de Fironk.

Une autre expédition avait été lancée par le Commandeur pour se débarrasser de fironkois qui ne lui plaisaient pas. Le Commandeur avait dit à trois hommes : « Vous allez suivre Ga. Quand vous en serez arrivé au bout, vous me direz qu’est-ce que vous y avez trouvé. » Le Commandeur se disait bien que Ga ne finissait jamais. Seulement, au bout de quelques lunes, les hommes revinrent, émerveillés : « Commandeur, vous ne pouvez imaginer ce que Ga a créé ! Comment dire… Nous avons vu un endroit où il n’y a plus de terre, où tout est Ga ! Quand nous avons vu cela, nous avons tout de suite remonté le fleuve, de peur de nous immobiliser dans Ga la géante ! »

La première réaction du Commandeur fut la terrible déception de voir que ces fironkois étaient toujours là. Enfin qu’importe, il se dit qu’ils devaient avoir raison, alors il prit son Yiota personnel pour allez voir ce phénomène de lui-même. Et en effet, Ga la géante existait vraiment, à perte de vue. Elle était bien vivante, allant et venant. Il fallait en voir le tour. Mais comment voir ses limites ? Le Commandeur s’approchait alors de Ga la géante, rentra légèrement dedans, mais bientôt son Yiota ne pourrait plus respirer, alors le Commandeur revint sur ses pas.

De tout temps, l’on savait à Fironk que Vertempli était plus légère que Ga. Peut-être que si un fironkois monte sur une branche d’arbre, alors il sera lui aussi plus léger que Ga… Après divers tests – comprendre noyades – l’on s’aperçut que placer beaucoup de branches les unes accrochées aux autres permettait de rester au dessus de Ga.

De retour à Fironk, le Commandeur réunit ses Commandants en leur donnant une nouvelle mission : Trouver les frontières de Ga la géante. Il leur expliqua ce qu’il savait par rapport aux embarcations construites, et les laissa faire.

Plusieurs années après cela, les embarcations fironkoises commençaient à se normaliser. L’on coupait des arbres dans Vertempli spécialement pour les embarcations, en affinant les plus grands troncs. La vertemga vit alors le jour : une embarcation longue comme un tronc d’arbre et large comme dix.

Plusieurs escadrons de vertemgas furent alors créés. Elles étaient dirigées par un fironkois qui était désigné par un Commandant, avec une trentaine d’hommes pour ramer avec des bouts de bois ramassés ça et là dans Vertempli. Celui qui dirige la vertemga est appelé Commandant de vertemga. Chaque escadron de vertemgas est composé d’entre 5 et 10 vertemgas, selon l’envie du Commandeur, qui seul a le droit de former des escadrons à sa convenance.

Une ère nouvelle naît alors pour Fironk, avec l’exploration de Ga la géante.
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