Troupe du Beilan au Ciran

Je vous trouve bien sûr de vous pour quelqu'un qui n'est pas rentré à Osmad depuis les troubles. J'imagine que vous tenez ces assertions de sbires assez zélés. Que ne ferait-on pas pour figurer sur le testament du vieillard le plus riche du Ciran, je vous le demande !


Quant à mes paysans, et si les lettres que m'envoient mes fidèles sont vraies, ils se sont enfuis lorsque vos pendards brûlaient leurs champs. Il ne reste donc que quelques centaines d'archers miliciens, et les réserves de mes greniers - qui sont ma foi honorables. J'espère que vous verrez Halrek tomber avant que votre goutte ne vous emporte ad patrès.

Sirotant du vin :

Huhu, des excuses ? Je crois que vous ne comprenez pas la situation, les faits sont là, une poignée d'hommes a mit votre pays à feu et sang. C'est vous qui avez quelque chose à prouver non nous.

De plus, je suis assez hilare, vous nous déclarez la guerre et c'est à nous de nous déplacer quelle drole de coutume, ne serait-ce pas une déclaration de poule mouillée en bonne et dûe forme ?

Mais si vous tenez vraiment à recevoir une leçon, mon roy accepte une audience sur ses terres.

Réfléchissez sire Korrak, la Gramée n'a toujours pas épongé ses dettes envers la couronne cirannaise, et vous êtes tenu en echec par un groupe de roturiers, armés de quelques arcs dont ils ne savent probablement même pas faire usage ! Déclarer la guerre au Beilan tient soit du courage, soit de votre sénilité grandissante. Au vu de votre âge et de votre perception faussé du monde qui vous entoure j'opterais pour le second choix....

Vous imaginez-vous un instant pouvoir remporter la victoire ? Si l'on en croit les rapports concernant ce siège qui s'éternise, il suffirait de crier un peu plus fort que la moyenne pour finir de démoraliser vos troupes. Ne songez pas que la Gramée ait oublié sa promesse : vous vous êtes moqué de nous, vous nous avez pris de haut fut un temps, mais aujourd'hui vous êtes seul, et je vous rappelle que la Gramée ne pardonne jamais. Vous vous sentiez à l'abris, caché derrière l'intendant d'ephyne, à jouer au chien fidèle. Mais il semblerait que ce soit le maître qui ait abandonné le molosse. Je n'ai pas eu la chance d'entendre la moindre parole de la tribune Empersoise, il semblerait que vous soyez allé trop loin vieil homme...

Se tournant vers la tribune Beilannaise :

Ceci ressemble, à s'y méprendre, à la demande d'un homme désespéré qui n'attend plus rien de la vie. Je vous suggère de prendre ses mots à la lettre messire. Il est de votre devoir, en bon Gaedien, d'exaucer le dernier voeu d'un homme rongé par la folie.

Avec un sourire narquois en direction de Korrak, le Graméen reprit place.

Il est étonnant de votre part Aust Felkan de parlé ainsi surtout que depuis quelque temps vous cherchiez des alliées pour vous opposez au Saint Ordre.

Vous pouvez toujours dire le contraire mais je voit parfaitement ce que vous voulez, simplement éloigné les troupes du beilan pour en profité probablement soit je n'en ai que faire.

Mais comme le Beilan à ouvert les hostilité et qu'il souhaite venir au Ciran recevoir de l'hospitalité je crois que c'est vous qui étes une poule mouillé. Comme vous le dites si mes armés son si démoralisé je crois que vos armé viendrons à bout de ceux du Ciran rapidement non?

Tûtûtût, Korrak, que de mauvaise foi. Les troupes beilanaises n'ont en aucun cas ouvert les hostilités. C'est vous. Lorsque vous commençâtes le premier siège de ma cité, les Beilanais n'eurent d'autre choix que d'ouvrir un passage à la pointe de l'épée. Ils se défendirent légitimement, ils ripostèrent à votre attaque, en somme.

Je vous ai sommé d'ouvrir vos portes nombre de foits, j'ai tenté d'enfoncé vos portes après votre non réponse et vous avez alors attaqué mes troupes.

De toute facon vous ne pouvez pas dire que je n'ai pas bien fait puisque vous prépariez une trahison. Une trahison n'est pas un acte d'ouverture des hostilité je suppose? Ceci dit je n'ai de compte à vous rendre.

Et comme vous l'avez dit si bien, En terme de stratégie il serait stupide d'allez affronté des troupes ennemis dans leur propre territoire lorsque je suis en infériorité numérique. J'attendrais donc la venue de leur troupe bien assit chez moi en espérant qu'au lieu de joué au fourbe il ose enfin montré leur "toute divine" puissance.

Je n'ai souhaité votre renversement qu'après vos attaques contre ma ville et ma personne... Cessez donc d'imaginer mille-et-une situations toutes plus folles les unes que les autres, vous ressemblez à un enfant babillard.

Comme vous le dites vous-mêmes, nous n'avons aucun compte à vous rendre. Aussi vos menaces et vos ordres pour me forcer à ouvrir les portes d'Halrek étaient vaines. Ensuite, pardonnez-moi, mais le fait d'essayer de défoncer mes portes et de m'assiéger avec plusieurs trébuchets ne me paraissent pas être des actes d'amitié. On peut logiquement déclarer que vous avez porté les premiers coups.

Enfin, je ne puis que vous conseiller de rester cloîtré chez vous, premièrement pour que nous ne subissions plus vos provocations et autres accès de paranoïa, secondement pour éviter d'être victime d'un accident importun.

Je crois que cacher des troupes ennemies et depuis longtemps vous prépariez une trahison maintenant que vous étes loin de ma lame vous pouvez vous permettre de désavoué ce fait. De plus avoir pillé et mit en esclavage nombre de cité n'ayant rien fait pour un pareil chatiment mine votre crédibilité.

Je n'ai rien à faire de ce que vous avez à dire présentement ou dans le futur, vous n'étes plus au Ciran.

Et vous, vous n'avez jamais été du Ciran. Vous faites passer les intérêts de votre faction avant ceux du pays que vous gouvernez.

Quant à ces fameuses troupes ennemies, je vous rappelle que vous venez de déclarez le Beilan ennemi au Ciran, c'est-à-dire une demi-année après mon accueil des troupes beilanaises, qui à l'époque restaient des armées amies. Pour ce qui est de cette fameuse trahison, je ne suis pas aussi sot que vous, et le monde pourra juger que ce n'est pas avec 5000 hommes d'armes de Beila que j'allais pouvoir vous renverser. Votre cerveau vous joue des tours.

Enfin, pour les cités, je n'ai pas à m'expliquer. Halrek n'avait pas non plus à subir le siège d'Osmad, et pour tel est le cas. Le reste du Ciran vous étant allié, aucune raison valable ne me fit retenir la hargne de mes hommes.

Si vous auriez été la bien avant vous auriez su que le Beilan et le Ciran était dans des relations des plus tendues depuis longtemps aucune troupe cirainnaise n'aurait été autorisé au Beilan et il était demême pour le contraire. Vous n'avez fait que mettre le feu au poudre de ce qu'il aurait fini par sauté de toute facon.

Pour ce qui est du nombre de troupes du Beilan, si vous auriez ouvert les portes de votre cité peut-étre n'aurions nous pas eu à en venir là mais il est difficile de juger l'étendue de troupe lorsqu'elle ce cache derrière des remparts.

Mais Korrak, nous avons ouvert nos portes, et vos armées ont pu constaté l'étendue des effectifs beilanais... avant qu'ils ne passent à l'attaque.

J'apprends donc que si vous êtes venu "inspecter" ma cité, ce n'était pas involontaire. Vous souhaitiez la perte d'un Ciranais pour pouvoir massacrer une armée beilanaise, et ainsi déclarer après une victoire écrasante la guerre au Beilan. Malheureusement pour vous, il fallut plusieurs milliers de morts et quelques cités ciranaises en flammes pour enfin pouvoir attraper les armées du roi Daekarn. C'est regrettable, mais mérité.

Votre perte? Je ne souhaitais rien de tel, j'avais eu vent de rumeur à ce sujet. L'inspection n'était qu'un prétexte pour voir si les rumeurs était fondé. Le simple fait que je n'ai pas déplacer une grande parti de mes troupes pour ouvrir les portes de votre cité était que je doutais que c'est rumeurs soit fondé.

Vous vous étes coulé vous même, si vous m'auriez contacté après mes 2 avertissement m'expliquant la situation rien de tel ne serait arrivé. Vous avez agit que pour vous même et non dans les intérêt des Cirannais, sinon pourquoi avoir faire payé des cité donc les seigneurs ne font que s'occupé de leur petite affaire et gère leur population de façon pacifique.

Parce qu'elles étaient autant de soutien financiers et agricoles attachés à Osmad. Quant à vos missives, elles étaient toujours ponctuées de menaces. Ne vous devant rien, je n'avais pas à vous mettre au courant des affaires qui touchent ma cité, et ma cité seule.

Edityr : Pas de HRP en H&D, lisez le règlement.