Correspondances Intendantes [Chroniques finales]

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Citation :

[AVERTISSEMENT : CE TOPIC RP NE DOIT FAIRE INTERVENIR QUE LES 8 INTENDANTS ET MONTRANT LEURS CORRESPONDANCES LORS DU BROUILLARD "MONDIAL" ET L'ENLISEMENT DE RETRHANT .

SI LES INTENDANTS LE PERMETTENT PLUSIEURS PERSONNES POURRONT POSTER
TOUT INTERVENTION NON DESIREE DEVRA ÊTRE SUPPRIMEE DU TOPIC.

MAINTENANT QUE VOUS AVEZ PRIS CONCIENCE DES REGLES NOUS VOUS SOUHAITONS BONNE LECTURE OU BON RP POUR D'AUTRES

MERCI DE VOTRE COMPREHENSION]

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Cela faisait maintenant plusieurs mois que les vastes terres d'Orcum n'avaient pas été balayées par les rayons de l'astre du jour. Le ciel était bien morne désormais, une mysterieuse brume venue du nord avait recouvert le désert Orcumien et un panache de fumée stagnant dans les cieux avait finalisé l'arrivée des ténèbres.

Le désert qui était réputé pour le poème d'Intek Ibn'Marouf, ancien philosophe qui comparait le désert à une mer d'or et de sagesse, était désormais froid et grisâtre.
Il devenait difficile de reconnaître le jour de la nuit, et le seul indice était la présence d'une faible lueur derrière la chaîne montagneuse du Aralha'Kan.
Le désert était désormais devenu traître et on ne comptait plus les hommes qui s'étaient enlisés dans des sables mouvants, empoisonnés par des scorpions ou attaqués par des hyènes. Les pièges du désert étaient si nombreux que nul n'osait quitter sa cité.

La lumière des étoiles ne filtrait plus et même les astrologues ne parvenaient à apercevoir une seule des lunes de Raï Hago, nom actuellement donné par les savants Orcumiens à notre terre.

Orcumia , la capitale politique et religieuse était en pleine agitation. La tempête de sable avait cessé et on se hataît de réparer les dégâts et d'enterrer les morts. La ville était en deuil et les tâches une fois effectuées, une bonne partie de la population retournait dans leurs yourts, portes fermées à double tour et leur cimeterre à la main, prêts à affronter toute menace. Malgré les efforts du Tiram actuel, Brahim Ibn'Ara, pour lutter contre l'immobilisme de la cité et rassurer la population, la cité vivait sous la peur, assiégée par un ennemi qui n'était pas humain et inconnu jusqu'à ces sombres jours. Même les cheiks enfermés dans leur mosquées succombaient à la panique ambiante.

Mais dans la Haute ville, l'heure était au préparatif et de nombreux soldats et caravanes pullulaient dans les quartiers qui entouraient le Grand Palais d'Orcum au sommet du Promontoire de Granit.

Cela faisait plusieurs heures que le Tiram était enfermé dans ses appartements privés et que ses proches conseillers attendaient sa décision. Seul assis sur son lit et étant accoudé à son bureau de chêne, cadeau de l'Intendant Arron'Kain, il terminait de rédiger huit parchemins. Sept d'entre eux étaient identiques et comportaient l'inscription suivante :

" Ce message s'adresse à tous les Intendants du Grand Retrahant.

Le malheur a chevauché nos terres et les ténèbres s'en nourrissent. Nul doute que nombre d'entre vous sont déjà touchés par le fléau comme Orcum .
Les troubles sont nombreux et je ne compte plus les morts. Les akkresias sont apeurés.

Au nom de Retrahant, évitons l'isolationnisme que nous soyons zanarithes, karéens, gaediens, meloïtes, adeptes de Lug ou même sans culte !

Nous devons trouver une solution rapidement. Les terres se meurent, je vous en prie, répondez à mon message.

Je propose de nous réunir dans une région neutre, l'Hakkalam dans la ville indépendante de Khellengrad.

Au nom de mon peuple, j'attends une réponse.

Brahim Ibn'Ara, Grand Tiram d'Orcum et Intendant d'Orcumia"

Ce message avait été copié sept fois mais quant au huitième parchemin, seul le Tiram connaissait son mystérieux contenu.

Il se releva de la chaise et appella la personne la plus fidèle de son royaume, seule personne à être restée dans la chambre pour tenir compagnie au Tiram.

"Lena, apporte ces précieux parchemins aux coursiers et demande-leur de fouler Retrahant pour apporter ces précieux écrits aux capitales et à leurs dirigeants.

Il faut que vous sachiez que leur importance est capitale alors montez-les sur les chevaux que m'ont offert l'Intendant Eruksion et accompagnez-les de nos Elites montées sur des chameaux.

Vous pouvez disposez, j'ai besoin de repos, jeune fille."

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Merci AFSR !
hrp/

Dix mois. Dix mois que le ciel était immobile.

Peu après l'invasion par Aevenspir, voilà une autre menace qui pesait sur Fironk.

Le siège de Börm avait coûté la vie à nombre d'hommes, mais ce n'était rien à côté de ça. Cette fois-ci, le blé ne poussait plus, faute de lumière, faute de mouvement dans le ciel.

Heureusement, depuis bien des années, des torches étaient accrochées à l'intérieur des murs de Börm et des autres cités fironkoises. Ainsi, un mouvement était créé, les archers pouvaient continuer leurs rondes sur les enceintes, et les fironkois se retrouvaient maintenant non loin de ces murs, afin de capter le peu de lumière, mais surtout le mouvement que produisaient ces lumières.

Aléa avait organisé des joutes pour faire plaisir à sa population. Quelle erreur n'avait-elle pas commise ! Les hommes tombaient avant même de combattre, fatigués, lassés, épuisés par ce manque chronique de nourriture. Au quart de la compétition, Aléa annula tout, demandant pardon aux fironkois, toute Commandeuse qu'elle était.

L'immobilité était grandissante en Fironk. Pour pallier à cela, Aléa demanda à toute la population fironkoise de venir à Börm. Ainsi, ils se sentiraient moins seuls, et peut-être plus forts.

Tous les Commandants n'étaient pas d'accord, mais qu'importe. Dans ces conditions extrêmes, elle se devait de montrer qui menait les hommes. Elle fit installer des logements pour eux non loin du sien, pour pouvoir discuter, pour pouvoir prendre de bonnes décisions, et pour pouvoir mettre vite tout le monde au courant.

La population fironkoise était réduite maintenant à quatre mille hommes. C'était beaucoup pour une seule cité, bien que Börm avait la place d'accueillir ce monde, mais c'était bien peu pour ce peuple qui avait d'autres ambitions que d'attendre un mouvement céleste.

Aléa pensait à Warzar, comme souvent dans ces cas difficiles. Qu'aurait-il fait ? Face à cette crise, ce n'était plus évident. Autant contrer des hommes était chose faisable, la dernière guerre l'avait montré, autant animer le ciel était une autre histoire.

Il fallait innover. Aléa voyait les torches au loin, laissant la population en profiter pleinement, et c'est alors qu'elle eut l'idée. Elle réunit ses Commandants, et environ une lune après, Börm était éclairée. Aléa avait fait planter des piquets surmontés de torches, environ tous les vingt pas, ce qui produisait une lumière dans le ciel. On pouvait alors mieux voir le brouillard qui surplombait Fironk, c'était en fait en mouvement, en mouvement continu. Il se déplaçait lentement, mais il était en mouvement. Cela plus les torches, c'était l'effervescence à Fironk. On arrivait à faire pousser un peu de blé, la vie pouvait reprendre.

Mais, cela ne pouvait durer longtemps, et surtout, cela ne pouvait dépasser les frontières qu'étaient les enceintes de Börm.


/.../


Les chameaux s'arrêtaient. Au loin, une lueur dans le ciel, à l'endroit approximatif où devait se situer Börm. Il fallait y aller, voir ce qu'il se passait là-bas, et surtout apporter ce message.

Arrivés en bas des enceintes, le messager criait :


"Messager d'Orcum pour la Commandeuse Aléa !"


L'on voyait une lumière alors en haut, pour identifier les arrivants. Des cris retentirent, et la porte s'ouvrait. Là, stupéfaction, c'était la clarté partout. Börm était devenu comme un astre lumineux.

L'on menait le messager et ses hommes à Aléa et ses Commandants.

Aléa lit alors le message, et reste pensive.

Commandants, il va falloir partir. Que l'on prépare nos Yiotas !

Messager, vous allez nous mener jusqu'à Khellengrad, dont je ne connais l'emplacement. Commandants, réunissez la population, j'ai à leur parler.

Une heure plus tard, les Yiotas étaient prêts, la population était rassemblée, Aléa pouvait parler :


"Fironkoises, fironkois !

L'heure est difficile ! Nous avons la lumière, nous avons le mouvement, nous avons un peu de nourriture, mais bien sûr tout cela ne peut continuer ainsi ! Commandeurs de tous territoires sont appelés à se réunir pour trouver une issue à ceci ! J'emmenne tous nos Commandants avec nous !

Je vous fais confiance ! Continuez à vivre comme vous le faisiez ces dernières semaines, et tout se passera bien !

Je reviendrai bientôt, je vous le promets !"


Son discours fini, Aléa se demandait si elle reviendrait vraiment, mais qu'importe, il fallait partir.

Avec ses Commandants, guidés par le messager et se garde, Aléa prit alors la route pour Khellengrad.

Le ciel s'était obscurci, on avait d'abors pris ça pour un orage. Mais " l'orage " durait beaucoup plus de temps que les plus violents. Les anciens parlaient déjà.

"Eh! C'est que l'orage dure longtemps! Jamais d'ma vie j'en ai vu d'aussi long."

La pluie avait rapidement cessée, mais les nuages restaient. Le peuple s'inquiétait déjà.

"Les récoltes vont manquer de soleil" hurlaient les agriculteurs.

"Les bêtes se sentent pas bien" braillaient les éleveurs.

Mais on ne s'inquiétait pas encore, les réserves étaient pleines, et la famine n'apparaitrait pas de sitôt.
Au moment ou la concertation aurait été utile, chaque seigneur restait cloitré dans sa ville, ne se rendant plus à l'assemblée Kandrasienne, vivant en autarcie.

Les autorités religieuses tentaient de calmer la population qui s'inquiétait. Les prêtres invoquaient le chatiment des Dieux, la "mise à l'épreuve", mais dans les milieux les plus pauvres, on parlait déja du retour de Thane.
Le découragement gagnait les campagnes, et manacait les villes. Que faire contre un Dieu? Ses armées maudites arriveraient, et plus rien ne subsisterait.

Cette situation durait déjà depuis plusieurs mois, et l'arrivée d'un messager en provenance d'Orcum raviva la curiosité que certains avaient perdu devant tant de monotonie.
Le messager se dirigea vers le palais d'Elderine. Et porta une missive signée du Tiram lui-même.

Le Tiram avait compris la situation, et Eruksion décida d'aller dans cette ville proposée, afin d'y rencontrer les intendants qui auraient voulu y aller.

Une escorte se constitua rapidement, et Eruksion convoqua rapidement un messager.

"Tiram,

Votre missive m'apprend que la Kandrasie n'est pas un cas isolé.
C'est pourquoi j'accepte votre invitation, j'y représenterais mon peuple qui attend de moi une issue heureuse à cet évènement

Eruksion, Intendant et Patriarche de Kandrasie."

L'Intendant sortit d'Elderine, accompagné de quelques dizaines de gardes. Les routes n'étaient plus sûres en Kandrasie depuis " l'orage".

Citation :

En Aevenspir aussi, depuis longtemps, cet épais brouillard était apparu sans jamais faiblir. Cela faisait près d’un an que l’on ne voyait plus le sommet du pic d’Eskadner. Les rumeurs parmi la population fusaient, on entendait tout et n’importe quoi, Nasip se demandait presque si les Aevenspeers n’étaient pas devenu fous. Certains, même, se demandaient si ce n’était pas encore parce que la campagne fironkoise avait été dite « injuste »…

La nourriture commençait à manquer. Mais, au grand étonnement de tous, la solidarité régnait en Aevenspir. Un système de ration, le plus juste possible avait été mis en place par la population elle-même puis approuvé par le nouveau Karsper, Nasip, qui félicita l’initiateur de cette action publiquement au cours d’une grande cérémonie qui permit à tous d’oublier, un peu, le malheur dans lequel ils étaient plongés.

Mais, Nasip était inquiet. Une métamorphose avait eu lieu. Aujourd’hui, Nasip n’était plus le jeune homme fougueux, haineux, au regard injecté de sang, prêt à tout pour tuer ou massacrer ses ennemis. Ce n’était plus cet adolescent qui avait juré la mort à Arron’kain en lui promettant une rivalité éternelle. Nasip était devenu un vrai roi ; un roi qui aime son peuple, un roi qui serait prêt à tout pour son peuple dans ces moments difficiles, un roi qui, enfin, pourrait mener le drapeau Aevenspir à la place qui lui était due. Il n’avait pas oublié ses ennemis : Arron’kain, Aléa, Acnar, Eruskion… mais, il les avait mis de côté, chaque chose en son temps. Il devait déjà régler au mieux la crise, sa première, il devait montrer aux Aevenspir qu’il avait le cran de diriger son pays, comme Elitos, comme Hypos…

Un jour, alors que Nasip se préparait pour faire une visite du royaume, un soldat vint à lui :

« Karsper, une caravane de chameau est aux portes de Serkania. Un homme dit avoir un message pour vous de la part du Tiram Ombosien. Il dit que c’est très important. »

Nasip dit d’une façon autoritaire :

« Qu’il entre seul ! Qu’on le désarme ! Et qu’il vienne à moi ! Je vais le recevoir. »

Le soldat, sans rien dire accourut chercher le messager. Moins de cinq minutes s’écoulèrent avant qu’il soit reçu dans le bureau de Nasip.

Cette salle était assez sobre, il n’y avait que deux grandes tapisseries au murs. L’une représentait la première victoire Aevenspir : Hypos, Elitos, attendant aux côtés de tous les Aevenspeers les Kandrasiens, qui ont sans doute vécu leur plus grande défaite. L’autre tapisserie représentant le territoire : on pouvait y voir clairement la chaîne de montagnes, les différents fleuves ou rivières, chaque ville… Les meubles étaient assez simples, il y avait une grande table, un nombre de fauteuils important, au moins vingt. Rien ne pouvait laisser penser que ceci était le bureau d’un roi, tant l’or, les diamants, et autre richesse manquaient. Seule la présence de Nasip suffisait.

Le Messager était vêtu de blanc. Il avait ce beau visage d’homme du désert qui affrontait depuis toujours les éléments et qui faisait ressentir sur son visage une force et une sagesse hors du commun. Nasip le fit asseoir, et, après s’être réellement salués, il s’adressa au messager :

« Je n’ai que peu de temps, j’avais prévu de faire un tour du royaume. Paraît-il que vous auriez un message de la part de votre roi ? »

Le messager acquiesça et lui tendit le parchemin. Nasip le lut. Il regarda l’Ombosien, lui sourit, puis il demanda à dicter.

« Tiram Ombosien,

C’est une bien belle initiative que vous avez prise. Je me ferai une joie de vous retrouver dans la ville de Khellengrad et d’y représenter tout le peuple Aevenspeer.

Mon oncle, Etkelion m’accompagnera. Je vais, pendant que l’on préparera le départ refaire un tour du territoire pour donner la situation exacte de l’Aevenspir.

Grâce à vous, c’est l’espoir qui renaît. Je vous en remercie, à bientôt.

Nasip Nomis. »

Puis, il prit le parchemin, le roula, le scella, et dit au messager :

« Porte ça vite à ton maître. Adieu. »

Nasip partit, il serait de retour dans une semaine, si le temps s'y prêtait, pour son grand départ…

Aronn'kain etait debout a la fenetre de son palais. Il regardait ce brouillard qui perdurait non sans etre inquiet.
Ses conseillé debout derriere lui ne savait quoi dire. Après moult enquete, personne ne savait ce qu'il se passait.
Tout retrahant semblait en etre victime mais impossible de savoir comment ils avaient gerer la situation.
Les eclaireur envoyé a l'etranger n'etait toujours pas revenu. La population de l'empersiste disparaissait jour après jour.
Certain parle de secte machiavelique qui sacrifierais des gens pour creerce brouillard, d'autre disent que ce serait nos ennemies qui aurait trouvé une nouvelle arme.

La populace etait en train de bruler quelques personnes accusé d sorcellerie.
Voyant cela, Aronn'kain se tourna vers les grand pretre juste dans le coin de la salle.

Dite a ces gens d'aller bruler ces sorciere en dehors de la ville, je ne veux pas risquer d'avoir en plus une peste sur le dos.

Soudain, un homme entra affolé dans la salle.

Sir, un convois venu d'Orcum sont aux porte de la ville. Ils disent avoir un message pour vous.

Faite les entrer ... Et amenez la garde aussi.

Le convoie entra dans la grande salle du trone d'Ephyne entouré par la garde royale. Ils s'approchèrent a quelques metres de l'intendant qui leur dis


Alors? Vous avez peut etre une idée sur ce qu'il se passe ici.

Un orcumiens sortit des rangs un message a la main
Ceci est un message de mon maitre pour vous

Aronn'kain pris alors la lettre et la lut attentivement. Il releva alors la tete vers ses conseillé le sourir au levre et leur dis
On part demain, faite le necessaire.

[HRP :] Y'en a qui savent pas lire ici ... La t'est un peu en train de flinguer le rp ... Faut continuer sur l'intrigue la [:HRP]

Cela faisait plusieurs heures que le tiram était réuni avec les autres intendants autour d'une table enfumée au fin fond de la taverne du voyageur , lieu assez incongru pour des dirigeants .

Apparemment la situation était similaire dans une grande partie de retrahant .

Le tiram contemplait le fond de la choppe où quelques minutes auparavant mijotait une bierre exotique . Il ne restait plus quelques feuilles vertes qui formaient des symboles . Le tiram atterré par la situation actuelle n'avait que d'autre à faire sinon soupirer .

Tout à coup la porte s'ouvrit à la volée et un messager apparut : - Tiram , j'ai de mauvaises nouvelles ... Orcumia est sous le feu d'une armée ennemie et le combat fait rage , impossible de déterminer si nous vainquons l'envahisseur ou non .

Le tiram rétorqua : " Quel envahisseur ?"
- Les Arkenians grand tiram. Ils ont profité de la pluie de cendre sur Orcumia pour nous envahir ... Nous les avons repéré la première fois à l'oasis de Celesta etAkhim'sil est venu avec nous . Ils doivent venir bien sud des déserts ... Ils ne sont pas comme les peuples de Retrahant , mais ... je dois vous dire qu'ils arrivent en direction de khellen grad monsieur !

Le tiram avait désormais retrouvé un poids sur ses épaules qu'il avait oublié et cru perdu depuis sa venue à khellengrad ... Il sortit son cimeterre et demanda aux divisions l'accompagnant de se tenir prêtes au combat .

- Cherchez moi Akhim'sil , j'ai besoin de l'entendre !

Il se retourna vers la table au fond de l'auberge :

- Messieurs Intendants si vous n'y voyez aucun inconvenient je vais me battre ... Me suivez vous ?

Akhim' sil entra donc à la demande de son intendant. C' était leur première rencontre et le fils de nomade aurait surement était intimidé de rencontrer un grand de ce monde si les circonstance n'avait pas étaient aussi dramatique.

Il portais à sa taille un cimeterre de facture moyenne. Avait retiré son turban et était accompagné d'un homme qui lui ressemblait fort mais à la stature beaucoup plus imposante : son frére.

Leur visage à tous deux exprimais le désaroi, l'imcompréhension et la honte. Vu leur mains ils était tous deux plus habitué à guidé les troupeau de chameau dans les dunes qu'a tenir une arme.

Le jeune seigneur s'inclina presque jusqu'a terre et l'on put voir ses vétement taché de sang et éventré dans son dos. Sans doute avait-il pris une fléche qui par chance n'avait
pas eut de trop grave répercussion sur sa santée.

Seigneur ma ville est tombée sans infligé de perte au ennemis. Nous avons résisté au brouillard. Les réserve de la ville était vaste et nous sommes tous d'ancien nomade, mais hélas, si nous pouvons résister au assaut du désert pour le combat nous n'avons que l'expérience des quelques rare voleur de troupeau ou quelque pierre habillement lancée suffisent à remporté la bataille.

Nos éclaireur nous ont signalé la venu des ennemis. Et sachant que nous ne pourrions tenir nous avons préféré nous cacher en construisant des abris sous le sable. Hélas toute les familles n'ont pas put étre sauvée sur les 537 qui composaient Celesta seulement 63 ont survécuent. Nous nous activons au mieu pour enterrer nos morts mais nous craignons la maladie car les corps sont exposé dans les rues depuis bientot 5 jours. Niveau nourritures la situation est tous a fait suportable vu le peu de bouche que nous avons à nourir. Par chance les brigands n'ont pas eut l'idée de lancer des cadavre d'animaux dans les réserves d'eau elle est donc consomable.

Le discour était prononcé de façon monocorde alors que le seigneur avait les yeux dans le vague, sans doute apris par coeur. Le seigneur semblait dans un profond état de trouble et jugeait que sa place était à enterrer les familles à qui il avait fait croire l'eden dans le désert et qui étaient mortes sous les coups des pilleurs.