Edwyn arrive en retrahant

Lorsque Edwyn, enroulée dans une grande cape noire avec un capuchon recouvrant sa tête, ne laissant rien voir de son visage, entra dans la taverne, elle fut surprise du monde qu'il y avait, et de la taille de la salle ! La salle était gigantesque, avec des tables de bois massif en travers la piece, et sur les côtés, ou des seigneurs, et quelques Dames, discutaient et buvaient ensemble. Personne ne sembla la remarquer, mais elle ne fit pas attention à ce détail. Elle se dirigea sur une petite table vide, dans l'angle de la piece. La table, ronde et simple, était quand meme assez grande pour accueillir cinq ou six personnes.
Une fois arrivée pres de la table, elle enleva son capuchon, révélant une chevelure brune, assez longue. Ses yeux, les mêmes que sa défunte mère étaient froid et d'un vert émeraude. Ensuite, elle enleva sa cape et la déposa à côté d'elle. Elle portait une armure d'or et de jais. Elle recouvrait tout son corps, bien découplé et grand. En effet, Edwyn était assez grande et frolait les deux metres. Sur ses épaules était gravé un blason. Petit et d'or, il représentait la tête d'un loup, tournée vers la droite, tenant dans sa gueule une épée d'argent

A son flanc pendait une épée, un peu moins longue que les épées courantes, mais d'un beauté fabuleuse. Faites par des Maitres-Forgerons pour honorer un ancien pacte, l'épée, faite d'argent, brillait. Son éclat semblait ne jamais pouvoir s'arreter de briller. De fines lignes, comme quelques lianes descendant d'un arbre, s'entre-melaient de jusqu'à la pointe. La poignée, sertie de deux émeraudes, aussi vertes que ses yeux, était assez grande pour pouvoir tenir l'épée à deux mains.

Edwyn s'assit et, quand le tavernier passa pres d'elle, elle l'appella et lui glissa quelques mots, pendant que plusieurs pieces d'or changeaient de mains. Le tavernier se leva et revint quelques instants plus tard, un verre dans une main. Puis il s'éloigna de nouveau.

Edwyn but une gorgée, puis reposa le verre et regarda autour d'elle, réveuse.
Elle essayait de se souvenir de son rêve, mais n'y arrivait pas. Cela l'avait préoccupée toute la journée, alors qu'elle visitait Gwain Ithil et esseyait d'en retirer quelque chose. Son père, le puissant Raphous, avait regné pendant longtemps en Emakhtila, un lointain continent. Mais des barbares étaient descendus des Montagnes de l'Est et avait incendié la capitale, forçant le Roi et sa famille à l'exil. C'est pendant cet exil qu'il disparut, laissant Edwyn avec le seule valet survivant. Elle avait neuf ans ...

A ces souvenirs, elle sentit ses yeux s'embués de larmes, mais elle les refoula. Ce n'était ni le moment, ni le lieu pour cela. Elle bu une gorgée de son verre puis replonga dans ses pensée, à mille lieues de l'auberge...

faulk vint près d elle tout habillé de sa cuirasse légère et décontracté et portant a son fourreau l épée de troye, magnifique épée d or qui represente son peuple des terres du nord et surtout sa ville natale où son père etait mort depuis peu.
il s approcha de la table de dame edwyn et lui demanda poliment si il pouvait lui offrir un nouveau vers .
il commanda pour lui en attente de sa reponse et s assit pour lui dire quelques mots, savoir d ou elle venait si elle avait fait bon voyage et il lui dit aussi que si elle avait un probleme il serait la pour elle et qu'à sa table il y aurait toujours une place pour elle.
puis il prit une gorgée

[edit de Spaak : correction de fautes... ]

Nombre de messages : 1973 Date d'inscription : 16/12/2004

Un homme vêtu d'une immense cape blanc cassé pénètra dans la taverne. Une épaisse buée sortait de sa bouche, ses lèvres craquelées tremblant quelque peu. Il ne devait pas avoir plus de vingt ans, et son visage, malgré qu'il soit bronzé, montra ses origines Empersoises.

Altir de Dare, Général des Armées Ombosiennes, faisait son entrée commencant à se familiariser avec ce milieu qu'il trouvait rustre, où l'alcool coulait à flot. Il s'avanca dans la pièce, ses pas se faisant clame et léger. Son corps entier était calme et serein malgré les événement plus que troublant se passant à son royaume. Sans doute voulait-il quitter le stress qui perdurait depuis de nombreuses saisons. [/b]

Toujours perdue dans ses pensées, elle ne vit pas un guerrier, vétu de sa cuirasse, arriver vers elle. Elle sursauta lorsque celui-ci lui adresse la parole. Un peu perdue, ne sachant plus ou elle se trouvait, elle eu un mouvement de recul, puis se reprit. Elle n'avait pas entendu le début de la phrase de l'homme, mais elle prit la caravane en marche, comme on dit en Emakhtila.

Je viens d'Emakhtila, un lointain continent. Mon pere en était le Roi, mais des barbares vinrent et nous forcerent à l'exil.

S'interrompant quelques instants pour boire, elle regarda un autre personnage entré, vétu d'une grande cape blanche. Apparemment, la température avait baissé à l'extérieur car de la vapeur sortait de sa bouche, et ses lèvres tremblaient quelque peu. Enfin, elle reprit

J'ai fait un assez bon voyage, en dehors du fait que nous étions une cinquantaine lorsque nous sommes partit, et que je suis arrivée en Retrahant avec le seul valet survivant. C'est grâce à lui que je suis vivante. A présent, je pense qu'il me considere comme sa fille ...

Tout ceci avait été dit sans la moindre ironie. Malgré ces pertes, elle s'était amusée pendant ce voyage... jusqu'à la disparition de son pere. Elle sembla une nouvelle fois perdue dans ses pensées, et son interlocuteur s'appretait à partir lorsqu'il se rendit compte qu'elle le fixait du regard.

Je ne crois pas que nous nous soyons présentés. Je me nomme Edwyn, fille de Raphous, Roi d'Emakhtila, et je dirige la ville nouvellement crée de Gwain Ithil.

Nombre de messages : 1973 Date d'inscription : 16/12/2004

Le jeune homme s'arrêta face au bar, non loin des deux protagonistes. Celui-ci commanda une chope de gueuze, visiblement habitué depuis son enseignement en Hérosie.

Altir, prit sa chope et humecta ses lèvres gersées avec l'alcool Hérosien. Il s'installa au bar, laissant son ouïe à la rencontre d'un sujet intéressant. Son regard se faisat vide, ses gestes mécaniques.

enchanté de faire votre connaissance mademoiselle.
je suis faulk, ou faulk le magnifique de nom entie,r je suis l intendant des terres du nord et donc seigneur de la capital qui est troye .
je suis le seul fils de mon defunt pere sapp le grand , vous comprenez donc que c est pour cela que je suis intendant malgré mon jeune age .
faulk reprit une gorgée de son brevage
sachez donc si vous avez quelque probleme je serai la pour vous , vous m avez l air bien sympathique et je sais que ce n est pas facile d arriver comme cela quand on ne connait encore que peu de monde .
faulk continua de la fixer droitement dans les yeux comme perdu a son tour dans ses yeux rempli d une chose qu il trouva etrange et magique a la fois

Nombre de messages : 1973 Date d'inscription : 16/12/2004

[ HRP: Mon dieu, fais attention à ton orthographe. Elle est déplorable. /HRP]

Altir sourit en entendant l'Intendant parler avec son drôle d'accent. Il jeta un simple coup d'oeil sur la personne concernée, haussant un sourcil amusé.

Il prit à son tour une gorgée de gueuze puis son vif regard épousa le visage de la jeune femme, son sourire moqueur se dissipant pour prendre celui d'un sourire charmeur.

( hrp il est bien mon petit accent lol hrp)
le jeune intendant apercu l homme au bar et lui fit un signe de tete en gage de bonjour

Nombre de messages : 1973 Date d'inscription : 16/12/2004

Altir salua solennellement d'intendant le visage grave, malgré que son sourire charmeur orna toujours ses lèvres. Quelle idée de quitter Ombos pour rencontrer différents dirigeants militaires !

Son regard se retourna vers celui de la jeune femme. Malgré que sa peau soit bronzée, le sang empourpra ses joues gelées. Il retourna le visage vers sa chope et but une nouvelle gorgée sans un mot.

[edit de Spaak : Correction... (pour tous : à l'avenir quand je corrigerai des fautes, je ne le signalerai plus forcément quand ce n'est pas trop "grave")

Entrant dans un grand bruit métallique Perceval rentra dans l'auberge emitouflé dans une peau d'ours recouverte de neige, après s'être arrété un moment devant l'atre de la taverne il interpella l'aubergiste:

A boire vieux bougre a moi que tu veuille ma mort! Sers moi donc une chope de tourraine sa me rapellera le pays!

Puis il appercut le sire Faulk et se dirigea vers lui d'un pas léger.
Après avoir laisser tombé le haut de son armure de plaque sur le sol, découvrant ainsi une ample tunique écarlate il salua le sire de Dare au bar puis l'inconnue assise a la table avant de s'asseoir a son tour.

Holà messire, permettez que je reste avec vous un moment pour me réchauffer avant de repartir vers mes terres, les routes sont peu sure, si il continue de neiger il est possible que je passe la nuit içi avec mes hommes mais je dois être rentré au plus tôt a Astola.

Regardant la jeune femme.

Ma dame je n'ai pas eu l'honneur de me présenter, Perceval d'Astola pour vous servir, il prit la main droite de la jeune femme et la baisa, et vous êtes?

Puis se rapellant qu'une femme l'attendait déjà en Terres de l'Ordre:

Désolé de vous interrompre, il est vrai que je suis rentré d'une façon un peu trop cavalière! Poursuivez votre conversation je vous prie!

je vous salue sir perveval, n ayant toujours aucune notion des temps changeant assez fréquemment ici. Si vous dites qu il neige je pense que je vais attendre avant de sortir dehors pour retrouver ma ville avec ma cuirasse d ete.

[edit de Spaak : pense à la ponctuation au moins... les fautes, tu fais peut etre pas esperé, mais la ponctuation... ]

Edwyn écouta Faulk se présenter.

je vous remercie de votre sollicitude à mon égard, mais je préfere me débrouiller seule dans la mesure du possible.

Ceci dit, Faulk la fixa des yeux. Elle soutint son regard et quelques instants plus tard, il détourna la tête et adresse un signe à l'une de ses connaissances. Edwyn reconnu l'étranger à la cape blanche. Celui-ci, se détournant de Faulk, la vit et son visage s'empourpa. Il s'empressa de se retourner pour avaler une énorme gorgée de la chope qu'il tenait en main.

Elle laissa trainer son regard sur la salle. Elle était immense, bien éclairée et il y faisait bon. L'aubergiste avait fort à faire car l'auberge était remplie. On le voyait courir ici et là, des chopes à la main et l'air épuisé. Un petit sourire réservé fixait ses lèvres, et il adressait de temps en temps un signe de tête à une connaissance.

Finissant son inspection, Edwyn revint à leur table et fut surprise d'y trouver un autre homme. Lorsque celui-ci la vit, il se présenta tout en lui baisant la main.

Edwyn, de Gwain Ithil, nouvelle cité en territoire Partané. lui répondit-elle

Perceval s'assit à coté de Faulk, et ils commencerent à s'entretenir. Tournant la tête vers la fenetre, Edwyn constata qu'il s'était mis à neiger. Quelque peu déprimée par cette neige, elle profita de la proximité de l'aubergiste pour lui commander un jus de pomme. Celui-ci ne fit aucun commentaire, répondant surement à la regle d'or de la maison (le client est roi) mais son regard en dit long. L'ignorant, elle le paya et attendit sa boisson. L'aubergiste pouvait bien la regarder comme il le voulait, le jus de pomme est et restera sa boisson préférée.

[edit de Spaak : (pour votre gouverne, chope c'est avec un "p" à moins que ce soit une chope autre qu'un gobelet à bière...) c'es juste une petite paranthèse, en aucun cas un reproche. c'est juste au cas où vous seriez intéressé de bien l'écrire. (ca fait plusieurs fois que je vois cette faute, pas que toi...) ]

Nombre de messages : 1973 Date d'inscription : 16/12/2004

Altir ayant fini sa chope, se tourna vers l'assemblée, l'air enfumé étouffant le jeune homme. Il suivit du regard la jeune femme puis porta son regard dans le fond de la salle où visiblement les discussions faisaient lever le ton.

" Quelle bande de pathétiques ivrognes "

Déjà dans le fond de la salle certains hommes levaient les mains, montraient leurs épées, une chope vola dans la salle pour s'écraser contre un mur

faulk repondit a dame edwyn pares sa petite interlocution avec sir perceval
ne vous inkieter pas je ne vous force pas la main je compren tout a fait votre choix et je croi que a votre place j aurai surement fait la meme chose seulement sacher que si vous aviez un probleme quelconque je serai la.
maintenan je vous souhaite une bonne continuation au plaisir de vous revoir.
faulk finit son vers fit un signe de la tete a son interlocutrice puis se retira doucement et juste avant de partir il dit avec un sourrire
bonne chance pour le reour la tempete se leve moi je vais aller me les geler dehors .
puis faulk disparue dans la tempete qui faisait rage dehor

Nombre de messages : 381 Date d'inscription : 07/12/2004

La neige tombait doucement par cette soirée d'hivers. Touts les toits des maisonnées en étaient entièrement recouverts, seul quelques empreintes des rares oiseaux qui osait sortir par ce temps venait gâcher cette pureté blanche. Pourtant celles-ci paraissaient de plus en plus rapidement. La neige commencer à tomber plus fortement, ce qui laissait profiler une tempête sous peu.

La porte de l’auberge s’ouvrit, laissant entrer une grande bourrasque de vent ainsi que quelques flocons qui vinrent se perdre sur le planché de la salle pour fondre rapidement.
Sur son seuil se tenait un homme entièrement vêtu d’une longue veste noir qui lui tombait jusqu’à mi-mollet. Son visage restait invisible sous sa capuche et quand l’homme s’avança après avoir refermer la porte, il vit une chope de bière valdinguer contre le mur juste à coté de celui-ci, le ratant de justesse.

Levant la tête pour suivre la trajectoire inverse de la choppe et repérer son lanceur, la lumière émise par les chandelles vint frapper légèrement son visage laissant entre-apercevoir ses yeux bleus.

Sans dire mot il s’avança vers l’ivrogne qui avait lancé la chope jusqu’à arriver à sa hauteur. Le voyant arriver, l’ivrogne se calma quelques peu bien qu’il continuai à rire aux éclats. L’homme au manteau faisait bien une tête de plus que le pauvre bougre, ce qui le rendait plus impressionnant à ses yeux. L’homme en noir s’adressa alors à l’ivrogne d’une voix grave et d’un ton parfaitement neutre.

-« Eh bien que voilà des manières d’accueillir ainsi de pauvre visiteur. J’espère pour vous qu’il en est tout autre lorsque vous essayez de séduire une dame sinon vous risquez fort de rester encore longtemps dans cette taverne à boire pour oublier vos échecs. Votre chopine à bien failli s’écraser sur moi. Je suppose qu'elle vous sera tombé des mains et que tout ceci n’était qu’un regrettable incident. Vu que je viens juste d’arriver, je vais être magnanime et mettre ceci sur le compte de votre ébriété, mais si par l’avenir ceci se reproduisait, je ne serai peut être pas aussi laxiste. »

L’homme tourna le dos à l’ivrogne et commença à se diriger vers le comptoir. L’ivrogne quant à lui comprenant tant bien que mal qu’on venait de l’insulter sortie son épée et commença à la brandir d’une main tremblante par l’alcool. Il s’élança alors vers l’inconnu en noir pour l’embrocher. L’homme se retourna brusquement et esquiva d’un pat sur le coté la lame de son assaillant tout en saisissant sa main et le désarmant. L’ivrogne déstabilisé commença à tomber vers l’avant mais fut retenu par le bras de l’inconnu qui le redressa brusquement pour le saisir par le col. Il le coinça alors contre un des piliers de l’auberge, le bloquant de tout mouvement en portant une dague à la gorge de celui-ci. Il rapprocha alors son visage de celui de l’ivrogne pour lui susurrer quelques mots à l’oreille.

-« Avant de te lancer dans un combat, prend toujours attention à bien évaluer la force de ton adversaire. Ce que tu viens de faire était très imprudent de ta part pauvre fou. » lui dit-il tout en augmentant la pression sur la dague

-« Je vous en prit….Ne me tuez pas. » sur le visage de l’ivrogne commençait à couler quelques larmes.

-« Pourquoi ne devrais je pas le faire ? Tu as bien essayé de prendre ma vie, ce ne serait que justice. » murmura l’inconnu.
La pression sur la dague augmenta encore, et l’ivrogne éclatât en sanglot. L’inconnue lâcha alors brusquement prise laissant l’homme s’affaler sur le sol tout en rengainant sa dague.

-« A présent va-t’en d’ici avant que je ne change d’avis.

L’ivrogne ne fit aucun geste et regarda l’inconnu droit dans les yeux, son visage exprimant une grande peur.

-« Pauvre fou, fuit pour ta vie» dit-il en continuant à murmurer.

L’ivrogne se leva alors précipitamment et sortie rapidement de l’auberge, ses compagnons le suivant de très près. L’inconnu s’installa alors à leur ancienne table et rabattit sa capuche, laissant apparaître sa chevelure dorée et son visage fin mais visiblement marqué par des évènements passés. Il commanda une bière et commença à scruter la salle.

Le bruit de l'esclandre toute proche réveillat Perceval

Aaaa tout le charme des tavernes! Je me suis assoupi exusez moi.
Bon au diable la nuit et les brigands, que la peste m'étouffe si je me laisse impressionner par une bande de manant!

Tout en parlant l'écuyer de Perceval qui jusque là s'était montré invisible l'avait aidé a revetir son armure et lui avait rendu son heaume.

Bien, ma dame, au plaisir de vous revoir.

Perceval s'inclina, se coiffa de son heaume et s'en fut par là ou il était entré.

peu apres cette agitation on entendit un bruit violent qui fut suivi par l ouverture brutale de la porte faulk penetra a nouveau dans la taverne en grelotant il fallait vraiment etre un troyen fous pour se baladais en cuirasse legere avec un temps pareil mais faulk etait toujour connu pour ces tenues legere,
la tavergne commenca peu a peu a se vider quand faulk demanda au tarvergner de lui ouvrir une chambre pour la nuit il va dormir ici se soir.
puis faulk posa son arc de troye a cotes de sa chaise et commenda un derniers vers avant d aller se coucher, car demain il aura un long voyage a faire pour retouner a troye.

Appuyer sur sa lourde hache gravé de symbole des peuple du nord ,Sorirn qui se remmetait d'une cuite ouvrit les yeux au bruit carractéristique d'une bagarre de taverne, se leva et se dirigea sourire aux levres vers l'intercaltion quant il vit Perceval a une table autour d'inconnue
"Perceval par tout les dieux du Valhaha quel plaisir de vous voir cria Sorirn et continuant sur sa lancer en choppant un loquedue qui se battait par le col avant de l'envoyer violament sur une table qui ceda rajoutat en se tournant vers le tenancier de l'établissement "Ma tourner pour la table du font la bas!"
Il sassit autour de leur table sur un tabouré qui plia quelque peu sous le poid de Sorirn.
Et suivant les regles de la courtoisie nordique il laissa échappé un rot tonnitruant qui fit rire Perceval abituer a la brutalité et le manque de savoir vivre de Sorirn mais qui laissat transparraitre un degout a peine dissimuler.
" Bon tavernier c'est pour aujourd'hui et pour demain m'a spécialiter!" injonta Sorirn qui fut servie lui et c'est "camarade" dans les cinqs minutes qui suivèrent.

C'est alors que les convives remercièrent Sorirn sur pour la conssommation puis ce dernier commenca a raconter ses histoires de bataille, de beuverie, d'orgie , et d'autre anecdote sur sa vie qui plusieurs fois mentionnait Perceval et d'autres noms renommés comme compagnon de combat ou de boissons qui montrerent au convives que quoi que rustre Sorirn etait un braves et doté d'un sens de la tactique particuliere mais efficace!!

[edit de Spaak : Merci de lire les post-it ! Pas de smiley ! ]

apres quelque heure de sommeil faulk se reveilla il etait temps de partir pour troye il descendit doucement les marche se faufila entre les corp assoupi d ivrogne, alla cherche
son arc et sorti dehors pres des ecurie pour aller cherche son cheval et le preparer pour le voyage.
puis il reveint de la taverne le temps d avaler un lait de chèvre et faulk parti a cheval avec son arc de gamin de chasse de troye et l épées de troye a son fourreau

puis peu..a..peu...il disparut dans la douce brume du matin.........pour aller rejoindre troye sa ville qu il aiment tant....puis il disparut totalement dans la brume.....

Exténuée par une dure journée, Edwyn se leva et salua les quelques personnes avec qui elle avait parlé. Elle se dirigea vers le comptoir et accosta l'aubergiste. Ils échangerent quelques mots et des pieces de cuivre changerent de main. L'aubergiste lui tendit une grosse clef de bronze. Apres un dernier regard sur la salle, animée par les cris de quelques ivrognes, elle monta dans sa chambre.

Le lendemain, elle se leva tres tôt et partit aussitôt. La grande salle de la taverne était vide, à part la femme de l'aubergiste rangeant et nettoyant cette salle. Apparemment, il y avait eu un peu de grabuge, surement causé par les ivrognes.

Elle revint le soir même. La journée avait été bonne: la ville se construisait, et elle apprenait tant bien que mal les ficelles de la gestion d'une cité. Seule ombre au tableau: l'intendant de Partané, qui refusait de répondre à ces missives. Il faudra qu'elle se déplace elle-même pour aller ,e trouver, ce qui ne lui plaisait guere. Lorsqu'elle arriva devant la grande batisse, et lorsqu'elle vit la lumiere filtrant à travers les fenetres, elle sourit. Elle commençait à s'attacher à cette auberge ou l'on servait un si bon jus de pomme. Elle entra, et comme la veille, elle fut quelque peu étonnée par le monde et la grandeur de la salle. Mais, reprenant ses esprits, elle se dirigea vers le comptoir ou on lui servit un jus de pomme. Si elle cherchait ceux avec qui elle avait parlé la veille au soir, elle n'en montra rien. Elle se dirigea vers la table pres de la fenetre. Il ne neigeait plus mais il faisait encore froid. Sentant un courant d'air, elle se tourna vers la fenetre et constata qu'elle était ouverte. Maugréant contre ceux qui l'avaient ouverte, elle la referma. Se retournant, elle tomba nez à nez avec un inconnu. Surprise, elle eut un mouvement de recul et renversa une partie de son jus de pomme sur elle.

Nombre de messages : 1654 Localisation : Paris Date d'inscription : 07/12/2004

Lancegreg venait de dessendre les marches de la petite auberge .ILétait exténué d'avoir passé sa nuit avec une charmante créature! Mais quand il tomba nez à nez avec Edwyn ,il tomba sous le charme de cette si jolie femme .

Son visage se mit à sourrir quand il vu son amis perceval qui avait l'aire de ne pas faire grise mine devant Elwyn ...

-Bien le bonjour demoiselle ,je me nomme lancegreg ,je suis ravi de faire votre connaissance mais malheuresement je dois partir ! Alors à une autre fois ...

Nombre de messages : 149 Localisation : Hyrule Date d'inscription : 21/12/2004

assis au fond de la salle, tout de noir vétu Folken fumait tranquillement sa pipe ... son épée à ses côté il avait passé la soirée ... seul ...le coeur froid comme l'hiver à observer ... rêveur ... il est le genre de personne ayant le dont de passer totalement innaperçu même malgrés lui ... d'ailleur sont propre suzerain ne l'avait pas remarqué .

Cependant en voyant que tout les seigneurs ici présent tournaient comme de vulgaires mouches autour de dame Edwyn il ne pu s'empêcher d'avoir un pincement au coeur .

il tira sur sa pipe ... pppffffff ..... il serait grand temps pour moi de trouver femme ... au diable ma timidité envers elles à ce rytme je finirais seul comme un vieux fou ... maudit .

Il resta donc assis ... seul à sa table à observer les événements et à admirer cette femme qui il le savait étai bien au dela de la portée d'un modeste seigneur comme lui .

Nombre de messages : 1654 Localisation : Paris Date d'inscription : 07/12/2004

Lancegreg appreçut son vieille ami , il se détourna du reard de la jolie demoiselle et vint à la table de folken .

Alors mon cher ami on ne fait pas de politesse à cette charmante créature?

Et pourquoi tu ne lui demande pas...Non oublie ce que je te dit et parlosn plutôt de toi !

Nombre de messages : 149 Localisation : Hyrule Date d'inscription : 21/12/2004

Folken sourit timidement à Lancegreg

allons allons ... j'ai toujours été en froid avec ce genre de créature ... autant ne pas agraver les choses en me couvrant de ridicule

il lui tendi un petit saché d'herbe à pipe

ma réserve personnel ... tu devrais essayer je la cultive moi même .

en profite pour tirer une latte à sa pipe tout en jetant un coup d'oeil furtif à Edwyn

pppppffffffff ..... !

Nombre de messages : 1654 Localisation : Paris Date d'inscription : 07/12/2004

Lancegreg rigola et dit à Folken :

J'admets que ton herbe est de toute qualité mais comparé à cette demoiselle ,elle ne vaut plus un sous !

Et il pris le paquet

» Un messager arrive...
» [Ustvholk] Visite de courtoisie
» Un Ambassadeur est arrivé.
» Arrivée de la Gramée
» L'arrivé depuis peu...