Espionnage en Aevenspir ?

Un cavalier aevenspeer clama le message suivant

"Il y a deux saisons, un empersois du nom de Charles passait dans la plupart des secours des villes aevenspeers, sans nulle explication.

Les Ewspers dûrent calmer les ardeurs de différents seigneurs qui étaient prêts à partir sur le champ, furieux de se voir ainsi espionnés ainsi que tous leurs voisins.

Aevenspir est en bon terme avec Empersiste, toutefois, si le seigneur Charles ne sait pas s'expliquer clairement ici et donner réparation pour les informations défensives stratégiques volées à notre pays... Qu'il soit dit qu'une armée sera mobilisée et marchera directement sur sa cité, sans nullement partir où que ce soit ailleurs en Empersiste bien entendu.

Cher Estreval, si le seigneur Charles souhaitait vous espionner , je pense qu'il aurait simplment envoyé des voyageurs, car l'exterieur d'une ville n'est pas des plus dissimulable ...

Uzald arriva dans la salle. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas vu Estreval et était content de le voir. Il prit la parole,

Mon cher Estreval, Grand Ewsper d'Aevenspir, je suis triste que nous nous voyons que pour rgler des problemes de nos deux territoires. C'est pour cela que je souhaiterai vous inviter chez moi, je t'ecrirais. Anefa serait contente de te voir.

Enfin, je probleme n'est pas là. Je ne connais pas ce sieur, mais sache mon ami que je vais m'en charger personnelement. Il me semble qu'il est jeune et n'a pas saisi la porté de ses faits.

Je m'excuse de son acte au nom de ma famille et donc de l'empersiste pour cet acte quiest inexpliqué.

Puis se retournant vers un serviteur. Amene moi du papier, une plume et de l'encre. il faut que j'ecrive à ce Charles.

Et faite lui comprendre que nous n'apréçions pas du tous ce genre de pratique. Le seigneur Estreval est beaucoup plus pascient que moi. Et si je revois un seul de ses soldats sur mes terrains de chasses j'irai mettre sa ville à feu et a sang sans sommation pour être sur que le secret rester gardé.

La femme qui prononçat ses mots, malgrés sa taille gracille et ses vêtement quelque peu voyant semblait ce pendant, au vu de la vougue qu'elle tenait à la main et des quatres hommes qui l'entourait tous à fait capable de mettre ses paroles à éxécution.

Certes, je répondrai volontiers à votre invite, et je me désole autant que ce soit des problèmes territoriaux la cause de cette entrevue... J'espère que tout se passe bien en Uvyrïn.

Comprenez toutefois que nous ne pouvons permettre à quiconque de se renseigneur impunément sur notre système général de défense. Il se pourrait bien par ailleurs que ce Charles ait été payé par une nation étrangère pour ce fait. La réaction du Chef de Meute Loïss a trouvé le même écho chez de nombreux autres, et cet élan ne saurait être contenu facilement sans réparation sincère...

Un messager est parti. Je suis sûr que cela va se regler en toute amitié. Je ne crois pas d'ailleurs qu'il ait été payer par une autre nation pour vous espionner, je crois que c'est tout simplement une erreur de jeunesse.

Une erreur de jeunesse... soit, mais il est tres impolie de rester muet quand l'on vous demande des explications n'est-ce pas vrai seigneur Uzald?
vous qui ètes coutumiers des relations entre nations, comment interpretez vous cela?

pour ma part je trouve cela un peu etrange, mais ça ne concerne que ma personne

enfin il faut ce demander ce qui se passe dans la tête de ce jeune seigneur, puisqu'il n'a répondu à aucune de nos missives.

Mais si vous dites pouvoir regler cela, moi je m'en contente fort bien

Une belle jeune femme se leva et déclara avec un sourire courtois :

Je compte sur vous pour lui donner la leçon sir Uzald, je sais de source sur que ce n'est pas le premier le territoire que notre ami "visite" ainsi. Et il n'a toujours pas répondu à nos missives.
Comprenez bien que si nous pouvions en rester la tout serait pour le mieux, mais nous n'hésiterons pas non plus à prendre les mesures qui s'imposent dans le cas contraire...

Zefak ne sortait pas souvent de ses terres natales, mais cet histoire d'espionnage que ses explorateurs lui avait rapporté avait comme un goût de déjà vu...
Il devait de lui même, en tant que commandeur de Fironk, aller apporter son témoignage...

Il entra dans la salle et jeta un oeil aux alentours, un vieux réflexe de méfiance qu'il tenait de ses anciens et qui lui était resté ... Même si Fironk commencait à s'ouvrir sur le monde il fallait rester méfiant ...

Zefak prit alors la parole

Il y a plusieurs saisons, nous avons reçu en Fironk une troupe de l'armée de ce seigneur prénommé Charles ...
Et nous avons eu la même réaction que les seigneurs d'Aevenspir ! Que vient faire cet étranger à nos portes ? Est-ce de l'espionnage ?
Surtout que cet incident s'est déroulé juste après la prise de pouvoir par le nouvel intendant empersois ...
Cet intendant nous espionnerai-t-il ?
Je n'espère pas ! Fironk est un territoire indépendant et souhaite le rester ...

J'ai tout de même envoyé une missive à ce seigneur qui m'a expliqué qu'il souhaitai avoir des renseignements sur la qualité et le mode de construction de nos murailles afin de bâtir la sienne ...
Mais son intendant ne peut-il le renseigner à ce sujet ? N'est-ce pas son rôle ?

Sachez que je ne tiendrai pas compte de cet incident mais que si celui-ci devait se reproduire, je n'hésiterai pas comme Dame Loïss à détruire la cité de ce curieux ...

J'espère que ma voix sera entendue et comprise ...

Que le vent venant des hautes plaines anime votre âme à jamais ...

Une horde de cavalier s'avançaient vers l'Assemblée.
A sa tête, un cavalier vêtu d'une armure scintillante, et d'une longue cape en fleur de lys.
Il portait une lance avec à son bout l'étendard de sa cité.
Une fois sur place, seul ce dernier descendit de son cheval et se présenta face aux autres Sir déjà présent.

-Moi Charles, Seigneur de la cité de Zippo, est venu s'expliquer de ses actes auprès de l'Avaenspir qui d'après moi est bien trop orgueilleuse et devrait se méfier tout aussi bien que moi des forces présentes au sein de ma ville.

Quoiqu'il en soit je suis là pour vous dire une chose :
Après m'être quereller avec un seigneur Empersois, nous décidâmes avec le soutien de l'Empersiste d'un cesser le feu.

Durant les négociations, Ezald me dit qu'il préférerait que j'aille attaquer un autre territoire plutôt qu'une ville Empersoise...

Votre territoire étant connu pour être mercenaire, mon bon sens m'a donc dicté qu'il devait être seul face à tous.
J'ai donc envoyé des éclaireurs afin d'évaluer les défenses présentes, qui ma foi, me rassure quand je vois les mienne.

Bref, après ce quiproquo je tiens aussi à m'excuser pour les désagréments causés, et je tiens à préciser que nulles informations n'ont été divulguer à quiconque, qu'elles seront détruites le plus tôt possible .
A la bonne entendeur !!!

Uzald écouta attentivement Charles. Il frissona après certaines paroles et sourit après d'autres.

Voila qui est bien mon cher Charles.
C'est bien ce que je vous avais dit, c'était une erreur de jeunesse et cela est très bien d'avoir su reconaitre et s'excuser de ses tords.
C'est digne d'un grand sieur mon cher Charles.

Cependant, ne traitez pas les Aevenspeers de "trop fier" et "orgueilleu", cela est faux, et ce n'est pas la peine. C'est pour cela que je m'excuse en son nom. Il ne connait pas encore la portée de ses actes et la portée de ses dires.

Aussi, sachez que Charles n'attaquera personne ou je m'occuperais personnelement de son cas.

HRP: dsl oublie de changement de compte^^

Ayhla haussa un sourcil lors du discours de Charles, décidemment ce seigneur était bien impétueux...

Sir Charles, je vous conseille de bien écouter les paroles de votre intendant. Les caractéristiques que vous nous donnez pourrait vous valoir bien plus qu'une simple rétrimande en d'autres circonstances...
Ah, et ne vous vantez pas trop de la taille de votre armée, certains pourraient être tenter de vérifier vos dires. Bien que je ne remette pas en cause le fait que vous aillez quelques soldats, je doutes que vous fassiez le poids face un chef militaire expérimenté et encore moins face à un territoire tout entier...

Enfin, pour ma part, je crois qu'il faut bien accepter vos excuses.

Elle se rassit, l'air déçue. Un peu d'action lui manquait ces derniers temps...

Kasterian se leva à son tour.

"Ha ! Messire Charles, vous voila enfin !

Savez vous, je suis vraiment navré de voir que ma missive n'a pas trouvé de réponse et est restée lettre morte, j'aurais tant voulu avour votre avis sur nos monts et son paysage ... Vraiment, vous me fendez le coeur. Nous sommes orgueilleux oui, et je suppose que cela viens surtout de ma missive. Mais que voulez vous, nous sommes ainsi, nous, peuple des monts. Certains se battent pour l'honneur, d'autre pour le plaisir du massacre. Nous nous battons pour l'argent, OU pour notre, terre, nos familles et notre orgueil.

Mais si vous craignez pour vos défenses, pour quelques pièces messire, nous pouvons vous en offrir une, et d'une qualité certaine ..."

Seigneur d'Aevenspir,

sachez que j'ai tanter de m'occuper du mieux que possible de l'affaire qui nous avez tourmenter plus tot avec les seigneur Charles et l'un de nos camarade.
Je tiens a aprouver Uzald qui dit que c'est une erreur de jeunesse, Charles ne parle pas et n'agit pas au nom de l'Empersiste, il n'est pas actuelement en tres bonne amitié et respect avec les seigneur empersois. Ne prenez pas ses dires comme venant de l'Empersiste tout entier. Il peut commettre des actes et des erreurs graves, mais qui ne valent pas la peine de declarer une guerre....surtout avec l'un de nos alier!

Les plus versée dans l'histoire de Retrahant connaissaient peu être le peuples étrange des Mogus pour qui un coup de poing ou un bras brisé mérite bien moins d'importance qu'une insulte verbale. De plus le seigneur Charles venait de lancer une sorte de défi, chose que ce même peuple relever sans jamais sourciller.

Le chef de meute aprés s'étre fait apellé "Dame" chose qu'elle acceptait peu tenant à son titre de seigneur au masculin avait décidé de prendre sur elle même. Et voici qu'une louveteau tous juste sorti de sous sa mère venait l'insulté en montrant ses petits crocs tous juste bon pour téter au sein. Sa vougue fusa et se pointat sur le jeune seigneur alors que son visage se contractait dans une expression de rage animal souligné par les peintures rituelles qu'elle portait sur le visage.

-GORHOM ORIALHZ !!! Pour les rares érudits versés dans l'art des langues des peuples Aevenspeers (et ils sont rare) le traduction de ce hurlement haineu fut une insulte relativement violente

En deux bond souples et vifs comme l'éclaire le chef de meute pris son élan, sautat pour finir la distance et armant sa vouge derrière elle l'abatit de toute la force procurée par ce mouvements sur le crane du seigneur.Le coup porté aurait sans aucun doute était capable de trancher le plus dur des granit en deux et la réputation de guerrière de la jeune femme n'était plus à faire dans les montagnes d'Aevenspir.

Ceci dit tous aussi rapide qu'elle quatres personnes en manteau sombre, la capuche sur la tête qui se tenait derrière elle jusqu'a présent s'était élancés, et alors que deux d'entre eux bloqués la lame meurtière avec leur propre vouge, les deux autre d'un violent coup de manche envoyèrent la guerrière au sol loin en arrière du seigneur. Aprés quoi s'aprochant d'elle ils l'aidèrent à se relever.

La rage de Loïss résumait plutot bien l'avis général des Aeven, seulement fallait-il peut-être un peu plus de diplomatie dans une affaire concernant l'étranger. Néanmoins elle reprit la parole car elle voulait préciser certaines choses, c'est donc sur un ton qui se voulait rassurant qu'elle déclara :

Seigneurs d'Empersiste, nous n'avons jamais apprécié l'arrogance de Charles comme une action assentit par le reste de votre communauté. Si il ne s'était pas excusé, ou si nous avons quoi que ce soit à lui reprocher par la suite, seule sa cité ainsi que ceux la protégeant subiront notre courroux. Cette affaire,si Charles comprends son acte, n'entacherat pas nos relations diplomatiques, soyez en assurés.

Après longue réflexion, Charles s'avança de nouveaux vers ceux qui l'accusait d'espionnage :

-Je me rends coupable de tous mes actes, donc de tentatives d'espionnage sur vos villes.
Dans mon ignorance, je n'ai point consulté mon intendant pour savoir si oui ou non, je pouvais venir sur vos terres.
Je fais donc appel à votre clémence, et demande Pardon.

A ses paroles, il se mit à genou, tête baissé, en attendant son châtiment, si tel est, son prix à payer...

Uzald fut heureu de voire la reaction très digne du sieur Charles. Il s'approcha de lui.

Releve-toi! Tes paroles sont suffisantes. Ils ne te feront pas de mal.

Uzald prit les epaules du jeune sieur et le releva.

Le vieux silva tapota de sa canne le sol et prit la parole en affichant un sourire ironique:

Comment! Qu'aprends je?
Un seigneur empersois s'excuse d'avoir traité ce peuple d'orgueilleux. Quelle douce plaisanterie!
Les loups d'Aevenspir seraient ils devenus des moutons pour ne point afficher leur orgueil comme une de leurs prérogatives.
Ah mon cher charles sans le vouloir, vous venez de leur faire le plus beau des compliments et en vous excusant de nous rabaisser.

Le sourire éclatant du vieux silva enlevait toute gravité à ses paroles et c'est d'un ton léger qu'il reprit:

La prochaine fois faites vous tuer sur place en combattant, c'est le seul langage qu'ils comprennent et ils commenceront peut être à vous respecter.

L'intendant d'Empersiste pris la parole :

Sieur Silva ! veuillez faire preuve d'un peu plus de diplomatie avec nos amis des montagnes. Amis Aevenspeer sachez que cet acte fut condamner dès que j'en connu l'existance, je me suis expliquer avec l'Ewsper Zoog et je pense que les excuse que nous lui avons faite, et a travers lui a tout l'Aevenspir sont suffisante.
L'erreur de Charles a été reconnue j'espere que vous comprendrez et calmerez vos esprit pour que la bonne entente demeure entre nos deux contrée.

n'ayez crainte sire Ezald, nous ne saurions ecouter les elucubrations d'un personnage secondaire du rang de silva. Les ânes sont sans intérets pour nous

puis s'approcha de Charles et l'aida a se relever

mon cher jeune ami, une simple excuse aurai suffit, nous ne sommes pas si mechants qu'on vous le fait croire, juste des gens d'honneurs
j'apprecie votre geste, et je crois que je ne suis pas le seul de mes compatriotes à le penser

"Une réponse à ma missive aurait été elle aussi bien vue, et peut être aurait elle arrangé cela bien avant. lacha t'il, d'un ton bourru.

Mais enfin, vous n'avez pas l'air bien mechant, et en tout cas, vous ne vous en donnez pas l'air, pas comme ce vieux Silva, qui, malgré son grand âge, tente de jouer à plus méchant et dangereus qu'il ne l'est. bref.

Mais rappelez vous ceci messire Charles, si un jour vous avez besoin d'une défense rapide et efficace, ou si vous voulez encore visiter quelque contrée sans pour autant que cela ne se finisse ici, pensez aux mercenaires..."

- Certes, vous avez mandé notre pardon de façon plus que suffisante à clore le différent que nous avons pu avoir... Oublions donc tout cela, seigneur Charles d'Empersiste.

Puis, amusé par la verve de Silva, il lui asséna
Quant à vous, seigneur Silva, probablement l'orgueil vous sied-il si bien que vous voulez le voir partout ailleurs. Seul un aevenspeer peut juger son pays, certainement pas un étranger. Toujours est-il que les "loups pleins d'orgueil qui ne connaissent que la force des armes" ne releveront pas vos dires, ne fut-ce que pour vous donner tort.