[Melit-Aend] le banquet de Gramée.

Voila deja quelques saisons que la Gramées connaissait la paix. Chaque hommes ou femmes quelques soient leur rang dans la hierarchie pourvaient manger ca faim. Aucun pillage, aucune guerre n'étaient venu troubler leur vie.

Le seigneur Kaligane, Intendant de Gramée, adopté au fil des ans par tous, décida qu'il était temps de revoir ces amis et alliés du royaume.

Quoi de mieux que la fin de l'année et l'hiver pour réchauffer les coeur mais aussi l'estomac.

Il décida donc d'envoyer ses coursiers à travers le pays afin de mener nouvelle aux dames et seigneurs. Tous, riches ou pauvres, étaient conviés pour le plus grand banquet que la Gramée n'est connus. La capitale sera le lieu de la festivité.

Il commanda moult boustifaille. La boisson coulera a flot. Des tentes seront dréssés même a l'extérieur de la capitale pour acceuillir les convives.

Il fallut des jours pour monter ce grand banquet.

Quand le jour vind, Kaligane mit ses vetement d'apparat. Deja moult personnes étaient dans la place. Cependant, il avait demandé que soit fait honneur aux dames et seigneurs qui dirigeait un territoire. Il attendait donc au pas de la grande porte de la capitale que ces prestigieuses invités viennent a lui pour célébrer les retrouvailles.

Horn se trouvait alors à Melit Aend, si bien qu'il reçut l'invitation rapidement. Saltern n'est pas un village opulent -loin de là- et ce repas sonnait comme un appel aux démonstrations de puissance. Il n'était question de soutenir la comparaison ...
Le jour même Horn se rasa de près -chose qui lui arrivait rarement- et partit engager à la journée deux valets qu'il habilla aux couleurs de Saltern. Qui verrait la différence ? Un gueux reste un gueux. L'homme se dirigea alors aux portes de la ville.

Une délégation se trouvait là, à la tête de laquelle on pouvait voir le Seigneur Kaligane. Tant de faste, de magnificence, ... Se retournant pour voir si une noble maison ne se tenait derrière lui (le quiproquo eut été embarassant), Horn se dirigea vers l'Intendant.
_ Echk Seigneur Intendant ! Quelle belle journée pour un banquet.

Se tournant vers ses deux valets :
_ Voici deux de mes gens qui ont fait le voyage spécialement pour vous. Chacun deux à un présent typique de Saltern ; ce n'est pas grand chose mais acceptez ces cadeaux comme un témoin de notre amitié.

Les deux valets apportèrent deux mallettes dans lesquels se tenait une potion. Horn reprit de sa grosse voix :
_ Un sel pour l'amour ; l'autre pour la mort. Il vous suffira de saler les ingrédients de la personne désirée pour la voir mourir ou tomber éperduement amoureuse de vous.

Horn attendit alors la réaction de Kaligane et la venue d'autre invité.


Edit Kasterian : Pour ne pas nuire à la lisibilité de votre post, les centers ont été enlevés. Merci de votre compréhension.

La deuxième délégation à se présenter aux portes de la cité sacrée était composée de deux longue files de cavaliers noirs en tenue de cérémonie, qui se tenaient des deux cotés d'un cortége d'attelage comprennant des charriots et de quelques carrosses.

Les occupants de certains de ses attelages envoyaient de ci et de là des pièces et des friandises à la foule et une fois arrivé au pied du palais royal, les occupant de la plus imposant carrosse furent accueillis comme il se devait pas le maître des lieu.

Artusia avait pris quelque année en plus et a côté d'elle son jeune fils se tenait fier comme un fièr Amr'khan.

-* Seigneur Kaligane cela fait longtemp que nous nous somme vu. Je suis heureuse que vous vous portiez bien et que la capitale soit toute aussi belle que dans mes souvenir....le pays prospère et nul ne se plains. De mémoire d'historien, il semblerais que ce payx n'est jamais connus pareil période de paix et de prospérité dans toute son histoire.*

Arrivé à l'intérieur du palais, elle alla à la rencontre de son cher ami le vaillant seigneur Horn.

- * Ainsi donc vous m'avez oublié....je pensais vous voir mais l'on raconte que pour vous trouver il faut vous suivre à traver toute la contrée....Vous m'avez manqué vieu Loup solitaire. *

Une vingtaine de cavaliers se présenta aux portes de Melit Aend. Ces hommes avaient tous l'air de barbares venus d'on ne sais où. Aucun ne portait d'uniformes à proprement parler. Chacun d'entre eux portait sa propre armure de cuir, avec ses couleurs et ses décorations. Leurs seuls points communs étaient leurs rondaches noires frappées d'une larme de sang qu'ils portaient dans le dos, ainsi qu'une lourde hache de bataille qui pendait au flanc de leurs montures. Ces guerriers, de part leur taille et leur accoutrement étaient impressionnants. Mais toute aussi impressionnante était la femme qui semblaient les commander. Moyennement grande, élancée, à la musculature fine, mais puissante. Elle était entièrement vêtue de cuir rouge. La garde, ouvragée, de son épée dépassait de son dos et un long fouet était accroché à sa ceinture.
Ne les connaissant pas, un des gardes chargé de la surveillance de l'entrée de la capitale se précipita vers les cavaliers. Il se planta devant le cheval d'Oraganza.

"Halte, étrangers ! On ne passe pas ! Seuls sont admis ici les invités du noble intendant Kaligane !"

Elle n'arrêta pas son cheval et lorsqu'elle fut a hauteur du garde, elle le repoussa d'un violent coup de pied.

"OTE TOI DE MON CHEMIN, CRAPAUD PURULENT !"

Violemment repossé, le garde tira son arme de son fourreau, mais la femme fut plus rapide que lui. Le fouet siffla et la lanière de cuir vint s'enrouler autour du cou de l'homme. Elle tira un coup sec sur son fouet pour ramener vers elle le garde qui en fit tomber son épée et dit d'un ton glacial :

"Ecoute moi bien, chien ! Mon nom est Oraganza Feld Brumacier. Mais comme tu m'est sympatique, tu aura le droit de mappeler Jabbress Oraganza. C'est clair ?"
"..."
"C'EST CLAIR !!"
"O... Oui, balbutia le garde..."
"OUI, QUI ?"
"Oui... Jabbress... Oraganza..."
"Voilà qui est mieux, dit elle. Maintenant, à genoux !"

Tremblant de tous ses membres, le garde obtempéra.

"Finalement, non... Je veux que tu te mettes à quatre pattes !"

Humilié, mais redoutant déjà cette femme, il obéit. Rapprochant son cheval, elle se servit du garde comme d'un marche pied pour descendre de sa monture.

Alertés par cette agression, le capitaine de la garde et quelques uns de ses hommes s'élancèrent, armes nues, vers les cavaliers. Aussitôt, les hommes d'Oraganza enfilèrent leurs boucliers, se saisirent de leurs haches et firent un rempart de leurs corps pour protéger leur maîtresse. Les gardes de Melit Aend s'arrêtèrent face à eux et les guerriers des deux camps se dévisagèrent haineusement, prêts à en découdre...

Le seigneur Kaligane accepta le cadeau du seigneur Horn Erthe avec grande joie.

Cher seigneur, c'est avec grand bonheur de vous voir present a mon banquet.


Votre coeur est grand et vous êtes autant conssidéré que tout les grands seigneur du royaume. Que la capitale s'ouvre a vous en cette belle journée cher seigneur. Je ferais en sorte que vous soyez bien traitez, vous ainsi que vos valet.

Le seigneur Kaligane, veillit par les ans se tourna vers sa garde.

Aller me chercher des bras pour les affaires du seigneur Horn Erthe. Conssidéré le comme un grand. Qu'il ait autant d'honneur que les autres


Le chef de la garde siffla, des hommes qui appararurent sur le pas de la grande porte.

Il donna des ordres. Les gens du seigneur Kaligane furent tellement éfficace que même les valets du seigneur Horn Erthe n'avaient plus rien a porter.

Ce fut au même moment que le carrosse de dame Artusia arriva a leur hauteur.

Il vit le seigneur Horn Erthe acceuillir la dame et son fils. Le visage ridé du vieille intendant s'éclaira d'une grande joie en voyant le jeune garçon. Kaligane était père mais n'étais pas encore grand père et cela lui manquait.

Il attendit que le seigneur Horn Erthe eut acceuillit dame artusia pour la saluer a son tour.

Difficilement, il mit un genoux a terre en guise de respect et baisa la main de la femme. Les vieux reflexe de la cour Emperoise était encore la malgrès le fait que le seigneur Kaligane est prit les coutumes Graméennes au fil des ans.

C'est a ce moment qu'il eu du grabuge. Kaligane ne put voir exactement ce qui ce passait, sa garde personnel c'était mis en formation autour de ses hotes et de lui pour les protéger.

Kaligane s'avanca d'un pas décidé vers le nouvel arrivant.

Ola, Que ce passe t'il ici ? Pourquoi tant de violence ? Présentez vous a l'intendant de Gramée.

Les gardes de Kaligane s'étaient approché de l'intendant, pret a le défendre.

A l'arrivée de leur chef, les gardes de Melit Aend se détendirent quelque peu. Comme s'il ne faisait aucun doute, maintenant, qu'ils n'avaient plus rien à craindre des hommes qui leur faisait face.
Les barbares d'Oraganza, eux, ne bougeaient pas d'un pouce. Leurs haches levées et les rondaches noires les protégeant, ils étaient prêts à bondir sur leurs adversaires sur un seul mot de leur maîtresse. Au milieu de ces hommes, Oraganza avait elle aussi sortie son arme et sans la remettre au fourreau, sortit des rangs pour s'approcher des nouveaux arrivants. Bien qu'entouré de gardes pour le protéger, elle put distinguer celui qui se disait intendant de Gramée.

"C'est toi, Kaligane ? Serais tu plus peureux qu'un chiot pour ne sortir qu'entouré d'une meute qui montre les crocs à chaque fois que quelqu'un éternue ?"

Oraganza rengaina son arme, montrant ainsi qu'elle ne craignait rien de ses opposants. Toisant Kaligane, elle continua à parler. Elle mit dans sa voix tout le mépris qu'elle avait en elle.

"Toi qui sièges là où fut ma mère jadis, écoute moi ! Je suis Oraganza Feld Brumacier, fille de le Grande Prêtresse Doubiah. Mais je suis ici en tant qu'héritière de la grande Sophréna Osgarth, un nom qui fit trembler quelques empersois, n'est ce pas ? Je suis venue aujourd'hui pour me recueillir à l'endroit où ma mère a trouvé la mort. Il n'était pas dans mon intention de troubler ta... fête, bien que cela me réjouisse, mais ton... homme... m'a manqué de respect et je ne le tolère pas.
Maintenant, je vais entrer dans Melit Aend, à toi de voir de quelle façon. Sois tu nous laisse entrer et je m'arrangerai pour ne plus troubler ta galante réception, sois je demande à mes barbares de me frayer un passage jusqu'aux portes. J'adore le bruit des haches fendant les crânes...
Continuant plus mielleusement. Le choix te reviens, Kaligane. Ne me laisse pas un mauvais souvenir de notre première rencontre..."

Kaligane eut un sourire en coin.
tu me traite de chiot peureux alors que tu fais de même entouré de tes hommes ? Peu importe qui tu ai et de qui tu dessend. Mais si tu veux te receuillir sur la tombe de ton ailleul, je te laisse porte grande ouverte.

Il fixa les hommes accompagnant le nouvel arrivant

Je ne souhaite pas que la fête soit gaché par le sang et des têtes planté sur des pics.

Cependant, vous ne me faite point peur, Je suis vieux et j'en ai vu d'autre. Si vous n'avez aucun respect d'autre en on a votre place. Il se tourna ver ses amis.

Maintenant entré et pas de grabuge. 20 de vos hommes ne te serviront pas vu le nombre de contingent qui sont a l'intérieur de la capitale.

Kaligane se retourna sans regarder un instant de plus cette personne, sa garde se referma derrière lui afin de le protéger de toute attaques félones

Artusia avait assisté à la scène de loin et ne pouvait s'empècher de rire légèrement à la vue d'un spéctacle fort musclé.

* - Décidement le seigneur kaligane a enfin réussit à intégrer nos moeurs...cela promet de bonnes choses pour nous. *
Dit-elle à l'oreille de l'un de ses conseillés et membre des moines guerriers sa garde...puis elle regarda la jeune Oraganza avec un air plein de curiosité et attendit qu'elle passa à sa hauteur pour l'interpeller.

* Vel'drav l' waelin kal'dakan jivvenn , nind orior gaer ulin .... ser nindel wun shar. L' Felds fuma morfeth folt natha zhennu talinthe whol gram é e nindel udos inbalus wun l' k'lararl ....usstan kestal nindel dosst ph' izil ulu plynn ol *

Elle lui remis une chevalière orné du blazon des felds et retourna vers l'interieur du palais


** C'est en jouant que les jeunes fauves se préparent à la vie adulte...gardez cela en tête. Le nom des felds à beaucoup apporté à notre pays.....J'espère que vous vous en montrerez digne **

Oraganza était contente d'elle... Tout avait fonctionné comme elle l'espérait. Celui qui se prétendait intendant avait eu raison. S'il avait refusé l'entrée de Melit Aend, il aurait certainement gagné. Même si ses barbares et elle auraient largement pu se débarrasser de plus d'une centaine de gardes, ils auraient ertainement succombé sous le nombre. Mais Kaligane n'avait pas saisi sa chance. Faible ! Un faible qui croyait se donner de la puissance en criant... Oraganza n'avait pas besoin de crier, elle, pour se faire obéir. La preuve...
Mais cette chance était la seule qui lui serait jamais donnée.
Et cette Artusia... Pour qui se prenait elle ? Faible, elle aussi... Tous des faibles... Ont ils donc oubliés Amk Cherk. L'intendance molle de l'Empersois les a rendus bouffis, fainéants et imbus de leurs personnes... Il allait y avoir du travail. Mais elle garda ses pensées pour elle, le moment n'était encore pas venu.

"Amk Cherk me vienne en aide et qu'il me guide,souffla-t-elle."

Se tournant vers ses barbares :

"Nous entrons !"

Les barbares remirent leurs rondaches noires dans le dos et, haches au poings, suivirent leur maitresse dans la capitale...

Entouré de sa garde personnel, Kaligane demande a l'un e ses soldats de venir plus pret. Celui ci s'executa. Il parla a voix basse.

Je veux que vous suiviez de tres pret cette femmes et ces hommes. Soyez leur ombre sans être visible. Rapportez mois toute les 2 heures leur fais et gestes.
Elle a crue a une faiblesse de ma part en la laissant entrer. Elle n'a pas du comprendre ce geste de bonté. Je veux savoir ce qu'elle manigance. Elle n'est pas venue avec de bonnes intentions.

L'hommes sortie de groupe sans que personne ne remarque. Kaligane retourna vers ses amis

- Et bien Dame Artusia, cela fait plaisir de vous voir.

Accepteriez vous le bras d'un vieille homme pour vous accompagner à l'intérieur ?

Kaligane lui tendit son bras.

Mais je me demandais. Dame Syaral n'est toujours point la ?

Artusia pris le bras quilui était tendu et fit le chemin avec l'intendant de gramée

* -Dame syaral est souvent trés occuper avec les differentes taches qui incombent à son statut de général des armées..je n'ai moi même plus de ses nouvelles depuis quelques temps. Je dois dire que j'ai fort à faire avec mon fief ces temps-ci...Mais vous? On dit partout que vous etes malade..est-ce vrai?
je ne souhaiterais pas que vous disparéssiez sans avoir finit la tache qui vous imcombe mon chèr. *

Un petit sourire accompagna cette boutade

Comme de fait, vous avez raison, reprit Kaligane tout en emmenant dame Artusia. Je suis malade. Une maladie incurable. Cela s'appel la vieillesse. J'ai encore assez de force pour gourverner, mais jusqu'a quand ?

Je sais que ma tache n'est pas terminé, loin de la. Notre royaume est prospère mais nous sommes entouré d'ennemis impitoyable. regardez encore ce que nous venons de voir.

Il faut être vigilant. J'aimerai que dame Syaral soit là. Espere aussi que les autres viendont. Nous devont montrer notre unité au sein de ce royaume.

Il accompagna la dame jusqu'au vaste hall du palais de l'intendance. celui ci ne ressemblais plus au vieux palais d'antand. Il avait totalement été rénové pendant ces saisons prospères. Malgrès sont intégration en tant que Graméen, on ne pouvait que constater que le paaias avait aussi sa petite touche Emperoise.

Il présenta une table remplie de victuaille

- J'ai penssé qu'un petite collation, apres ce long voyage vous ferai du bien. Kaligane proposa un siège au seigneur Horst et a dame Artusia

Prenez des forces, le banquet ne ce tiendra que plus tard

J'attens les autres invités. J'aimerai que nous puissions parler ensemble avant la fête de ce soir

Oraganza eut un rictus d'agacement. Elle venait de surprendre le petit manège de Kaligane. Décidément, il avait encore beaucoup à apprendre des Felds. Et surtout de celles qui avaient eu le même enseignement que Sophréna Osgarth. Elle fit signe au capitaine de sa garde de s'approcher.

"Nous allons avoir un petit chien pendu à nos basques. Je ne veux pas que nous lui fassions le moindre mal. Nous allons juste le promener dans Melit Aend."
"Il en sera fait selon vos ordres, Jabbress !"

Avec dégout, elle observait le faste déployé pour ce banquet. Tout cela pour si peu d'invités... Un ! Peut être deux, si l'homme flanqué de deux gueux qu'elle apercevait au loin en faisait partie. Elle cracha par terre... Où était la splendeur des Kobakkis, ces fêtes à la gloire d'Amk Cherk.
Après avoir fait plusieurs tours dans les ruelles de Melit Aend, il arrivèrent devant le palais et ce qu'elle vit lui confirma ses craintes. Aucunes plaintes ne sortaient du temple qui avait l'air d'être abandonné. Il apparaissait que même Kalb Nasim ne brûlait plus.
Elle serra les poings de colère et regagna la sortie d'un pas décidé, ses barbares derrière elle. Arrivée près de l'enceinte, elle avisa Kaligane qui était toujours en conversation avec Artusia. Elle dégaina son épée et les barbares remirent leurs rondaches aux bras. Elle se plaça à 10 mètres environ de l'intendant et planta son épée dans le sol, tandis que les barbares frappaient en cadence leurs boucliers avec leurs haches. Elle fit une mimique de révérence, grossière, puis se releva dans un grand éclat de rire. Elle arracha son épée du sol et la remit au fourreau en criant un ordre dans une langue inconnue.
Tous enfourchèrent leurs chevaux et repartirent au galop vers Roarc'h Feld, laissant derrière eux un immense nuage de poussière.

Kaligane eut un sourir de coin. Il n'avait pas comprit un traitre mot de ce que venait de dire cette femme mais vue sa colère, il comprit qu'elle était enervé. Il se moquait bien. Bientot la Gramée connaitrait le changement et le banquet était l'une des raisons.
Quand a cette épée planté devant lui, il comprit que c'était une déclaration d'hostilité. Pas de guerre mais avait prit le message à la lettre.

L'homme qui avait pour mission de suivre le groupe arriva a sa hauteur. Il l'infomorma de ce qui c'était passé au temple. Kaligane eu l'air sougeur. Il comprit que cette femme serai l'une de ses préocupation sur un avenir proche. cependant, pour ce jour, l'heure était à la fête.

Il retourna voir ces amis. En esperant que d'autres délégations viennent a la capitale en ce jour de fête