La quête puis la mort de LethKha

Le seigneur entendait ce qu'il se passer en retrahant. Il ne pouvait s'empecher de penser à voix haute

J'en ai marre de tout ce qui se passe et se raconte en ce monde. Qu'on prépare tout les hommes; nous allons faire une grande croisade. Préparez des chariots de vivres aussi. Nous en auront besoin. Allons faire voir ce que notre peuple sait faire. Je prends les commandes de l'armée qui s'en va.

Bien intendant.

Les soldats courraient partout dans la ville. C'était la ruée dans toute la ville.

Les cavaliers préparaient leur monture, les forgerons terminaient leurs dernieres armes et s'équipaient pour partir au combat. Les plus vieux resteraient pour protéger la ville et les familles qui restaient, les archers bandaient leurs arcs afin de vérifier leurs courbures, les épéistes affutaient leur lame, les piquiers enfilé leur armure. Tout le monde se bousculaient afin d'être pret quand le Seigneur LethKha sera là.

Et il arriva

Quelle joli armée que celle là. Cela me fait plaisir de voir autant de courage, de bravoure et de joie réunis.

Haussant la voix pour que ses soldats l'entende

Soldats, nous partons nous montrer aux peuples de retrahant. Nous sommes restés trop longtemps terrés comme des loups, il est temps de montrer qui nous sommes. Soldats, vous quitter Pharikys et vous y reviendrez encore plus riche d'expérience, de retrahs, de joie. Allons montrer à ces gens qui nous sommes.

Vive le Seigneur LethKha ( crièrent les soldats à la fin de son discours)

Et sur ses mots, l'armée partie

La saison suivante, l'armée de LethKha arriva dans un territoire que ses troupes d'archers éclaireurs avaient déjà visité. Il reconnut bien la géographie relevée par ses hommes.

Ils continuèrent à marcher. Puis s'arrêta au sommet d'une colline. Au loin il voyait une ville. Une grande ville. La capitale des Terres Maudites, Tubbsarine... Mais il y voyait aussi un champ de bataille. Des hommes étaient passés avant lui. Encore une fois, les troupes du seigneur LethKha devraient se déplacer pour ne faire que regarder les dégats? Non, non, surement pas.

- Marre, marre. J'en ai marre de tout ses barbares qui passent devant moi et ne me laissent rien.

Mais soudain il se calma. Il scruta un peu mieux le champ de bataille et appercut encore des hommes sur le champ de bataille.

- Mais si je ne me trompe pas, ceux sont les banières du Rohan et d'Aphrael. Ceux sont bien des barbares alors. Ils vont me le payer cher, de leur vie meme. Cela m'embete bien de voir des étendards d'Aphrael. Mon ancien fidèle seigneur Shaggar ne comprendra surement pas. Mais je dois me faire respecter si je veux être reconnu. Déjà que l'on m'estime inférieur à Eodorn. Non, je ne peux pas laisser ca comme ca. Soldats en formation.

Sur ces mots, ses troupes se mirent en formations. Pres de 50 000 soldats étaient près à en découdre. Ils ne savaient pas trop pourquoi mais ils avaient confiance en leur intendant qui avait fait d'eux ce qu'ils sont actuellement.

Sur le champ de bataille, les hommes qui siégaient devant la capitale reconnurent au loin la baniere Quesinoise. Affaibli après la bataille qu'ils avaient effectué à Tubbsarine, voir cette banière leur donna du beaume au coeur.

Un soldat du Rohan :
- Regardez, le Seigneur LethKha. Nous sommes sauvés. A nous Tubbsarine.

Malheureusement pour eux, ce n'était point trop de l'aide, mais plutot une mort qui les attendait. Le Seigneur LethKha donna l'ordre à ses troupes d'encercler ses hommes sur le champs de batailles. De loin on pouvait les déchiffrer à à peine plus de 10 000.

Les Quesinois encerclèrent les soldats du Rohan et ceux d'Aphrael, qui ne comprenaient pas trop ce qui se passait, mais qui avaient déjà amoindri leur joie.

- Soldats, chargez....

A ces mots, les Quesinois se mirent à charger les troupes opposantes.

Une fois ses soldats morts, ses soldats qui faisaient parti d'un de ses anciens frères, LethKha voulait s'en prendre aussi à la ville, cette capitale qui était la cause de tout ses morts. Mais il pensa que ses soldats étaient fatigués et qu'une guerre consécutive, les emmenerait à la morte.

Il commenca à donner l'ordre à ses troupes de reformer les rangs car ils allaient partir vers la capitale de Séquanie afin de prendre le trone qui lui revenait de droit. A ce meme moment, une cavalier s'approcha de lui, lui tendant une missive:
Seigneur et ami LethKha,

Mon territoire, le Cipango, vient d'être attaquer par un seigneur. Le seigneur Sorirn, de Saigon.

Pour sauver mon honneur, je me rends en Saigon, puis je compter sur vous?

Seigneur Hitaro

- Saigon aurai t'il oublié que Cipango était sous ma protection? Hitaro, n'a jamais rien fait à personne. Et il vient d'être victime de tout ce que l'on peut faire à un territoire. Il me demande mon aide. Je ne peux le lmaisser comme ca. Je dois le rejoindre.

Sur ses paroles, le Seigneur LethKha donna de nouveaux ordres à ses troupes. Ils partirent en direction de Saigon, la ville du seigneur Sorirn.

La saison d'après, les troupes Quesinoises arrivèrent en Saigon.

Ils furent obliger de monter les tentes afin de sieger la ville du seigneur Sorirn. Quelques troupes de ce seigneur étaient présentes, mais elles ne le furent pas longtemps. Des troupes du seigneur et Intendant Dalwen arrivèrent aussi, mais les troupes Quesinoises étaient bien déterminer à en découdre. Meme s'il y eut une belle bataille avec une arrivée massive de plus de 20 000 soldat de Dalwen, les assailants remportèrent le combat de part leur nombre conséquent.

Et ce siege se continua jusqu'à ce que les deux enceintes tombent l'une apres l'autre. Les troupes à l'intérieur furent massacrer et le Seigneur Hitaro, obliga le seigneur Sorirn à s'exiler.

Une fois ceci accompli, le seigneur LethKha trouva un autre objectif à sa quête. Pourquoi toujours s'en prendre aux barbares?

Alors ils partirent vers une autre citée, mais ce ne fut pas Joux.

La saison suivante, les soldats commencaient à fatiguer de toutes cette expédition. Le morale des troupes n'étaient plus au baut fixe. On entendait meme parler de retourner chez nous.
Après quelques heures encore de marche, les troupes arrivèrent à leur destination. Encore une capitale. Celle d'Aegir. Aucune troupe dehors. Bizarre pensa le Seigneur LethKha. Mais bon idéal pour faire un siege.

Alors les troupes commencèrent à monter le camp. Et quelle ne fut pas la surprise quand au loin, ils virent des banieres d'Aphrael. Ils savaient ce qu'il s'était passé il y a peu de temps. Il se rappelaient bien d'avoir tué des soldats de ce territoire. Ils savaient aussi que ses soldats là ne venaient pas en paix.

Et ils ne se trompaient pas. Les soldats chargèrent comme eux l'avaient fait auparavant. Cette fois ci, c'était l'inverse, ceux sont les Quesinois qui étaient en sous nombre.

Des cavaliers d'Aphrael venaient empaler des épéistes Quesinois. Des cavaliers Quesinois venaient s'empaler sur les lanciers d'Aphrael. La bataille faisait rage. Mais les têtes tombées plus du côté Quesinois.

LethKha agrippé sa hache si fermement qu'il en avait des crampes aux doigts; mais ne la laché pas. Il abatait les soldats un par un. Il était épuaulé de quelques capitaine qui n'en démordaient pas non plus. Pour eux, cela ne faisait aucun doute, ils en sortiraient vainqueur encore une fois.

Le Seigneur LethKha eu un moment de répis, plus de soldats à tuer devant lui. Puis une sensation bizarre. Le son de la bataille n'était plus pareil. Comme un écho. Puis l'écho de l'écho. Que se passait il. Un soldat arriva en face de lui en rigolant, mais ne rigola pas longtemps. LethKha n'avait pas attendu pour lui enfoncer sa hache dans son cou. Mais LethKha ne ressentait pas le meme plaisir de combattre. Il regarda autour de lui, il regardait ses capitaines. Eux; le regardaient, mais il lisait sur leur visage une expression bizarre. Sa vue se troublait de temps en temps. Il s'interrogait, se demandait pourquoi ses capitaines avaient cette attitude alors qu'ils gagnaient cette bataille. Pourquoi cesser de se battre, pourquoi ce regard de tristesse. Un de ses capitaines lui parla mais il ne comprit pas ce qu'il disait.

Que se passait il? Son capitaine baissa son regard vers le torse de LethKha comme pour lui montrer quelque chose. LethKha baissa le regard et appercu une flèche. Une flèche bien plantée. A cette vue et par perte de ses moyens, de sa lucidité, le seigneur LethKha posa un genoux à Terre. Il ne pouvait plus tenir debout.

Lui, LethKha, ce grand guerrier, ce vieux guerrier, un genou à terre. Lui qui se croyait invulnérable. Lui qui voulait prendre Joux. Il devait donc renoncer à la vie?

Une autre sensation l'envahie. Une seconde flèche dans le dos le fit tomber face contre terre. Le voilà alongé maintenant. La tete tournée sur le coté de facon à pouvoir voir le champ de bataille, le fit sourire. Il savait qu'il allait mourir mais il avait le coeur chaud de voir ses soldats se battre jusqu'à la mort. Ils ne lachaient pas prise meme dans la défaite. Il pouvait maintenant fermer les yeux. Il avait fait de ses soldats, de vrai guerrier. Il se reprochait seulement de ne pas etre mort chez lui, dans son territoire, celui qu'il avait créé de ses propres mains. Pres de ses seigneurs qui l'avaient tant honoré. Il ferma les yeux lentement, le sourire aux levres. Les bruits commencèrent à cesser de se faire entendre. Il n'entendait plus que son coeur battre, mais de plus en plus lentement. Puis vint le moment ou il n'entendit plus rien.

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