Troupe du Beilan au Ciran

Korrak qui avait eu des nouvelles de ces inspections au Ciran pris la parole

"Tiens donc il semble que le Beilan ai corrompu un seigneur du Ciran, que font des troupes du Beilan dans la cité de Halrek, étes vous donc si peureux que vous avez peur d'affronté en terrain découvert les troupes d'Osmad.

Bien, deplus vous avez attaqué des cité de jeune cirannais qui n'avait que comme seul préoccupation la croissance de leur cité.

Alors qu'avez vous à dire?"

Edityr : Pas de HRP en H&D, lisez le règlement.

"J'avais oublié de vous dire, j'ai pris soin de récuperer les survivants des troupes du Beilan, nous les avons soigné et pensons les envoyés en Gramée.

Je crois savoir qu'en Gramée il détienne le secret de torture des plus plaisante."

Un envoyé du Haut Echevin Laetius se présenta à la cour d'Ephyne avec un message de son seigneur.

Citation :

Korrak,
Il semblerait que vous abusiez du pouvoir que vous confère votre charge et que vous suiviez le parcours de chaque seigneur jusqu'à leur castel. Sachez, Empersois, que je n'ai aucun compte à vous rendre, et qu'en tant que Grand Echevin d'Halrek, je la déclare cité-libre, indépendante de toutes les influences que l'Intendant ou l'Eglise ciranaise - organe religieux corrompu et asservi à l'Eglise éphynoise - pourront faire peser sur elle.

Nous n'apprécions pas que vous veniez traîner votre nez de fouine dans nos affaires, surtout lorsqu'elles impliquent la couronne beilanaise et un corps d'armée portant son oriflamme. Vous avez, dois-je le rappeler, attaqué une cité qui ne cherchait, elle aussi, que sa croissance ainsi que des troupes étrangères venus en tant qu'ami d'Halrek et, jusqu'à cette attaque sournoise, du Ciran.

Nous déplorons l'arrogance de cet Empersois qui ose nous bafouer, qui vient inspecter nos vies comme si nous lui étions soumis comme des serfs ou des esclaves. En espérant que le vrai Ciran, qui n'est pas le serviteur d'un chien d'Empersiste, se réveillera et combattra au côté des étendards halrékois.

"Il est curieux que vous parliez de sournoiserie, puisque vous vous étiez présenté à moi en tant que ami, et que maintenant vous osé dire que j'aurais attaqué une cité voulant simplement croitre.

Lorsque mes troupes ce sont présenté devant votre ville nous voulions faire tombé les portes pour voir ce que vous aviez à caché il semble que nous ayons eu raison de le faire puisque vos troupes son sorti finalement de vos murs avec des troupes du Beilan qui ont eu aussi pillé de jeune cité.

Maintenant vos survivants courre entre chaque cité Cirannaise en pillant et en mettant en esclavage chaque petite cité mal défendue. Vous avez peur d'affronté les troupes d'Osmad, Soyez certain que vous le payerez au centuple votre arrogance est beaucoup plus forte que vos troupes malheureusement pour vous."

Quelques temps plus tard, une autre estaffette s'en vint tandis que l'autre s'en retournait à Halrek ou dans ses environs.

Citation :

Vous êtes indigne de votre charge, Empersois. Vous êtes venu chez moi, moi qui me suis proposé pour aider la nation, et m'avez menacé, comme vous l'avez fait avec le reste des Ciranais, pour faire entrer l'un de vos féaux pour vérifier qu'il n'y avait rien de particulier dans ma propre cité. Hé quoi ! J'accueillerais des Beilanais si je le veux. Contre votre paranoïa j'oppose l'hospitalité.

Vous osez me parler de peur, alors que vous venez avec vos ost vingt fois plus importants que les citoyens qui défendent Halrek. Si vous étiez si brave (ou si mauvais stratège) que ça, pourquoi redoutez-vous les portes de mes murailles ? Êtes-vous un couard ? Pourquoi n'essayez-vous pas de défoncer mes portes d'enceinte ?

Parce qu'elles sont imprenables, comme vos vastes ostes sont inattaquables par mes armées. Est-ce là la peur, nenni, c'est le simple sens commun chose dont vous semblez dénué.

Quant aux rapts et aux pillages sur d'autres villes, ils sont la juste réponse à vote félonie, et la preuve que vous ne savez pas défendre le reste du Ciran. Lorsque vous attaquâtes ma cité, le Ciran déclara la guerre à Halrek. Aussi attaquè-je les cités ciranaises, qui vous sont soumises.


Laetius d'Halrek,
Grand Echevin d'Halrek.

"Malheureusement nous savons que votre hospitalité est en faite beaucoup plus dut au fait que vous vouliez le throne du Ciran avec l'aide du Beilan, je n'ai que cure de vos raison.

Votre méthode pour justifié les pillages des cité du Ciran sont ridicule. Sauvez vous ainsi que vos armés mais vous ne pourrez le faire sans arrêt.

Nous avions eu vent de votre trahison nous avons utilisé le prétexte des inspections pour vérifié si c'était vrai. Il semble que les rumeurs était vrai. Allez venez vous battre je vous reverrez sur le champ de bataille si vous l'osez.

Encore une estafette ! Cela faisait beaucoup.

Citation :

Il est étonnant d'entendre un homme qui se pavane à Ephyne de m'exhorter à aller me battre au coeur de la bataille. Pendant que vous sirotiez vos alcools et tripotiez vos maîtresses, j'endurai avec mes parents, mes hommes, mes frères, mes compagnons la traque dont vous usez pour réduire à néant les forces halrékoises.

Quant à ma trahison, il est étonnant d'entendre ce mot dans la bouche d'un seigneur étranger qui s'est auto-proclamé Intendant du Ciran, lui qui n'a même pas de sang ciranais. Oui, j'ai souhaité votre renversement, car vous êtes un hérétique, un faquin qui vous prétendez l'égal d'hommes tels qu'Acnar, qu'Harald et les meilleurs des Ciranais.

"Je n'ai jamais eu cette prétendance, et si vous auriez suivi un peu la vie politique vous auriez sut que c'est Ilaak d'Itoria qui m'as mit au poste d'intendant d'Osmad.

Exprimez vous pendant que vous le pouvez encore, si vous étes chanceux je serais peut-étre assez indulgeant pour vous envoyez rejoindre ceux que vous serviez au Beilan"

"Laetius D'Halrek, maintenant ancien seigneur d'Halrek.

Vous avez été démis de vos fonctions, vos dernières troupes ont été tué et vous avez été capturez au combat ainsi que vos parents et amis. En tant que intendant du Ciran, je pourrais vous exécutez par vengeance et pour montré l'exemple, mais au lieu de cela je vous envoit au Beilan vous serez remit au seigneur de l'endroit.

Comme vous avez offert l'hospitalité au Beilan il est normal qu'il vous redonne la pareil. Bien sur si vous interférez encore avec les affaires du Ciran, je ne ferais pas preuve de pareille indulgence. J'aimerais que vous méditiez sur le fait que vous avez massacré des frères du Ciran seulement pour me faire tombé.

Sur ce des troupes escorte Laetius d'Halrek à la frontière du Beilan"

Un noble beilannais se leva et prit la parole:

"Sieur Korrak, quelle surprise de vous voir. La derniere fois que nous, beilannais, vous avons cotoyé dans cette assemblée vous êtiez semble t'il indisposé, non ça me reviens vous aviez choisit de fuir toute tentative de dialogue. Mais c'est un grand réconfort de vous voir revenir vous plaindre à nouveau en ces lieux.
Peut être cette fuite est elle à l'origine de la présente situation, tel un reflet supplementaire de votre incompétence à proteger le royaume dont vous avez la charge.

Votre épée est couverte du sang des traitres? Allons donc, je demande à ce que l'on retrouve de suite le corps de ce pauvre page que vous avez du estourbir au croisement des couloirs de cette assemblée.

Mais ne soyez pas si nombriliste sieur Korrak, le monde ne se limite pas à votre seule personne, le haut echevin blame des faiblesses, faiblesses dont devrait se défaire ceux qui aspirent à regner, tout du moins durablement. Que vous ne soyez pas cirannais est une chose mais que vous nuisiez à ce pays, on ne peut que comprendre l'indignation de ses habitants.

Quand aux prisonniers, il semblerait que vous soyez incapables de vous en occuper seul, même pour une tache aussi insignifiante il vous faut quémander de l'aide, déplorable.
Sachez toutefois que nous sommes ravis d'apprendre que vous prenez grand soin de l'echevin. Peut être auriez vous pu le saisir avant de faire couler à flot le sang du Ciran, enfin...

Reflechissez donc sur votre incompetence car c'est elle comme votre sang qui ont amené une si tragique situation, attendez vous après ça à ce que d'autres prennent la suite du seigneur Laetius du moins tant que vous ne comblerez pas les attentes du peuples."

"Demander de l'aide? Ohhh alors vous préfériez que je l'exécute? Pour un fervant représentant de Gaed tel que vous, cela semble des plus Anti-gaedien comme propos. Pour ce qui est de mon incompétence à défendre le Ciran... J'avoue avoir laissé certaine cité non défendue, la venue de nouveau seigneur au Ciran m'ayant pris par surprise je n'ai malheureusement pas eu le temps de recrutez assez pour défendre adéquatement chaque cité. Je prend le blâme pour la défense ce c'est ville.

Le simple fait que je le laisse vivre représente beaucoup plus un signe de bonne foi de ma part plutot que de la rancoeur surtout que vous avez joué un rôle direct dans cette affaire homme du Beilan

Je peux même dire que j'admire le courage du seigneur Laetius qui à tenté de tenir tête à une vaste armé. Même si les moyens pour y arrivé ne m'ont guère plus.

Ainsi donc, accompagné par une escorte osmadienne, l'ancien Grand Echevin et ancien Ciranais Laetius d'Halrek fut condui jusqu'à Beila, où la garde royale de Daekarn de Beila l'accueillit. Il était à présent dans la maison du roi.

"Nous parlions bien evidement de nos compatriotes, ceux que vous même avez suggéré d'offrir à vos amis graméens, mais voyez vous je ne suis pas habilité à négocier leur traitement, ces hommes sont sous la responsabilité du roi.

Pour ce qui est de Laetius, je doute qu'il vous soit favorable de revenir sur votre parole, à moins bien sûr que vous ne souhaitiez vous compromettre davantage et par la même donner raison à vos defractaires."

"Je n'ai aucunement l'intention de revenir sur ma parole et d'exécuter sieur Laetius.

Pour ce qui est de vos survivant je traiterer avec votre roi pour l'instant ils sont bien traité et soigne leur blessure de guerre"

Holric Barbe-de-feu, représentant du roy se leva après avoir lu les directives officielles de son maitre chercha le seigneur Korrak du regard ne l'ayant jamais vu en cette assemblée, une fois qu'il eut trouvé :

Sieur Korrak vous dialoguez avec nous ? C'est trop d'honneur, mais notre conversation ne sera que de courte durée, un dignitaire Beilannais s'était rendu au Ciran sur l'invitation du maitre d'Halrek et ce fut une surprise de voir que vos troupes assieigé la citée de ce dernier. Vous vouliez voir ce qui se tramais à l'interieur ? Je vois que vous avez de drole de façon de proceder, les trébuchets que vous construisiez était sensés ouvrir les portes ? De plus je crois qu'un seigneur n'est pas obligé de tous vous rapporter sur la manière dont se tient sa maisonné. Si vous vous demandez pourquoi un contingent aussi important était là pour ce qui était une déléguation, c'est qu'en tant qu'invité nous transportions des présents pour le seigneur nous ayant ouvert les portes de sa citée et vu les récents évenement entre nos pays je crois que cela était plus prudent.
Les attaques envers les citées n'était pas prévu, disons que nos hommes ne savent pas toujours ce contrôler, mais étant d'origine Fironkoise, je crois que ces derniers s'en sont tres bien tirés et même les survivants s'en tireront, pensant à l'origine de leur maitre Grabonnweek dit le chêne ancien esclave.
Nous acceuillerons le seigneur d'Halrek, comme il se doit, au vue de nos entretiens nous avons reconnu sa valeur contrairement à vous.

Voici dans les grandes largeurs ce que le roy du Beilan me fait vous dire Ô intendant du crian.

Holric se rassit en étouffant un rire, voyant un Ciran en flamme, un intendant incompetent et qui se gaussait de sa faible emprise sur la situation.

"Laetius nous as déja avouez sa trahison, ne tentez pas de dire que vous transportiez des présents.

Ne gaspillez pas votre salive. Étrangement il me semblait que la pluspart de vos soldats était Fironkois, puisque ceux qui était originaire du Beilan pleurait comme des bébé lorsque nous les avons massacré. Au moins les Fironkois mourrais avec honneur."

Un vieillard encapuchonné qui se trouvait dans la salle à la tribune beilanaise s'adressa à l'intendant du Ciran en ces termes.

"Pourquoi n'iriez-vous pas rejoindre votre pays afin de pouvoir juger par vous mêmes de la situation de vos cités ? Afin de pouvoir demander aux soldats qui se sont battus pour vous ce qu'ils ont pensé des Beilanais et des Ciranais qu'ils durent affronter ? Afin de voir ce qui se passe réellement dans votre "royaume" ?

Le trône d'Ephyne peut bien vous délivrer de vos "obligations" pour quelques jours, le temps que vous rejoigniez vos gens et constatiez les causes et les conséquences de ces troubles."

"Croyez vous que je soit à ce point aveugle? La majorité du Ciran est encore fidèle au Gaedisme. Malheureusement la décision du Saint Ordre ayant affecté beaucoup de nos citoyens nous n'avons eu d'autre choix que de nous renfermé en laissant le temps faire son oeuvre et espérer que la plupart des gens passe par dessus cette épreuve.

Nous voyons que cela ne fonctionne guère jusqu'a présent nous prendrons donc un temps de réflexion sur l'avenir du Ciran indépendament de tous. Pour l'instant le Ciran n'as pas besoin des insultes et des intéférences des autres nations dans c'est affaires."

Huhu, ahahaha, vous etes physionomiste surement pour dicerner un beilannais d'un fironkois, dommage que ce contingent n'était composé qu'exclusivement de fironkois.

Pour de ce qui est de la révélation du seigneur Laetius, brouhouh je crois que nous sommes démasqués mais je crains que que mon roy s'en tiendra à sa version et la seule version officielle du Beilan; ce dernier se fout royalement -il n'en pourrait etre autrment- de cette histoire de...de...renversement de trône ? Si cela avait été la volonté de la couronne beilanne, cela aurait été déclaré et il n'y aurait pas eut qu'un petit contigent d'hommes envoyé dans votre contrée.
Laissez nous vous rappelez que vous avez été engendré par Ilaak et que nous avons engendré Ilaak, il me semble qu'au final le Beilan a une certaine ascendence sur le Ciran.

Jetant un regard amusé à la situation, le diplomate représentant Melit-Aend se pencha à l'oreille de son voisin.

Il est heureux que sire Korrak pense à nous pour corriger ses seigneurs traîtres, mais il serait plus profitable qu'il vienne par lui-même en nos terres. Nous pourrons lui montrer avec application ce qu'il convient de faire aux renégats, et celà aura au moins le mérite de lui éviter d'avoir à confier ses rebus à d'autres.

Pouffant doucement à l'écoute de ses mots, le vieux prêtre reporta son attention sur son parchemin. Se levant, le diplomate prit la parole, se mélant avec joie au conflit qui opposait ces deux pays anciennement alliés.

Voyons Beilannais, soyez franc pour une fois et annoncez vos intentions concernant le Ciran. Tout homme avisé saurait qu'il est déconseillé d'envoyer un régiment de guerriers fironkois lorsque l'on ne souhaîte que rendre une visite de courtoisie. Ses barbares seraient incapables de se contrôler, la preuve...

Quand à vous seigneur Korrak, rentrez donc à Osmad vous cacher, cette vieille habitude doit sans doute vous démanger. Peut-être devriez-vous vous inspirer des techniques "barbares" de Gramée, elles ont le mérite d'être efficace pour réprimer une révolte dans l'oeuf. En attendant, je crois que vous devriez surveiller vos contrés au lieu de venir pleurer sur la méchanceté du monde en ces lieux. Je suis sur que les Empersois seront ravis de vous aider à affirmer votre autorité déclinante auprès de vos quelques nobliaux. Ils ont toujours aimé se méler de ce qui ne les concernait pas, cette fois-là ne fera pas exception.

Reprenant place, le diplomate reprit son parchemin et sa plume, chuchotant d'un air distrait avec le prêtre.

Avec un sourire espiègle voire complice envers le graméen :

Que voulez-vous que je vous dises, ce n'est pas de ma faute si ces derniers sont un peu Chahuteurs. Nous les avons affecté à cette mission car ils commençaient trépigné et avec les quelques troubles de l'ordre qu'ils ont fait à Beila, nous avons décidé que le mieux était qu'il aillent se faire oublier quelques temps mais apparement c'est encore pire.

Ridicule, si vos troupes recherche l'hospitalité, j'invite toute les troupes du Beilan à venir a Osmad au lieu de ce cacher derrière les murs de parasite.

Allez couard, venez à Osmad, je vous déclare la guerre. À moins d'étre trop lâche pour accepté de vous montré en terrain découvert.

Quelques jours plus tard, et accompagné d'une petite troupe (composée pour la plus grande part de cousins et de survivants des armées mercenaires fironkoises), Laetius d'Halrek, ancien seigneur d'Halrek, se présenta à l'assemblée. Il était fort richement mis, et, malgré une cicatrice encore fraîche au col, il semblait vivre des jours particulièrement paisibles.

"Déclarer la guerre à un royaume, puis lui demander d'avoir la gentillesse de le rejoindre devant sa forteresse... Korrak... Je comprends à présent pourquoi le siège de ma ville prend autant de temps. Vous semblez diriger vos ostes aussi brillamment que vos affaires avec le reste du monde. Nous mettrons vos billevesées sur le compte de votre âge avancé."

Contenant un rire coriace :

Voyons, seigneur Korrak vous ne parlez pas serieusement, arretez ces plaisanteries. Une poignée d' hommes du Beilan a mit à sac votre pays et vous invitez tout notre pays à venir vous apprendre comment on se bat ? Je crois que nous connaissaons déja le résultat et n'allons pas nous déplacer pour si peu.

Mais ne profrerez pas ces mots à la légere, cela pourrait avoir de lourdes conséquences sur des pays moins indulgent.

Allez cessez de vous trouvez des excuses et venez vous battre vous même.

Une poigné de soldat et toujours plus rapide qu'une vaste armé. Je le répète je vous déclare la guerre et je vous attend devant Osmad. Amené votre si vaste armé qu'on en finisse de vos sournoiserie.

Pour ce qui est de vous Laetius, pour quelqu'un à qui j'ai laissé la vie vous faite preuve d'une grande arrogance, n'est-ce pas vous qui pleuriez pour que je ne vous tranche pas la gorge? Il me semble que oui. Sachez que votre population mourra par la famine ce qui me semble un juste chatiment. Je ne dépenserais pas 1 retrahs pour prendre une ville qui peut aussi bien mourrir par une lente agonie.