la nouvelle taverne de troye

Ohhhh tu vas pas te souler toi aussi !

Bon il faut que j'y aille ,j'ai un combat à mener en Saigon !

bonne bataille mon amis

et pour vous seigneur godfrey je pense que vous avez du recevoir mon messagers et donc j espere que vous me previendrer si votre choix penche vers mon territoire en esperant vous voir en terres du nord seigneur

Tout au long de la course poursuite, le Prince d'Ombos n'avait pas bougé, laissant ses hommes boire, avec modération. Lui faisait des calculs sur des cartes, immenses. Il préparait sans doute un champs de bataille.

- Turan, j'ai besoin de toi !
- Oui mon Prince.

Il se mirent à parler en arabe étant sûr que personne ne comprendrait.

Le Prince semblait être d'accord avec les recommendations de son Commandant. Il sourirent alors, une lueur vide dans leurs yeux.

- Mon père ne veut pas que je me batte mais je serais là, avec vous.
- Mon Prince, je sais que vous aimez votre peuple tout comme votre père, mais la famille de Dare a besoin d'un héritié.

Voyant qu'ils nétaient pas seuls, la langue maternelle d'Altir fut réutilisée. Les soldats comprenaient et ils semblaient sous le choc des propos du Prince. Certains se regardaient comme émus.

Un homme qui semblait être un garde de Syberis entra calmement dans la taverne, cherchant quelqu'un du regard. Ayant rep2r2 celui qu'il cherchait, il se dirigea vers la table de cette personne.

Godfrey offrait un bien triste tableau : les vêtements chiffonnés et tâchés de terre à cause de la poursuite, il avait posé son épée sur la table et appuyait sa tete sur ses bras par dessus celle-ci, regardant les Ombosiens discuter et tenant toujours sa bouteille de liqueur.

Le garde arriva à la table et prit une chaise.

- Voyons Messire, vous ne devriez pas vous souler seul, qui sait quel genre d'individus peuvent trainer dans ces lieux.
- Des assassins drogués, lui répondit calmement Godfrey, comme le Sieur Folken : il a tué trois personnes ce soir.
Le garde prit un air interloqué.
- Et heureusement que le Sieur Faulk sait viser, sinon j'y serait passé aussi dans cette poursuite, ajouta-t-il du meme ton monotone en haussant lassivement les sourcils.
- Une poursuite mais qu...
- N'importe comment ce lieu est bien gardé, coupa-t-il en désignant la cohorte des ombosiens d'un léger coup de tête. Ils s'imaginent que personne ne les comprend, ajouta-t-il en soupirant.
- Naturellement : qui comprend l'arabe par ces régions...
Coupant de nouveau son garde, Godfrey dit:
- Moi.
Le garde haussa un sourcil.
- Quoi ? Vous croyez peut-être que je restait à me pavasser au manoir quand mon Oncle gouvernait ? J'ai beaucoup voyagé, notamment un an en Ombos.
Il marqua une pause et ajouta avec un sourire de coin:
- Incognito, bien entendu.

Godfrey fixait toujours les ombosiens tandis que son garde se perdait dans ses pensées, bien décidé à veiller sur son Seigneur ivre...

Qu'importent tous ces voyages, toutes ces langues et toutes ces cultures que j'ai apprises : tout cela n'aura servit à rien, bougonnait Godfrey en regardant sa bouteille, tandis que son garde observait les Ombosiens.
Tout s'écroule et tout s'écroulera toujours autour de nous : plus petits nous sommes, plus grande est notre souffrance. Regarde moi ces Ombosiens, prêts à semer mort et désolation une fois de plus, continua-t-il, au nom de la légitimité, au nom de la paix, aux noms de la richesse et du pouvoir.
Il saisit son garde par le bras : Aucune raison n'est valable pour ôter la vie, mais nous nous n'en avons pas besoin, sais-tu pourquoi ?
Le garde hocha distraitement la tête, comme on le fait toujours quand une personne ivre vous parle.
C'est bien simple, répondit Godfrey en lui lachant le bras : nous ne sommes rien d'autre que des animaux, la raison, nous ne la connaissons pas, seule la souffrance importe.
Le garde soupira et ergarda les Ombosiens quitter la taverne. Il espérait que son Seigneur ne tarde pas à s'écrouler : il s'ennuyait à mourrir...

Altir se tourna vers lui, entendant ses paroles.

- Mes hommes ne sont là que pour défendre leur ville non pour attaquer quiconque. Nous sommes prêts à semer la mort pour le bien de notre peuple, je m'engage à faire le moins de morts si c'est dans la mesure du possible. Et la raison qui est valable pour ôter la vie est celle de l'amour. Pensez-vous vraiment qu'un père compte laisser sa femme et ses enfants se faire violer et servir de nourriture aux chacals ? Réfléchissez un peu. Un animal lui raisonne, vous non.

Les quelques soldats qui le comprirent semblèrent s'émouvoir. Pourquoi un Prince prenait autant de temps pour eux ? Ils allaient mourir et lui devrait partir.

- Tâchez de tenir vostre langue, ca vous sera utile.

Le Prince attendit que ses hommes soient sortis de l'auberge pour payer le tenancier.

L'amour, répéta Godfrey avec une pointe de dégoût. Quelle connerie ! C'est pas ça qui me ramènera ma famille...
Et il s'écroula sur la table.

Peu après, le garde demanda une chambre au tavernier et il y monta Godfrey, inconscient.

Altir voyant le pauvre homme sombrer sans les bras de Morphée dit simplement avant de fermer la porte.

- Que Ndriananahary te protège, noble homme.

Attendez ! Seigneur Altir, vous êtes un des rares à ne pas être soûl... Pourrais-je vous dire un mot avant votre départ ?

Le Prince Altir, fils de l'Empereur d'Ombos Ticlem de Dare se tourna vers la gente damoiselle.

- Si vous avez besoin de moi.

- Aemur, monte le camp. Il continua en arabe.

Il referma la porte et s'avança vers son interlocutrice.

Que puis-je pour vous ?

Il me semble que mon grand père paternel à eu affaire autrefois avec Ombos. Le connaissiez-vous ? Il se nommait Gripoil et il est mort il y a peu...

Le Prince sembla un instant songeur.

- Oui j'ai eu vent de la mort du Sieur Gripoil, et j'en suis navré. Mon père le connaissait il me semble, ils avaient eu quelques conversations à Ombosia sous la régence d'Hulrik.
Mes hommes s'équipaient aussi avec ses armes. Il y a un soucis ?

- Le fait est qu'il était la seule personne que j'appréciais vraiment... En fait, je vivais solitaire et parfaisais mon éducation par la lecture et l'étude personnelle. Sa mort m'a grandement changée et je suis partie avec ses derniers fidèles fonder une cité et continuer le combat qu'il avait commencé... Alors je voyage un peu pour en savoir plus sur ce que les autres pensaient de lui et de sa politique, vu que jusqu'à présent je ne me suis pas vraiment intéressée à l'extérieure... Mais je ne veux pas déranger plus que nécéssaire et ne sait pas même si je suis entrée au bon endroit...

Altir qui malgré être bronzé rougit violemment, expliqua le plus clairement possible.

- Vostre grand-père prônait pour la justice et pour la paix. C'était un homme bon qui ne souhaitait que le bien d'autrui.

Faisant mine de ne pas remarquer la réaction du Prince
- Je suis vraiment heureuse d'ouïr cela de lui... Voyez-vous, nous avons tendance à glorifier les personnes auxquelles nous sommes proches... D'autres avis sont nécéssaires pour se faire une idée plus objective... Et peut être aussi surtout ne pas refaire les erreurs qu'il a pu commettre...

Puis, se retournant vers quelques groupes de buveurs ivres :
Je dois avouer que sans vostre vue, je ne me serais pas attardée en ce lieu.

Altir sourit regardant la honte de Retrahant, ce groupe de seigneur qui préfère la breuverie que de s'occuper de son peuple.

D'après la forme de vos armes vous venez de Kamakura... Dommage. Kamakura est l'ennemi de mon peuple et aussi l'ennemi de la paix. Mais je ne juge pas une personne à son poste mais à sa personne. Quoiqu'il ne sert à rien de juger les gens car leurs actes son du passé ce que je jugement est du présent.

- Cela par exemple ! Les terres de Kamakura sont vostre ennemi ? Leur intendant était un grand ami du seigneur Gripoil et je le crois droit et honorable... Comment cela peut-il être possible ?

Altir sourit.

- Nous n'avons pas les mêmes idéaux, et malheureusement Kamakura se bat contre nous.

Ananya prit un air soucieux

Si j'ai bonne mémoire, les terres de Kamakura étaient jumelées avec l'Ashenval de Gripoil et ces deux territoires étaient d'une nature pacifique et défensive. L'intendant Valrak est un homme qui ne s'est battu que pour défendre ses amis ou son territoire, ou tout du moins je le croyais...

Je vais en parler avec lui, peut être n'est-ce qu'un regrettable malentendu ?

le seigneur faulk qui etait parti faire un somme a son palais revint dans son auberge pour l affaire du meutre de l autre jour et entendit la conversation entre les deux



si je puis me permmettre mademoiselle le seigneur gripoil etait un bon seigneur qui vouer sa vie a ma connaissace a la paix de retrahant .
il a meme vendu des arme a feu mon pere quand il a commencer en terres du nord pour sa protection s est quelqu un que j estimer beaucoup et sa mort m est regretable voila se que je pense de lui.

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