La chute d'Ephyne et le futur de l'Empersiste

La dernière fois qu'un vote Empersois avait été évoqué, Spaak avait pris le pouvoir de force et seul le délai laissé a Spaak par nous même a suffit a imposer ce seigneur aux Empersois.

Il me semble que le seigneur Darius est tout autant apte que n'importelequel d'entre nous a gérer un territoire, Empersiste compris, si il respecte les Empersois, leurs culte et leurs coutumes, venant lui même d'Empersiste je ne vois pas le problème?

Je suis en train de mener mon enquète sieur Tjulien, j'ai d'ailleurs parlé de votre cas dans notre assemblée privée, c'est surement parce que mes amis se laisse le temps de la reflexion quand à votre sort qu'aucun trébuchet n'a encore été érigé au pied de vos murailles.

Maintenant je n'ai toujours eu aucun retour des hommes que j'ai envoyé enquéter dans toutes les cités de Séquanie. Néanmoins, pour vous prouver ma bonne volonté, ma bonne foi et ma seule parole, je retire dès à présents mes troupes de votre cité. Si jamais mes enquéteurs me rapporte qu'il n'y a en Séquanie aucune trace de votre passage alors je plaiderai votre cause avec ferveur, je vous l'assure.

Seigneur Kilik, étant le conseiller du feu Seigneur Takeo, je crois pouvoir vous dire que seuls les troupes de mon feu maître et celles de Spaak s'étaient rendu en Séquanie.

Il semblerait effectivement que vous disiez la vérité M. le conseiller du seigneur Takeo.

Tjulien ne s'est pas rendu en Séquanie, j'ai bien fait (même si je l'est fait un peu tard) de rappatriller mes troupes de la ville de ce dernier. Cependant, il me semble tout de même avoir eu vent d'action venant de Tjulien contre les barbares mais, n'ayant aucune preuve (ma mémoire d'homme agé n'est plus une preuve) je ne peux que demander à ce dernier de me pardonner de mon erreur.

Je plaiderai votre cause dans notre assemblé, j'espère pour vous que je serais entendu.

je vois que le bon sens et l'honneur est de nouveau parmii nous et je m'en felicite.

J'espere que vous serez entendu sieur kilik et votre action est toutes a votre honneur

Je n'ai jamais douté de votre grandeur seigneur Kilik, et je vous remercie d'avance pour mon ami Tjulien.

Sieur Kilik, en tant que nouvel intendant Empersois, je vous remercie.

Je viens d'apprendre la nouvelle Simon de Sotile, puissiez vous rendre a Ephyne la beauté de l'epoque de Dame Clelia.
Je vous souhaite de reussir dans vos projets de reconstruction de l'Emperiste

Je vous remercie. Il faudrait que Gaed entende cela...

Seigneur Kilik je vous remercie pour avoir tenu votre parole, maintenat quand vous parlé d'action contre des "barbares" de ma part vous avez peu etre raison.
Si vous appelez barbare les hommes qui ont attaqué l'Empersiste juste avant votre reprise d'Ephyne alors soit je suis coupable, les troupes qui ont attaqué l'Empersiste ont été tué par les seigneur empersois en partie et je l'avoue j'etais parmis eux.
Le pillage de notre territoire ne peut resté inpunis tant que les troupes qui pillent nos maison, nos villes sont en Empersiste nous avons le devoir, nous, seigneurs empersois de bouter l'ennemi hors de notre contrée.

Seigneurs je tient à vous soumettre une proposition qui pourrait permettre de faire d'Ephyne et pas conséquent l'Empersiste un territoirre clef mais neutre de Retrahant.

Je pense qu'il serait utile de créer un ensemble de régles sociale, économique et biensure militaire s'appliquant sur le territoirre de l'Empersiste.

Ces règles seraient décidées par les grands seigneurs de Retrahant.

En gros, il y aurait un conseil des grands seigneurs qui soumettraient et voteraient des règles (des lois) que l'intendant d'Ephyne devra faire appliquer en Empersiste.

- nombre de soldats limités
- quotas commerciaux
- population régulée
- etc ...

Ces mesures ne devront pas forcément restreindre le champ d'action de l'intendant mais canaliser ou prévénnir ses intentions tout en satisfaisant les différentes forces, parties, alliances de Retrahant.

je trouve la solution de don marganor interessante, quoi qu'il en soit il faudra tout de meme trouver une personne qui fera l'unanimité parmi les grands de retrahant et les seigneurs de retrahant eux meme.

Avec cette solution ce n'est plus un seigneur qu'il vous faut mais un clerc qui rendra des comptes.

Combien de temps même tiendra un tel homme sans être renversé par une quelconque faction.

Non l'absence de risque n'existe pas et il faudra bien que les vainqueurs de ses trois attaques successives d'Ephyne le comprennent un jour.

Ephyne doit elle vraiment etre considerée comme une cité à part ? Comme une capitale differente ?
Depuis qu'elle fut erigée elle fut la cible d'attaques , comme toutes les autres d'ailleurs . Des dizaines d'hommes ont tentés de faire changer le cours des choses ... En imposant quelqu'un , en laissant au peuple le choix ... enfin bref . Toutes ces tentatives furent vouées à l'echec .
Et pour quelles raisons ? Est ce parcequ' Ephyne est si differente que ca ? Ou est ce parceque de tout ce territoire , seul quelques hommes semblent se soucier de son avenir .

Je vous le dit et sans detour, le meilleur intendant qu'Ephyne puisse avoir est celui qui arrivera a rallier tous les seigneurs du territoire a sa banniere . Celui qui prendra en compte la voix de chacun et non pas seulement celle de quelques elus , qui ca et la , s'en sortent mieux que les autres .

Nombreux furent ceux qui essayerent, mais ils furent tous balayés , soient par leur orgueil soit par leur laxisme . Heureux soit celui qui reussira à ressuciter, enfin, la glorieuse Ephyne .

Notre regretté Clelia de Valme correspondait à cette description.

Ephyne à toujours posé problème car elle procure à celui qui la dirige un potentiel assez conséquent vu le nombre de ville que comprend ce territoire!
L'emperiste est la bannière des seigneurs naissant, qui n'ont pas encore voyagé, ce qui garantis pour toujours la quantité de ville.

Il me semble de même que l'Intendant Spaak avait fait aussi bien que dame Clélia. Sinon mieux - la religion est un formidable instrument de pouvoir lorsque l'on arrive à convaincre son peuple que son dieu est bon.