Retrahant, Ere impériale
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Retrahant, Ere impériale


 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le Deal du moment : -29%
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 ...
Voir le deal
499.99 €

 

 Les chroniques de Ciran

Aller en bas 
AuteurMessage
Acnar

Acnar


Nombre de messages : 381
Date d'inscription : 07/12/2004

Les chroniques de Ciran Empty
MessageSujet: Les chroniques de Ciran   Les chroniques de Ciran EmptyVen 6 Mai - 2:21

Bon juste une petite précision pour éviter (peut être) des probèmes

Ceci est l'archive officielle de Ciran depuis sa création, relatant les faits marquant qui s'y sont déroulé. Donc pas de réponse aux différents récit merci Wink
Revenir en haut Aller en bas
Acnar

Acnar


Nombre de messages : 381
Date d'inscription : 07/12/2004

Les chroniques de Ciran Empty
MessageSujet: Re: Les chroniques de Ciran   Les chroniques de Ciran EmptyVen 3 Juin - 19:11

Traitres


L’histoire est un enchaînement de faits qui mis bout à bout permettent de relater le passé des hommes et des nations. L’histoire est souvent parsemé de grand récit, relatant la gloire passé de certains peuple, mais également des histoire moins connu mais qui concourent toujours à enrichir les faits.

J’arrive à mon 61ème anniversaire, et j’ai vue défiler sous mes yeux plus de choses que la plupart des mortels pourraient voir en dix vies. Si je prend ma plume aujourd’hui c’est pour relater ce que j’ai pu voir de mon vivant et qui sais, peut être laisserai je mon empreinte dans cette notion que l’on appel histoire.

Je suis née à Edianis sur le territoire que l’on nomme Ciran, et ai passé toute mon enfance la bas à grandir le long des magnifique cotes de la mer Emeraude. Je me souviens, à l’époque, le royaume était alors pauvre et se désintégrait petit à petit par la seule cupidité d’un homme qui de par la grâce de Gaed notre dieu était l’intendant du royaume. L’intendant, descendant de la lignée du grand Alris avait hérité du trône très jeune à la mort de son père. Inexpérimenté et avec un égaux démesuré, cet homme était l’opposé même de son père et ne s’intéressa qu’a son enrichissement personnel plutôt qu’au développement du pays. Durant don règne, il avait laissé Ciran se décomposer petit à petit. Heureusement pour le peuple, vint le jour bénit où Gaed le rappela à lui alors que je fêtais mes 10 printemps. Comme pour toute la lignée des intendant, se fut son fils qui lui succéda : le seigneur Acnar.

Quand il monta sur le trône, il put constater les dégâts causés au royaume. Cet homme ne ressemblait en aucun point à son défunt père, et voulait à nouveau voir resplendir Ciran. Je me souvient qu’à l’époque, bon nombre de mesures furent prisent rapidement, les crieurs publique en ayant des extinction de voie à force de transmettre tous les ordres en provenance d’Osmad la capitale.

Petit à petit, et à force de patience, le royaume se releva en quelques années, les villes s’enrichissant et augmentant leur défenses. L’intendant forma même un gouvernement pour l’aider à la reconstruction de Ciran en apportant leur pièce à l’édifice. Pendant un temps, tout se passa bien. Mais à l’age de mes 15 ans, de nouveaux troubles vinrent secouer le royaume. En cette année 173 du calendrier de Retrahant, un homme vient essayé de rompre l’harmonie du pays. A l’époque, beaucoup de seigneur étaient mécontent envers un des membres du gouvernement mis en place : le ministre des armées, le seigneur Marcus. Des tensions s’étaient vite installées entre lui et quasiment tout le reste du pays. Mais les choses prirent rapidement une nouvelle tournure lorsqu’au printemps 173, le sieur Marcus envoya une missive à l’ensemble des seigneurs du royaume en annonçant qu’il se retirai de son poste de ministre au grand soulagement de tout le monde, mais également que sa ville se trouvait dorénavant indépendante de Ciran.

Bien entendu, ce qui devait arriver arriva, et une guerre interne éclata entre Marcus et le reste du territoire. Alors considéré comme un traître, des armées furent envoyé à son encontre pour le chasser, mais celui-ci reçut l’aide providentielle d’un seigneur jusque la resté dans l’ombre : le seigneur et Dame Osiris. La première vague d’asseau en fut décimé d’après ce qui s’était dit à l’époque, mais il ne fallu pas longtemps pour que de nouvelles troupes n’arrivent et cette fois ne détruisent la ville de Marcus et Dame Osiris.

Le calme enfin revenu, Ciran put reprendre son développement, mais déjà de nouvelles tensions se profilaient au loin.
Revenir en haut Aller en bas
Acnar

Acnar


Nombre de messages : 381
Date d'inscription : 07/12/2004

Les chroniques de Ciran Empty
MessageSujet: Re: Les chroniques de Ciran   Les chroniques de Ciran EmptyVen 3 Juin - 19:12

Gramée


Plusieurs années s’étaient écoulées depuis les évènements avec les traîtres de Ciran. Le royaume se reconstruisait et se développait de plus en plus, gagnant en richesse et en soldat pour nous défendre. Ces temps de paix étaient appréciés par tout le monde, et tous en remerciaient notre dieu Gaed.

Pourtant, un jour alors que je me rendais au temple pour aller prier, je vis un rassemblement sur la grand place. Toutes les personnes présentes s’agglutinaient autour d’un messager qui placardait une missive en provenance d’Osmad. Me frayant un chemin jusqu'à celle-ci, je pus lire alors les mots de notre intendant. Il y résumait une histoire selon laquelle des Gaediens d’Empersiste avaient été sauvagement massacré par des armées en provenance du territoire marécageux de Gramée. Pourtant bien que cet acte était impardonnable du point de vue de l’ensemble de la populace, aucun ordre de conscription ou de mobilisation d’armée n’avait été donné, à la grande stupeur des personnes présente autour de moi.

Les jours passèrent sans qu’on entende à nouveaux parlé de quelques trouble que se soit, mais un matin, alors que je me levais juste, j’entendis un raffu en provenance des rues de la citée. En ouvrant mes fenêtres, je pus admirer des troupes entières de soldat qui défilaient dans les rues et semblaient prendre la route qui menait à la capitale. J’enfilai mes vêtement et sortie le plus rapidement possible pour me rendre à la place principale de ma citée. En y arrivant, je pus voir une foule en effervescence qui clamait tous haut des injure envers Gramée ainsi que des éloges envers Gaed. J’appris alors que les armées de Gramée avaient à nouveau attaqué en territoire Gaedien et que cette fois l’intendant avait décidé de réagir. Une vaste opération était menée en collaboration avec Empersiste et Beilan pour punir le territoire qui avait massacré les Gaediens et toutes les troupes du pays se rendaient à Osmad pour se préparer à partir rapidement.

Les troupes partie de la ville, celle-ci semblait bien déserte, et seule une milice en assurait la garde et la sécurité contre les éventuel brigands qui auraient sauté sur l’occasion de piller une ville sans défenses. La liesse du départ des troupes avait laissé place une sorte de nostalgie qui se transforma très vite en angoisse. Tous redoutaient la défaite de la coalition Gaedienne, et pourtant, tous espéraient.

Les saisons passèrent sans qu’aucune nouvelle ne soit donnée sur la guerre ou ses aboutissant. Chaque messager qui arrivait en ville rallumait la flamme d’espoir de chacun, en espérant enfin connaître la situation de nos troupes. Mais à chaque fois nos espoir partaient en fumée en ne trouvant que les missives habituelle concernant la gestion du royaume et autre tache administrative.

Ce fut finalement un matin d’été que tout ceci cessa enfin. J’étais alors aux champs pour aider à approvisionner le grenier de notre ville pour l’hiver quand je vit nombre de personne lâcher leur instrument de travail pour se mettre à courir vers la citée. Entraîné par le mouvement, je suivit cette vague de personne et me retrouva sur la place du temple où se tenait le prêtre de la ville. Celui-ci criait presque pour se faire entendre, mais tout le monde savait ce qu’il racontait. La guerre était finie, et nos soldats rentraient enfin chez eux. Une grande fête fut célébrée alors pour fêter la victoire Gaedienne, ce soir la, tout le monde oublia ses soucis pour ne penser qu’à s’amuser.
Revenir en haut Aller en bas
Acnar

Acnar


Nombre de messages : 381
Date d'inscription : 07/12/2004

Les chroniques de Ciran Empty
MessageSujet: Re: Les chroniques de Ciran   Les chroniques de Ciran EmptyVen 3 Juin - 19:12

Empersiste


Les saisons passèreent et la vie suivit son long cours. Les événements de Gramée étaient désormais lointain et ne représentaient plus guère qu’un lointain souvenir dans ma mémoire.
Le résultat de cette opération avait été un franc succès, la capitale ennemie étant tombé. Malheureusement les conséquences qui découlèrent de la guerre eurent des effets bien inattendu. Beaucoup de seigneurs d’Empersiste étaient rentré chez eux avec un goût amer. Pour des raisons obscures, l’intendant de Gramée n’avait pas été destitué de son poste, entraînant par la même le mécontentement de nombre de seigneur qui voulaient le voir tomber.

Le temps passant, des tensions apparurent au sein de conseil Empersois entre l’intendante Léltih et certains de ses seigneurs, dont Galahad d’Aethir, son plus fidèle seigneur alors. Ceci n’était un secret pour personne car dès qu’un ambassadeur de notre ville voyageait jusqu’à Ephyne, il témoignait des tensions palpables au conseil Empersois.

Pour le grand malheur des Gaediens, le pire restait à venir. Comme tout le monde s’y attendait, une rébellion éclata au cœur de l’Empersiste, mené par la famille Aethir. Ce seigneur avait rassemblé de nombreux partisans à sa cause et s’apprêtait à assiéger la citée sainte d’Ephyne.

De nouveau certaines forces Ciranienne furent mobilisées pour répondre à l’appel de notre allié l’intendante Lélith. Pour la seconde fois de ma vie, je vit les troupes de ma citée partir pour combattre et mater la rébellion Empersoise, et comme la première fois, je senti mon cœur se serrer en voyant ainsi ces hommes partir combattre.

Contrairement à Gramée, et aussi du fait que l’Empersiste se trouve à proximité d’Empersiste, nous étions constamment informé de l’évolution de la situation. Ce n’est que six mois plus tard que nous vîmes enfin le retour de nos soldats qui avaient de nouveau triomphé de l’ennemie. En effet, le seigneur Aethir avait visiblement périt à Ephyne lors du siège de celle-ci, ce qui avait mit fin à la rébellion, les rebelle étant privé de leur chef.

Ainsi l’Empersiste et notre royaume purent connaître une nouvelle ère de paix.
Revenir en haut Aller en bas
Acnar

Acnar


Nombre de messages : 381
Date d'inscription : 07/12/2004

Les chroniques de Ciran Empty
MessageSujet: Re: Les chroniques de Ciran   Les chroniques de Ciran EmptyVen 3 Juin - 19:13

Kandrasie


Les souvenirs ne sont que des impressions fugaces que nous gardons de notre passé. Certains s’oublis rapidement, alors que d’autres restent gravé dans votre mémoire à jamais.

La chute de Léltih avait provoqué nombre de trouble en Empersiste, et finalement ce fut le grand inquisiteur du royaume, le seigneur Sârdar qui monta sur le trône d’Ephyne. Les partisans de Lelith furent massacré les uns après les autres par les troupes Kandrasiennes à l’exception d’un seul, le seigneur Vlad, qui peu de temps auparavant avait fui l’Empersiste pour s’installer chez nous en Ciran. Il y avait fondé une ville qui prit rapidement de l’ampleur grâce aux financements de celui-ci. On dit d’ailleurs que tout cet argent était en fait le trésor de l’Empersiste que Vlad aurait emporté avec lui avant de fuir.

Les saisons passèrent rapidement dans la paix. A l’age de 27 ans, je décidais finalement de m’engager dans l’armée régulière de ma ville en ayant assez de rester à chaque fois spectateur des faits sans pouvoir agir. Les débuts furent difficile, et plusieurs fois je failli renoncer pour redevenir le simple ouvrier que j’avais toujours été, mais je voulais par-dessus tout pouvoir aider ma patrie et participer activement à son développement. C’est cette simple pensée qui m’aida nombre de fois ou j’avais perdu tout espoir.

Pour des raisons que j’ignore encore, je fus principale du royaume seulement 1 an après mon incorporation. Je me retrouvais donc à Osmad, c’était la première fois que je m’aventurai dans la capitale de notre royaume, et tout me semblait extraordinaire et immense. Les premiers mois ne furent pas les plus palpitant, ma compagnie étant relativement inexpérimenté, nous nous occupions essentiellement des gardes de nuit sur les remparts, ainsi que de simple patrouille sur les abords de la citée pour dissuader les brigands qui voudraient s’en prendre aux faubourgs situé aux environs d’Osmad.

Du jour au lendemain tout bascula, nous qui n’étions qu’une petite compagnie de surveillance fûmes transférée dans le corps principal de l’armée d’Osmad. Visiblement les hauts dignitaires avaient besoin de soldats rapidement.

Ce ne fut que quelques semaines plus tard que nous comprimes le pourquoi de ce transfert brutal : la guerre était sur le point d’éclater entre Ciran et Kandrasie. La polémique sur le seigneur Vlad avait prit une importance considérable, au point que la Kandrasie voulait marcher sur sa ville pour se venger de lui malgré le protectorat que Ciran lui offrait.


Malgré tous les entraînement qu’un homme peu subir, rien ne peut le préparer aux atrocités de la guerre. Les Kandrasiens arrivèrent finalement en Ciran et assiégèrent la citée de Vlad. L’intendant du royaume avait auparavant réunit la maximum de troupes à Osmad pour préparer une contre offensive pour lever le siège de Vlad, mais auparavant, il fallait affaiblir nos ennemies car une attaque frontale aurait inévitablement conduit nos forces à une mort certaine. Nous fume donc affrété à la défense d’une petite ville dont les soldats étaient réduits du fait que les troupes seigneuriales étaient parties combattre les Kandrasiens sur leur propre terre. Ce fut à Brimgean que je vécu ma première bataille au cours de laquelle l’intendant lui-même présent fut gravement blessé. En défendant la citée, nous combattîmes contre les forces de deux seigneur Kandrasiens : les seigneurs Rodrik et Galamar qui bien que combattant vaillamment furent défait ce jours la. Privé de dix milles de leur homme, il fut décidé de lancer l’asseau pour aider Vlad, mais je ne pus y participer car je fut envoyé pour attaquer une de nos propres ville. En effet, un des seigneurs de Ciran dont le nom m’échappe aujourd’hui nous avait trahi en donnant nombre de renseignements aux Kandrasiens pour les aider à vaincre. Ordre fut alors donné de raser sa citée, ce que je du faire à contre cœur, car je n’aimai pas l’idée de devoir tuer d’autres Gaediens.

La suite des évènements se passèrent rapidement. L’asseau pour tenter de lever le siège de Vlad fut un cuisant échec, j’y perdis d’ailleurs beaucoup d’ami que je m’étais fait au sein de l’armée. La citée de Vlad tomba alors rapidement et celle-ci pillé, les Kandrasiens repartirent aussi rapidement qu’ils étaient venu.

En accord commun, la guerre se termina ainsi, laissant notre royaume en reconstruction.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Les chroniques de Ciran Empty
MessageSujet: Re: Les chroniques de Ciran   Les chroniques de Ciran Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Les chroniques de Ciran
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Chroniques de Terremer
» Chroniques impériales
» Chroniques de Tartau
» [Histoire d'un Seigneur] Les Chroniques du Guerrier Argenté
» [info] Chroniques Finales

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Retrahant, Ere impériale :: ¤ Archives Retranes ¤ :: Archives Ere 2 :: Grandes Quêtes & Petites Racontotes-
Sauter vers: