[Elderine] L'heure de la vengeance

Serul l'avait prédit. Il est dans la nature des hommes de trahir et de renier, par goût du pouvoir, du stupre, ou de la luxure. Thane le sait, et guette dans l'ombre les âmes faibles et les coeurs cupides. L'enseignement karéen apprend à nous protéger contre le mal. Or, il acceptèrent le mal, sans résistance aucune, sans protestation. Par goût du pouvoir, par la peur de perdre leurs privilèges, par l'avidité aveugle. Thane a corrompu leurs âmes, car la foi en Erelian ne les protégeaient pas. Les traîtres ont bafoué leur nom, leur religion, leur royaume... Pourquoi ? Kara, Erelian, Erus, Serul, This, Ris, Xiones... Tous ne sont devenus que de belles paroles à leur yeux. Il est temps que celà cesse. Si les Prism actuels sont devenus décadents, et s'ils ne peuvent remplir leurs fonctions, alors qu'ils soient remplacés par d'autres Prism plus méritants. Si les Prism ont pactisé avec les Akspel, ces barbares venu du Nord, qui ont détruit le Haut Temple de Kara d'Elderine, qui nous ont privé de notre souveraineté, qui ont placé notre peuple sous un état de quasi domination durant deux siècles... Alors qu'ils soient châtiés. La traîtrise et la félonnie sont des ennemis du chevalier, qu'il les combattent. Or, ils sont traîtres et félons, qu'ils soient alors combattus. Kandrasie ne pourra se relever que lorsque la moindre once d'influence Arkspel aura été anéanti. Que lorsque les Prism ayant pactisé avec cet ennemi du royaume auront été châtiés. Alors, et alors seulement, Kandrasie, libérée du poids de sa propre honte, pourra et devra se relever. Son blason sera redoré, son honneur, restauré.



Elderine, Hiver de l'an 369 du calendrier Retrane.
Le froid mordant de l'hiver s'abattait par violentes rafales sur la capitale, et la neige couvrait toits et cours pavés. Seul les traces de quelques marcheurs ou cavaliers venaient briser ce voile blanc. La cité, blottie à flanc du Quel'Tan, regardait couler les eaux froides du Kandraque et tomber la neige. L'hiver était synonime de peu d'activité à Elderine. D'abord par raison religieuse, car l'hiver est la saison de Thane, celle ou le mal vous prend et vous emporte du jour au lendemain. Puis aussi à cause du climat, car Elderine se trouve à flanc de montagne, et connait de fait la rigueur des climats montagnards. De l'activité néanmoins le palais royal en était remplit, ce matin là. Cette journée se devait d'être gravée dans les annales du royaume, en bien ou en mal, le futur en déciderait. Pour le moment, le temps était à la prise de décision... et à l'action.

- Galtan, fait mander les messagers de la cité. Je veux qu'une centaine soient tous prêts à partir dans l'heure.
- Mais, Monseigneur, comment voulez vous que je trouve autant de messagers en si peu de temps ? Et les faire sortir par ce temps ? Par This, ce n'est pas pensable !
- Dans une heure, Galtan. Et par Erelian ils accompliront leur mission. This veillera sur eux. Il est le gardien des messagers et des voyageurs, non ?
- Oui, mais...
- Alors c'est entendu. Vous pouvez disposer, Galtan.

Le majordome quitta les lieux en bougonnant. Alanor prit alors du papier et une plume, qu'il trempa dans une petite fiole d'encre noire, et se mit à écrire.

Citation :

"Par ma présente autorité, moi, l'Intendant Alanor Calaman de Kandrasie, convoque à la cour du palais royal d'Elderine le représentant de chaque lignée de Prism du royaume pour une réunion de la plus haute importance. La présence de tous est requise dans les plus brefs délais. L'absence d'une des lignée entrainerait son incapacité à défendre ses droits."

Il se saisit alors de son cachet et d'une bougie de cire qu'il passa quelques instants sous une flamme, puis apposa le sceau des Intendants en bas de la missive. L'Intendant appela alors Galtan, qui revint quelques minutes plus tard.

- Monseigneur, les messagers sont en train de se préparer.
- Bien. Voici la missive à faire parvenir à chaque famille de Prism de Kandrasie. Faites autant de copies que nécessaire, et envoyez les messagers. Je veux que tous soient partis avant midi.
- Bien mon Intendant.

Galtan s'inclina une nouvelle fois et sortit transmettre les ordres.
D'ici à quelques semaines, commencerait la sauvegarde du royaume.

Le courrier arriva à la Marche d'Erelian à la tombée de la nuit. La neige tombait fort dehors et le froid mordant faisait greloter les sentinelles sur les remparts.
Il fut accueillit de suite par un officier de garde et on lui désigna ses appartements. La missive fut apportée de suite au nouveau seigneur de la Marche, Dame Sarah.

On frappa à la porte et une femme de compagnie entra en même temps qu'un officier Fiera Erelian. Dans la pièce chauffée par un bon feu de cheminée, se trouvait Sarah avec une vieille femme avec qui elle conversait. C'était Marthe, celle qui fut sa nourrice et qui était devenue une confidente et une amie.

L'officier fit une courbette
"Ma Dame, un pli venant d'Elderine"

Sarah ouvrit l'enveloppe rapidement.

"Tiens, tiens, l'intendant demande à toutes les familles de venir le rejoindre afin de savoir qui a collaboré durant la prise de pouvoir des Arkspel. Parfait, je n'ai jamais vu cet homme mais mon père m'en avait souvent parlé, il avait confiance en lui et je me doit de répondre à sa demande."

"Ma Dame, vous ne devriez pas y aller, le chemin sera rude en hiver. Ce n'est pas convenable pour une dame de faire ce chemin avec le froid qu'il fait"

"Suffit Marthe, je ne suis plus une gamine. De plus l'intendant ne me connaît pas et il voudra peut être connaître la fille de son ancien Ambassadeur afin de savoir s'il a suffisamment confiance pour me laisser ce titre. De plus, mon grand père était en bons termes avec Aectelion, je devrais très certainement répondre de ceci."

Se tournant vers l'officier :

"Capitaine, avertissez les nobles ils viendront avec moi demain matin. Je prendrais une compagnie de lanciers avec moi."

"Bien ma Dame"

Au petit matin une colonne de cavaliers sortit de la Marche d'Erelian au trot. Le soleil pointait à l'horizon lorsqu'ils partirent en direction d'Elderine.

Un messager arriva en vue de la ville de Tyrean, et il vue un flot continue de caravane bourré de marchandise provenant de la forèt et des mines. Les forges crachais cendre et braise tandis que les coups de hache tailladant le bois résonnais dans la plaine, malgré le froid et le rude hiver la cité de Tyrean semblais en pleine activité, et les maisons en construction ce comptais par dizaine. Le messager arriva enfin à l'entré de la cité et fue acceuilli par des milliciens, puis fue conduit au seigneur Hakin qui étais en train d'étudier des plans de construction sur de grand parchemin

Un millicien arriva.

"Seigneur ! Un messager venant D'Elderine vous porte un message de sont seigneur!"

Le seigneur Hakin très concentré sur sont travail ne levant point la tète

"Vous savez que je deteste ètre dérranger quand je travail......"

Un long silence fue, puis le seigneur hakin leva enfin la tète

"Bon, ou est t'il ce messager ?"

Le messager donna a Hakin le message de sont seigneur, puis après l'avoir lue et compris plus amplement la situation

"Alors comme sa le seigneur Alanor Calmanan désire réunir tout les seigneurs de kandrasie ? Bien qu'il en soit ainsi allons voir de quoi cela retourne....

S"adressant à un homme qui semble ètre sont serviteur personel
"Edgard veillez à ce que ces parchemins soit ranger, fait appeller Sven au plus vite et faite moi quérir un messager!"

Un chevalier apparue dans la pièce

"Sven je part demain à l'aube pour Elderine et j'aimerai que tu viennes avec moi, je donnerais les intructions de régance au contremaitre, il semble que notre présence soit indispensable"

"Bien Hakin, Je viendrai....."

"Fait préparer nos chevaux ! Envoyer un méssager à Elderine dit leurs que nous arrivons!"

Sur ces mots, et sur les quelques lignes gribouillier à la va vite, le seigneur hakin laissa la ville de Tyrean sous la régance de sont plus fidèle serviteur, et ce mit en route à l'aube"

La prêtresse Sonia reçu la lettre du messager, elle la lut et s'empressa de l'apporter à son mari Gwalith qui la lût immédiatement. Il s'en étonna.

"-Ca alors! Notre intendant ne semble pas près à oublier les Arkspel. Cela semble tout de même très important, il faudra que vous veniez avec moi. Vous faites désormais partie de notre famille."

-Il est vrai que j'aurais préféré un conseil sur l'avenir du gouvernement et de la Kandrasie."

Son mari répondit avec humour.

"-Et surtout sur la durée de son mandat."

Dame Sonia sortît et fît appeller les conseillers pour préparer au plus vite leurs départs.

Le seigneur Aratrith se trouvait dans son bureau lorsque son fils âgé de 8 ans rentra dans ses appartements privés une lettre à la main, lettre que lui avait remis un messager aux portes de la citadelle. Le garçon, Traslan, avait a tout pris envie de se faire remarquer par son père et voulait lui montrer qu'il était aussi utile !

Le seigneur Aratrith lut le message. Il avait l'air embêté...

"-Soit si je dois aller à Elderine, j'irai à Elderine ! Traslan, va chercher ma garde et mes généraux présent au château, nous partons demain. Tu prendras soin de ta mère pendant mon absence, dans 3 mois elle accouchera. Tu veux bien un petit frère non ?"

Il lui donna un baiser.

Hakin, Sven et leurs suivant avançais dans les plaines de kandrasie ou la nature commençais à reprendre ces droits après le rude hiver. Les 10 hommes à cheval galopais en direction de la ville d'Elderine ou le Seigneur Alanor avait fait quémander le Seigneur Hakin. La troupe continuait sont périple quand ils arrivèrent en vue de la cité d'Elderine.

"Voici la cité d'Elderine Sir !"

"Bien nous voila enfin arrivé. Ce voyage n'étais pas de tout repos, approchons nous de la cité nous verons quel accueil réserve la coutume Kandrasiene."



Ils arrivèrent au porte de la cité, un des cavaliers allat annoncé l'arrivé de son seigneur au sentinelle qui gardais la cité

"Le seigneur Hakin à répondue à l'appelle du Sir Alanor, veuilliez je vous prie annoncé à votre seigneur l'arrivé du Sir Hakin !"

Le cavalier revint ver la troupe

"Sir !Vous ètes annoncé au Seigneur Alanor!"

"Bien bien. Il me faut un volontaire pour aller annoncé mon arrivé à Elderine à Edgard, et pour transmettre les quelques information transcrite sur ce parchemin. Les autres vous resterez à l'extérieur de la ville, monté un camp et préparer vous à partir à chaque instant, le retour pourrai ètre plus rapide que prévue. Nous n'irons que tout les deux Sven, Je n'aime pas vraiment les attroupements lors des réunions. Dispersez vous maintenant !

Un cavalier parti au galop en direction de la ville de Tyrean, pendant que les 7 autres allèrent monté un camp à proximité de la cité. Le sir Hakin accompagner de Sven allèrent en direction de la cité pour voir quels étais les réels motivation de l'appelle du seigneur Alanor

Une purge sera nécessaire. Thane a trop profondément assit sa terrible volonté sur la plupart des Prism, et je ne peux laisser le Royaume entre les griffes du Déchu. Les saints préceptes des Dieux Fondateurs ont été oubliés… ou reniés. Les Prism ont montré leurs faiblesses, et il en sera prit compte. Le Conseil des Intendants a montré son inefficacité durant ces siècles, et doit être remplacé. Le Conseil étant désuet et les Prism démis, seuls restent le prestigieux ordre des Fiera Erelian, pour rétablir l’ordre, et la vraie foi, la vraie âme de Kandrasie. A la fin de cette semaine, un nouveau Conseil verra le jour et remplacera l’ancien. Le Conseil de l’Ordre dirigera le royaume. Et désormais, de par sa poigne sacrée, l’ombre n’aura plus de prises en ces terres… et Kandrasie renaîtra. Le Conseil de l’Ordre siègera, et cela, jusqu’au retour de la Reine, celle qui fonda notre ordre, pour la sauvegarde du Royaume. De par son ordre et par son sang, nous assumerons la régence, par Erelian et par tous les dieux, que le serment soit fait maintenant.



Elderine, veille du jour J.
Cela fait désormais une semaine que les portes de la capitale s’ouvrent continuellement pour laisser place aux Prism et autres Seigneurs du royaume. Tous ou presque ont répondu à l’appel, réveillant la curiosité des Reism et des Trism, entraînant de fait l’animation dans la cité. Le Palais, lui aussi, n’est pas en reste. Ces nouveaux visiteurs arrivés, peu de pièces restent encore inanimées. Etrangement, la garde a été doublée, puis triplée, en quelques jours.
On assigna à chaque Prism une suite, en attente de la convocation d’Alanor pour l’ouverture de la conférence. Durant ce temps, les invités peuvent se promener à leur guise dans le palais et ses parcs. Etrangement, la sortie du Palais Royal leur est refusée, tout comme l’accès à la cour de la Reine. La journée s’écoule lentement, puis cède sa place à la nuit. Le palais, illuminé, reste en activité. Aucune nouvelle de l’Intendant, aucune invitation à une réunion. Chaque Prism reçoit son repas dans ses appartements, apportés par des valets. Fin du jour.

Le lendemain, une heure avant le levé de Soleil, on frappe aux portes.

- Prism, par ordre du Seigneur Intendant Alanor Calmanan, vous devez vous rendre à la cour de la Reine dans une heure précise.

Gwalith, sa femme Sonia, deux prêtres de Serul formaient la maisonnée Gwalith.

Passés sous la l'imposante porte de la cité, ils pouvaient admirer le palais d'Elderine surplombant la cité et illuminé de mille feux par le soleil couchant. Ils en étaient presque éblouis, ils fûrent conduits à leurs appartement par une imposante garde de Fiera Erelian.
Ils soufflèrent un peu et décidèrent d'aller visiter les temples de la cité.

Plusieurs temples étaient en reconstruction, comme une bonne partie de la cité. Ils s'arrétèrent devant le Temple de Serul, la nuit était était tombé mais ils pouvaient voir une inscription sous les colonnes de la massive porte en chêne.

"Li Serion adaraê Atales ures aô'Aer Serul*"

Ils entrèrent, cela ressemblait à une immense bibliothèque, les parchemins et livres n'en finissaient pas et semblaient tapisser les murs. Un grand dôme permettait de voir les étoiles et beaucoup de prêtres s'activaient en dessous de celui-ci. Ils restèrent de longues minutes fascinés et se décidèrent à rentrer à leurs appartements en s'arrachant à leur contemplation.

Au lever un serviteur les requis dans une heure précise à la cour de la Reine. Le couple se prépara de la couleur de Serul et se dirigea calmement main dans la main vers la cour.

*Le savoir est immortel tel notre dieu Serul.

Tôt le matin, bien avant le levé du jour, l’Intendant Calmanan se trouvait debout, éveillé, dans sa chambre. Il semblait regarder par la fenêtre, la nuitée de la cité. Elle semblait habiller la capitale de son rideau sombre. Lui-même s’habilla promptement. Cette journée ne serait jamais assez longue pour ce qu’ils devaient entreprendre. En ce jour solennel une page de l’histoire Kandrasienne allait être écrite. Ses ordres de la veille étaient clairs. Le palais devait être fermé une heure après minuit, et la tout garde en arme et prêt à être appelé. Tandis qu’il semblait répéter pour lui-même quelques phrases en Kandras, il enfila une tenue d’un bleu de nuit, chaussa de solides bottes de cuir et tourna la tête vers la porte. Celle-ci s’ouvrit quelques secondes plus tard, laissant entrer deux solides hommes en armure. Ils se saisirent du plastron qui siégeait sur son présentoir dans la chambre, et le firent enfiler à l’Intendant. Enfin, ils se mirent au garde à vous devant la porte. L’Intendant sortit alors de la chambre, et se dirigea vers la Cour de la Reine, les deux soldats sur les talons.

Les lourdes portes de bois sculpté s’ouvrirent devant lui, et il pénétra dans l’immense salle. Il s’agissait du cœur du Palais Royal, et il n’avait que très peu servit. En effet, il était de mise que les Intendants usèrent de la salle du trône intendanciel, qui fut bâtit plus tard, et qui n’était en aucun cas d’égal mesure à la splendeur de la cour royale. Alanor faisait une entorse au serment des Intendants en l’ouvrant avant le retour de la Reine, mais qu’importe ? Il avait quelque chose d’important à faire, et ce lieu symbolisait parfaitement le pouvoir de la Kandrasie : grand et remarquable. Il passa le long couloir de colonnes de marbre blanc et déboucha au cœur de la pièce. Sphérique, elle était occupée par de nombreux bancs de bois. Il continua encore, et arriva au fond de la pièce, ou se dressait deux trônes d’ademine et d’eria sculptés. Alanor s’arrêta devant le trône de droite, et donna quelques ordres aux Fiera Erelian présents.

Adiarâ obten. Qelen, eq corioe in adiarân. Serâs enerer prism.*

Le capitaine salua l’Intendant puis partit transmettre les ordres. Quelques minutes plus tard, les Fiera Erelian prennaient position dans la cour, et formaient une ligne de chaque côté de la pièce, le long des colonnes de marbre. Il y en eut aussi entre la pièce sphérique et les trônes. Tous étaient équipés de grands pavois et de hallebardes. Un fois que tous les Prism furent entrés, trois Fiera Erelian se mirent entre eux et la sortie, leur interdisant tout retour en arrière.


*Il est l'heure. Capitaine, que nos frères soient prêts. Faites entrer les prism.

Sarah s'avanca lentement vers l'intendant et fit une révérence.

"Mes respects Intendant, je suis Sarah, fille de votre ancien Ambassadeur Colwyn 2e du nom. Depuis l'accident de chasse qui m'a privé de mon père et de mon frère, j'ai pris la succession de mon père dans la Marche d'Erelian.
Vous pouvez compter sur moi pour défendre notre beau pays comme l'aurait fait j'en suis sûr mon père.
Je suis à vos ordres Intendant.

Cependant que craignez vous en postant des chevaliers devant la porte ? Nous sommes je pense entre Kandrasiens et donc entre hommes et femmes d'honneur. Nous n'allons pas fuir comme des voleurs ? Nous ne sommes pas comme ces chiens de Graméens ou Aevenspeers, qu'Erelian nous en préserve."

Sur ces mots elle se recula un peu et regarda les autres Prism ainsi que les Fiera Erelian qui gardaient la porte d'entrée.

La troupe de kalaedimila savait parfaitement qu'il etait en retard et que leur arrivé serait forcément remarqué et ne ferai point bonne impression face au reste de la kandrasie mais qu'importe, kalaedimila avait beaucoup de chose à faire dans sa cité naissante pour redresser l'odre de l'épée sainte qui s'etait eteint sous le regne des impures ces dernieres decénnies.
Kalaedmilia entra donc dans la cité blanche, elle etait resplendissante et encore plus que cela, meme ses souvenirs d'enfance ne la représenté pas aussi belle.Il penetra donc avec sa troupe, leurs armures imposantes et d'un bleu magnifique ne passait pas inaperçuent.
D'un pas hatant pour ne pas penetrer dans la cour trop tardivement, kalaedimila du s'arreter brusquement car des fiera bloqué l'accées a la cour de la reine, il pu y voir de loin, la fille de colwyn ,sarah qui se présenté alors a l'intendant

- Garde laisse moi passé je suis venu pour la reunion kandrasienne avec quelque retard du à la distance de ma cité par raport à Elderine, l'hivers nous à barré la route, mais desormais nous sommes présent. Je represente la cité de l'épe sainte de kandrasie et je suis le seigneur kalaedimila, tu peut aller m'annoncé à l'intendant calmanan, je suis enfin arrivé!

Le garde dévisagea celui qui venait d'ouvrir la grande porte de la cour. Il barra lui ostensiblement le passage de sa hallebarde, et fut imité de près par un de ses compagnons, le dernier se contenant de le regarder avec suspicion.

- L’accès à la cour est fermé, vous ne pouvez pas entrer.

Puis l’arrivant s’annonça. Les Fiera échangèrent des regards suivis de quelques mots à voix basse, puis levèrent leurs hallebardes. Ils restèrent tout aussi stoïques, resplendissants dans leurs armures d’Eria surmontés de tissu couleur bleu nuit.

- Vous pouvez entrer, seigneur, mais vos hommes resteront dehors, par ordre de l’Intendant. Prenez place aux bancs, le seigneur Calmanan saura que vous êtes arrivé.

Ils refermèrent la porte au nez des hommes de Kalaedimila sans autres mots. A l’intérieur de la cour, on commençait à s’agiter. La présence de tant d’hommes armés semblait rendre les Prism … Tendus. L’air était lourd et la plupart commençaient à dévisager les gardes avec crainte. Comme convenu, tous les représentants des Prism de Kandrasie – ou presque tous – s’étaient rendu à la capitale. On pouvait donc voir le représentant de la grande lignée de Ris, celui des PeyreSombre, des Elitan, de Darim, d’Arrast, de Mithlond, et bien sur ceux de Thosal et d’Elrath, de Tyrean et de la cité sainte, de la Marche d’Erelian et encore bien d’autres… petits ou grands, que la scène politique internationale n’intéressait que peu ou pas. Au total, pas moins de onze familles régnant sur onze cités différentes, sans compter celles de moins grandes ou importantes, que la scène politique internationale n’intéressait que peu ou pas. La plupart se trouvaient debout, dans la salle sphérique, a attendre et se demander le pourquoi de cette réunion, ou tout simplement de tenter de se le nier.

Dame Sarah de la Marche s’adressa à l’Intendant Calmanan, qui la regarda calmement, découvrant la beauté de son nouveau sujet. Puis, lorsqu’elle lui affirma qu’ils se trouvaient en noble compagnie, son visage se raidit et il regarda par-dessus l’épaule de la représentante.

- Non, nous ne sommes pas en noble compagnie. Regagnez votre place, le procès va bientôt commencer…

Alanor alla lui-même s’asseoir, dans un vaste siège de belte sculpté amené pour l’occasion, et placé devant les trônes. Puis, il fit un signe de la main au capitaine présent près de lui. Celui-ci acquiesça d’un signe de la tête, puis se retourna vers les Prism.

- Silence ! Que tous prennent place, l’Intendant va parler ! Hurla-t-il.

Kalaedimila alla donc s'asseoir mais juste avant que la porte ne se referme, il dit d'un ton ferme a ses hommes,

- Vous pouvez repartir à la cité et continuer l'élèvement de notre ordre, je pense que je serai de retour dans une ou deux saisons maximum!
Bonne chance paladins que kara vous protege jusqu'au retour à la cité.


Puis il alla prendre siege devant l'intendant qui allait parler...

Hakin perdu à révasser dans les jardins du palais fue appellé par Sven qui n'avait lui pas oublié la réunion qui se tenais actuelement dans la salle sphérique. Et c'est donc épris d'un retard certain que les deux hommes coururent dans leurs apartement, l'un pour ce changer, afin de revétir une tenu plus adequat à la situation, et l'autre pour accompagné un certain rèveur, qui par la lueur d'un soleil d'hiver fue pris d'admiration pour la nature environante.

Hakin pris la parole

"Je suis en retard....Sa ne changera jamais, suis-je maudit ?"

"Je ne pense pas, cela est surement due au faite que vous oubliez vite certaine chose"

"HHuummmm, soit, passons..... As-tu trouvé la personne que je cherchais ?"

"Oui sir."

"Et le message est t'il parti ?"

"Effectivement Sir.."

"Bien, bien....."

On pue lire dans le regard D'Hakin une certaine lueur non dénué d'interetLes deux hommes un fois près, partir pour la salle du conseil en toute hate. Ils arrivèrent enfin dans la salle du conseil ou leur arrivé ne pue vraiment pas passer inaperçue......

Hakin ouvrit la porte et vu les hommes qui était sencé la garder de l'interieur, puis sont regard ce tourna ver l'assembler,il baisse la tète fixa un bref instant le sol puis pris une grand bouffé d'air et commença à parler


"Seigneur Alanor ! Chez prism ici présent, et à toute l'assembler je tien à vous présenter mes plus sincères excuse, je fue retenu pour on ne sait quels affaire, mais qu'importe je suis ici désormais."

Il s'avança, en regardant les membres de l'assistance

"Mes dames, Mesieurs. Je me présente Hakin de Tyrean pour ceu qui ne me connaisse pas. Je revient en kandrasie après de nombreuses années d'absence qui remonte à l'age ou j'apprenais à me tenir debout, et j'ai pue voir que la kandrasie n'a pas perdu sa fierter d'antan, la mème fierter que mon père me contais avant d'eteindre les lumières. C'est un privilège pour moi d'ètre parmit vous aujourd'huit, et j'espère pouvoir apporter ma contribution au renouvau de la Kandrasie. Merci à vous tous."

Hakin et sven allèrent s'assoire le plus discrètement possible

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Edit-Warzar : Merci de faire attention à l'orthographe. Un texte bien écrit est tout de même plus agréable à lire qu'un texte rempli de fautes.

La famille Aratrith fit son entrée au grand conseil. Elle était représentée par le seigneur Aratrith et son cousin le duc Tyried de Remilgon. Ils firent une entrée discrète car ils se savaient en retard. Ils étaient arrivé en pleine nuit et s'étaient attardés en haut des grands remparts de la cité admirant ses simples ruelles illuminées. Ils avaient attendu le levé du jour pour faire leur entrée.

Deux hommes venaient de rentrer dans la cour de la Reine. Tout deux étaient en retard, et cela fut très largement remarqué. Alanor semblait irrité par ces deux hommes, surtout par le premier, qui sembla totalement à côté de ses chausses. Reconstruire la Kandrasie, ici et maintenant ? Il était bien question de reconstruction, mais pas avec ces gens. Ces paroles eurent néanmoins un effet sur les Prism, puisque bon nombre de soufflements de satisfactions s’élevèrent dans la salle. Croyaient ils seulement un instant que l’Intendant aurait oublié leurs nombreux péchés ? Les sots. Certains mots abattirent totalement Alanor, qui se retint donner l’ordre d’envoyer au piloris le seigneur de Tyrean. « La Kandrasie n’a pas perdu sa fierté d’antan » ? Prononcé ici, devant tous ces traîtres ? Mais ou était il, pas Kara, durant toutes ces années ? N’était il même pas au courant des souffrances de son peuple. Ses mains se crispèrent sur son siège, mais il ne dit rien. Le capitaine se pencha vers l’Intendant.

- Kaerâb eq boltroâo, prism ?
- Thur. Adiarâe ythe inserion’Gahirâe cayad hir.*



Puis le second. Celui la plus discret. Il prit rapidement place parmi les autres, et l’Intendant ne fit pas attention à qui il était. Tous étaient là, cette fois. Les autres possibles retardataires seraient refoulés par les gardes, cette fois. Plus personne ne rentrerait ni ne sortirait… Avant qu’il ne l’ai décidé. Il fit un signe de la tête à son capitaine qui glissa quelques mots à l’oreille de ses hommes, et l’ordre circula parmi eux. Les hommes se tinrent alors bien droit, les hallebardes levées. Une haie de lame se dressait désormais devant la porte. Puis il attendit le silence, et se leva. Il attendit d’être bien vu de tous, et commença son discours.

- Prism, si je vous ai tous réuni ici, c’est que j’ai une bonne raison. Une raison qui me tiens à cœur, ainsi qu’à tout le royaume. Savez-vous qu’elle est cette raison ? Elle doit être de taille, pensez vous ; une réunion de tous les Prism du royaume n’avait presque été jamais faite depuis les âges glorieux. Pourquoi, donc ? L’ignorez vous donc ? Cherchez au fond de votre cœur, s’il n’est pas déjà ternit, ou dans votre âme, si Thane de l’a pas toujours pas asservit. Oui, vous savez pourquoi vous êtes tous ici, je le vois dans vos yeux. Vous n’avez que trop longtemps échappé au Courroux d’Erelian, traîtres au royaume que vous êtes. Depuis trop longtemps, vous bafouez nos valeurs pour votre gloire et votre pouvoir personnel. Qui d’entre vous s’est opposé aux envahisseurs du nord, qui ?

Il marqua une pause et regarda les Prism devant lui. Certains s’étaient levés, d’autres criaient au blasphème, à l’injustice et à l’abus de pouvoir. Alanor fit un geste en direction de son capitaine. Des Fiera Erelian sortirent alors de derrière les grandes colonnes et dégainèrent leurs épées scintillantes. Ils formèrent rapidement un cercle autour des Prism affolés. L’un d’eux s’adressa alors directement à l’Intendant.

- De quel droit osez vous faire menacer par vos gorilles, Calmanan ? C’est une grave insulte à la maison de Ris, et cela vous coûtera très cher !

Alanor sourit. Il posa la main sur la garde son épée, et répondit.

- Représentant de Yoderis, que de menaces, que de menaces. Que comptez vous donc faire ? Un blocus sur Elderine ? Vous êtes un homme fini. Durant tout le règne des Istria en Kandrasie, vous vous êtes enrichis et engraissés, profitant du monopole commercial que vous apportiez Yoderis et l’héritage de votre glorieuse lignée. Honte à vous ! Car vous salissez l’honneur de vos aïeux, eux qui furent parmi les plus fiers et honorables des chevaliers Kandrasiens. Mais patience… Votre jugement viendra bien assez tôt.
- Notre jugement ?

Il bafouilla ces mots pour lui-même et l’Intendant reprit.

- Votre jugement. Si je vous ai réunis ici, c’est pour mettre un terme à la souillure Arkspel, qui a infesté le royaume jusqu’à sa racine ; jusqu’à ces Prism. Peu d’entre vous s’opposèrent à eux, et je ne peux que louer la famille de PeyreSombre, qui a toujours montré une nette opposition au régime. Que dire des autres ? Les maisons de Darim d’Arrast et Mithlond, s’opposèrent, mais faiblement. La lignée de Ris, de part son pouvoir, ne pouvait que collaborer avec l’ancien régime, tout comme l’a fait la Marche d’Erelian, par le passé…

Alanor croisa le regard de Dame Sarah à ces mots.

- Et nos autres nobles ? Les Elitan ? Vivant à Elderine, leur opposition aurait du être visible ! Mais quelle opposition ? Nombreuses sont les fois ou les Fiera Erelian entrevirent des membres de cette famille pactiser avec les oppresseurs. Et les autres ? La lignée de Thosal ? De la cité sainte ? D’Elrath ? De Tyrean ? Quant aux d’Istria… Ils seront les premiers.

A ces mots, le capitaine tendit à Alanor le lourd marteau d’Erelian.

- Par mon présent ordre, je retire à la famille d’Istria tout titre de noblesse Kandras, ainsi que ses terres, ses reism, et tout ses autres biens. Ils n’auront qu’un mois, à compter de ce jour, pour quitter Kandrasie. Tout acte de résistance et de désobéissance amènerait à une répression et à une annexion des biens matériels et immatériels par la force. La maison Elitan, elle, est désormais privée de tout pouvoir politique. Elle ne sera plus admise dans l’enceinte du Palais Royal, et ses terres se verront drastiquement réduites. De plus, elle payera le prix du sang, et chacun de ses fils portera le fardeau de la honte ! Représentant de la lignée de Ris, approchez !

Ledit homme ne voulut bouger, de peur. Il y fut contraint par quelques soldats, et mis à genou devant l’Intendant. Là, celui-ci se saisit du lourd marteau à deux mains, et le leva haut au dessus de sa tête. Puis il porta un coup unique. La tête de marteau rencontra sa cible dans un bruit de destruction, et quelques éclats de dalles volèrent. Alanor dégaina son épée et fit deux entailles sur le bras gauche de l’homme.

- Erelian t’accorde son pardon, Prism. Bénit le d’épargner ta triste vie.

Il rendit le marteau au capitaine.

- Votre monopole commercial est terminé. Désormais, il sera distribué entre plusieurs cités marchandes du royaume. En espérant que cela vous serve à rester dans le droit chemin. Retournez à votre place. Les maisons de Darim, de Mithlond et d’Arrast ! Je ne peux rien contre vous, mais vous redemande ici et maintenant d’affirmer votre serment d’allégeance à la Reine et au Royaume. Plus aucune traîtrise ne sera désormais tolérée. Quant à la maison de la Marche, que sa représentante s’avance ici et maintenant !


* Voulez-vous que nous le rossions en privé, seigneur ?
Non. Il est jeune, il ne comprend pas la gravité de ses dires.

Le Seigneur Gwalith de Thosal fût courroucé devant ce traitement infâme.

"Mais qu'est-ce que cette mascarade, pour qui vous prenez-vous pour nous infliger ce traitement et cette humiliation! Un simple serviteur des Fiera Erelian qui bafoue depuis plusieurs années la tradition du partage du pouvoir lors d'une régence. Un simple traître qui bafoue notre honneur, nous piège honteusement. Je ne veux pas entendre vos stupides justifications pour nous considérer comme des traîtres. Où est la puissance et la gloire d'antan, l'honneur... Pas la peine de nous impressioner avec vos gorilles, juger les traîtres et ensuite parlons enfin d'avenir..."

[HRP]J'aimerais bien qu'avant de répondre, on lise correctement. Ouais, je sais, j'ai ecris pour faire croire qu'Alanor le tuait. Mais merde, tu crois qu'après il parle à un mort ? Il a tapé à coté, il a suivit le rite de la justice d'Erelian et l'a gracié. Alors bon, be cool et revois tout ça, hein.[HRP]

Hakin regarda un instant le seigneur Alanor de ses yeux empreint de rèverie, puis les doigts parcourant sont menton...

"Il est lucide. N'es-ce pas Sven ?"

"En effet il semble bien comprendre la situation."

"HHuummm, oui certe....Il est un peu fanatique sur les bords, mais au fond il me plait bien....Par contre cela ne doit pas ètre réciproque étant donné ce que j'ai dit tout à l'heure. Soit, qu'il en soit ainsi."

Hakin se leva et s'éxprima

"Votre rancoeur est légitime Sir Alanor. Néanmoin je vous prierais de ne point salir ma ligné....Si aucun seigneur de Tyrean n'a défendu la kandrasie c'est pour la bonne et simple raison qu'il n'y avait pas de seigneur à Tyrean...Mais aujourd'huit, rien n'est plus comme avant, Tyrean est reconstruite, et j'assumerai désormais la faute de mes ancètres, et je vous demande solanèlement de pardoner nos pèchés, et s'il existe un moyen d'expier nos fautes, ce serai avec honneur que je les expieraient, au nom de la Kandrasie. Je vous tend la main seigneur Alanor, voyer maintenant ce que vous comptez en faire...."

Hakin attendit la debout une réponse du Sir Alanor

L'Intendant, devant cette levée du sire Gwalith, repondit.

"Quel est donc le traître ici ? Celui qui applique la loi Kandrasienne, ou celui qui pactisa avec nos ennemis durant tant de temps ? Notez que je n'ai en rien attaqué les maisons de Thosal, Tyrean, d'Elrath ou de la cité Sainte. J'ai seulement posé une question. Mais si, seigneur, vous vous rangez aux côtés de ces impies, je ne puis plus rien pour vous. Je vous laisse quelques instants pour tenter de vous reprendre et songer à ce que vous venez de dire envers ma personne, sans quoi les conséquences risquent d'être facheuses pour vous. J'ai grande estime pour vous et le travail que vous avez fourni jusqu'à présent Gwalith. ne gâchez pas tout en prenant la défense de ceux qui ont embrassé la cause de Thane et ont trahis leurs frères par le passé ; ils n'en valent pas la peine.

Ce que je demande aux maisons que je viens de nommer, c'est une preuve d'allégeance à la Kandrasie, et non à moi. Rentrez vous celà dans le crâne, Gwalith, je ne suis pas votre seigneur ni votre Roi. Je suis le gardien de ces trônes, ceux que vous voyez derrière moi !"

Il les pointa alors du doigt.

"Je défends ses valeurs et je nous remets dans le droit chemin ! Si pour cela je dois expulser Thane de nos contrées, soyez en certains que je le ferai ! Erelian m'a donné la force de le faire, et je ne laisserai pas notre royaume dans l'ombre."

"Je veux bien y réfléchir messire mais vous vous répétez souvent. C'est l'emprisonnement dans cette salle par vos gardes qui me dérange, nous ne sommes pas des barbares, nous sommes des Prism. Ils peuvent ranger leurs épées... Quelle utilisation du mot "vous" faites vous dans votre discours, nous ne sommes pas du bétail, ne nous mettez pas tous dans le même panier."

Le trés jeune Kalaedimila s'avançca alors

Representant et en tant que chef de la cité de l'épée sainte je tiens à signaler que moi et mes freres paladins n'etions pas encore nées puis à l'école pendant le regne de ces traitres , et nous avons trouvés les fonds nécessaire pour batir notre propre cité kandrasienne et retablir l'ordre l'ordre de l'épée sainte aprés la mort de Bectem qui avait perdu la tete!

En effet vous n'avez fait que de poser une question et j'y repond sur mon honneur qu'aucun acte d traitrise n'a jamais pu etre commis sous mon commandement et ne le sera jamais!
Je préféreré encore mourrir plutot que de trahir kara et notre kandrasie!

En revanche je trouve plutot cela amusant l'ambiance que vous avait imposé à cette salle, cela me procure une certaine adrénaline que je pourrai comparé à celle que j'ai ressenti sur les quelque champs de bataille que mon jeune age m'a permis d'y mettre le pieds!
J'adore cela, et je ne vois pas pourquoi un kandrasien qui n'a rien a ce reproché se sentirai-t-il menacé par cette ambiance... et puis nous devons tous mourrir un jour et je souhaite à vous tous comme à moi que cela se passe lors d'un combats loyal et avec tous l'honneur que nos ancetres ont pu nous transmettre!

Le seigneur Aratrith et son cousin le duc se tenait à l'écart mais bien entouré de gardes.

Aratrith s'avança :

"Modérez vos propos sir Calmanan ! Ma famille n'a rien à voir avec ses histoires. Je suis dans le même cas que le seigneur kalaedimila ici présent, je n'étais pas au pouvoir en ces temps sombres, et aucun membre de ma famille n'y était, ce n'est que par la persévérance et le travaille que je viens de me retrouvé à la tête de la magnifique cité d'Elrath."

Il se frayait un chemin vers le trône, et croisa le regards de son ami Gwalith qu'il salua.

"Je vous trouve bien agressif en ces lieux ! Dois-je vous rappeler où vous êtes ? Que dirait la reine face à tant de violence ? Vous voulez rebâtir la Kandrasie ? Très bien, alors commençons par oublier les problèmes d'antan, et lâchons nos épées. Le monde extérieur est hostile et nous ne sommes pas ici pour déclencher une guerre civile."

Il rejoignit le seigneur Gwalith et son épouse qui semblés songeur.