Un matin de l’automne 238, Suriak reçut une missive du chef d’un village proche lui demandant assistance contre une petite bande de pilleurs qui sévissait depuis quelques temps dans la région. Il parti avec une petite troupe régler le problème. Cela ne fut pas long mais a son retour, il eu la surprise d’apprendre que le Commandeur et Sir Erasten étaient parti en Empersiste. Interloqué il chevaucha vers Börm et s’enquit auprès des assistants de Zefak de la raison d’un tel départ. En sortant du bâtiment, Suriak eu un sourire :
« héhéhé… que le mouvement gagne Retrahant… »
Et il reparti, Goktam et quelques milliers d’homme l’attendait.
L’expédition revint quelques temps plus tard et avec elle, les témoignages de l’agitation des combats…
En quelques jours la rumeur fit le tour de Fironk et Suriak eu de plus en plus de mal a tenir ses combattants. D’autant plus que le mouvement gagna réellement le monde, les Gaédiens allèrent dans les marais et, les alliances aidant, les peuples de tout horizons se retrouvèrent pour honorer le mouvement.
C’est donc avec soulagement et surtout une grande satisfaction qu’il lut la missive de Zéfak lui proposant de continuer son oeuvre en Empersiste.
Les deux commandants convinrent du lieu de rendez-vous et les armées partirent au début de l’automne 238. Conformément aux prévisions Suriak et ses hommes arrivèrent durant l’hivers 239, devant la citée d’Ezald…
Mais a l’approche de la ville, les éclaireurs ne rapportèrent pas la vison entretenus par l’armée d’une muraille garnit d’archets et de portes massives. Non, ce que les éclaireurs décrièrent fut bien moins impressionnant et lorsque Suriak vit les murs de la ville il n’eut qu’une parole :
« Le mouvement nous a précédé ici »
Il dressèrent un camps a quelques lieux de la résidence empersoise et attendirent la venu du commandeur. Le commandant envoya des cavaliers dans toutes les direction a sa recherche et aussi pour le prévenir de la situation. Suriak fut très étonné l’ors que l’un d’eux revint quelques heures après annonçant les troupes du commandeur. Il enfourcha son Yiota est parti tranquillement a sa rencontre. Mais Suriak eu de nouveau une surprise, et bien plus désagréable… Il revint au galop et s’arrêtant devant l’éclaireur, le souleva jusqu'au niveau de ses yeux et cria de toutes ses forces :
« Abruti ! C’est pas Zefak, ce sont les armées ennemies ! »
Puis se tournant vers ses généraux,
« allé ! bougez vous ! organisez moi cette armée ! Les archets sur les hauteurs, les cavaliers en embuscade et le reste en face ! Et protégez les archers ! allé ! »
La suite fut beaucoup plus confuse. Après une volée de flèche les charges adverses se rencontrèrent. Le choc fut brutal et les troupes se divisèrent pour faire place a des duels acharnés. Malgré leur nombre inférieur, les Fironkois était avantagés sur ce type de combat et avec leur adresse ajouté a leur enthousiasme l’équilibre fut rapidement rétablit.
Les combats firent rage durant plusieurs heure, si bien qu’a l’issue du combat c’est une armée Fironkoise réduit à quelques centaines d’hommes qui rejoignit les archets restés en retrait.
Suriak, en arrivant sur les hauteurs, leva sa hache et cria :
« Vous voilà satisfaits ! L’action que vous demandiez vous a été donné ! Que le mouvement nous garde ! »
Et le crie des victorieux retenti sur le champ de bataille.
Mais leur joie devait être de courte durée.
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