Tyrannia a attaqué en terre de l'ordre

Pierre de Sotile, lui, ne put s'empécher de rire.

Les confédérés ont abusé de votre faiblesse? Les Confédérés ne vous ont rien fait, ils ont tué votre père, mais c'etait plus que justifié.

Ne se ventait il pas d'être un des plus puissant du monde. Ne croyait t il pas en cassant l'Empire que c'etait le peilleur. Il se considérait comme invinscible, grand parleur, mais ce n'était rien, un petit seigneur qui ne valait rien et qui ne faisait que se venter.

Il se croyait plus fort que Zedar, et bien c'est son ami Nadrathen qui lui a fait ravaler sa langue.

Quand vous allez me dire qu'il faut respecter les morts et bien lui, je ne respecte pas. Il n'a rien pour être respecter.

"Dans ce cas ma chère, je n'ai perdu qu'une bataille et pas la guerre. Et ceux qui m'ont abusé c'est bien votre mère, Tyrania, qui a caché ses soldats dans mes villes pour pouvoir les nourrirs peut avant de les envoyés au suicide.

Je suis bien content qu'elle soit morte, et espère que vous la rejoindrez ainsi que vos parents.

Votre famille n'est pas mieux que les autres et aujourd'hui c'est a eux de perdre, il ssont pourris jusqu'a la moelle."

Dame lys,
je vous prie faites donc preuve de compassion pour notre jeune camarade, il est jeune. La vie se chargera bien assez tot de l'eduquer. Le voila maintenant sequan, il sera entoure par des hommes de grande valeur si ce n'est de grande morale qui sauront faire de lui un homme. Ce jeune homme a la tete emplie de haine, je ne le comprend que trops bien, le temps seul saura panser ses blessures, et vider sa tete de toute les villenies distille par son pere.

Quand a l'honneur des hommes, votre colere vous aveugle ma jeune amie, la parole donnee a plus de valeur que ce que vous pensez. Il serait peut etre temps que vous aussi fassiez le deuil de votre pere et que renaisse en vous la confiance dans le genre humain. Faites vous des amis et vous verrez que leur presence autours de vous sera plus solide que l'acier.

Ne voyez aucun mepris dans ces quelques conseils, juste la bienveillance d'un homme de coeur.

Quand a vous seigneur seth, evitez de faire des promesses que vous ne pourrez pas tenir. Ou arretez de nous parler d'honneur.

Lys s'approcha a grand pas de ce gamin mal elevé et le souleva d'un main et l'approcha de son visage

"Je te ferai ravaler ta langue et te tordre de douleur si tu oses encore une fois t'attaquer à des morts, ton père est-il mort trop tot pour t'avoir appris le respect? dans ce cas moi je te l'apprendrai et d'une maniere moins douce je pense...
Ce ne sont pas des menaces sur ton trone ou sur tes armées, je ne suis pas un homme, je n'ai pas besoin d'avoir des milliers d'hommes pour me sentir puissante, non c'est toi meme qui prendra si tu reparles comme ça, je ne suis pas aussi clémante que mon frère la prochaine fois....

elle sortit une de ces dague et la mit sous le nez du morveux

" Une coupure de ces dagues et tu es mort, il y a dessus un poison qui s'infiltre dans les veines jusqu'au coeur, et empeche celui ci de fonctionner, *. C'est par un arret cardiaque que tu iras rejoindre ton père la où il est, à moins que tu ne préféres des méthodes moins rapides, on m'en appris des dizaines et je peux te dire que ça fait mal crois moi"

Elle rengaigna et lacha le morveux qui tomba a terre, et parcourant de son doigt les cicatrices de son visage. Puis elle se tourna vers Turambar:
" De la compassion de la compassion, vous voudriez que je sois compatissante de ce morveux qui se crois grand, c'est bien mal me connaitre que de croire que je puisse eprouver de la compassion, ou du moins en eprouver pour des gens qui ne le meritent pas, personne n'a éprouvé de compassion ni meme de respect pour ma mère.

Je sais qu'elle a fait des erreurs dans la fin de sa vie Elle s'adressa a tout le monde et personne, pensant tout fort mais ne comprenez vous donc pas la souffrance, avez vous seulement imaginé ce qu'elle a pu pensé en se donnant la mort, dans quel souffrance elle est morte, je connais le poison qu'elle a bu, ce n'est pas une mort aussi douce que celle que je t'ai promis dit elle se tournant vers l'enfant oh non, des souffrances enormes autant physiques de morales, imaginez vous le malheur de perdre celui a qui on a donné sa vie, vous ne préoccupez que de vos guerres et vos soldats, vous qui etes si fort et sans failles, qui ne connaissaient d'autres sentiments que ceux qui viennent avec la victoire, meme les montagnes sont plus humaines que vous.
Ah pour sur que vous êtes grands et forts et imposants derrière vos milliers de soldats, a quoi cela vous sert-il? etes vous plus heureux de votre pouvoir? de ne pouvoir meme sortir de cette salle de peur de rater une guerre mondiale où il y a temps de mérite et de gloire à recolter, vous tueriez vos frères pour un peu que cela vous rende plus fort!

Elle cracha par terre

"Vous n'êtes qu'une bande de fous, passez un peu par quoi je... nous sommes passé mon frère et moi peut-être profiteriez vous de l'instant présent sans vous soucier de n'avoir que quelques dizaines de milliers d'hommes pour défendre votre noble vie! "

* : J'ai supprimé une partie un peu trop anachronique (on ne connaissait pas encore les alvéoles pulmonaires à l'époque, et un poison ne "détruit" pas, physiologiquement parlant, même le plus puissant du monde.

Je n'ai jamais parlez d'honneur sieur Turumbar, je souhaite juste laver le nom de ma famille de tout ceux qui crache leurs venin dessus. Et laver les traitrises faites a ma famille.

Je ne trouverais le repos que lorsse j'aurais couper quelques tête qui dépasse trop a mon gout de leurs place.

Seulement, mes adversaires ne peuvent pas trop en parler non plus, contre-espionnage, trahison, corruption. Mmmm c'est vrai ils ont bien plus d'honneur que moi.

Enfin, le combat continu.

Euh, je crois que vous parlez de moi... Et bien c'est vrai, j'ai éspionner votre père. Est ce que cela veut dire que je n'ai pas d'honneur. Je ne pense pas. Cela m'a plus amuser qu'autre chose. J'ai fait cela pour servir ma patrie.

"pris Ephyne de force?"
Oui , vous avez bel et bien prit Ephyne de force ...
Sauf que , chacunes de ces batailles avait ses propres raisons.
Trouvais vous légitime que demain j'aille attaqué Saigon qui n'a rien à voir dans cette histoire car un fou étant leur allié à attaqué mon territoire ?

Seigneur Seth,
vous voulez laver votre nom. Cela est tout a votre honneur. Mais vous n'y arriverez pas ainsi, pour l'instant force est de donner raison a dame lys, vous n'arriverez qu'a vous faire mepriser encore plus en agissant ainsi. Apprenez jeune seigneur que des paroles sans actes sont la signature des pleutre. Je vais neammoins vous donner un dernier conseil. Preparez vous en secret, faites croire que votre rancune est passe, endormez la confederation, amassez vos forces en secret, alors seulement vous pourrez chevaucher a la tete de vos armees, brandissant l'oriflamme de votre clan. Et a ce moment, la maison d'Hulrik sera reconnu dans toute sa gloire.

Quand a aider les seigneurs sequant dans leur projet d'asservissement de la confederation, je crains que la guerre ne soit finie avant que vous soyez pret.

Acceptez mes paroles comme etant celle du bon sens etvous aurez finalement votre revanche

Cirdan se leva et regarda Seth, dégouté.

Vous avez de la chance que nous soyons dans cette assemblée petite chose. Je crois que nous n'avons, ma soeur et moi, que trop supporté vos paroles haineuses envers nos parents qui ne vous ont rien fait, et qui ne sont pas responsable de la mort d'Hulrik.
Si vous ne voulez pas que je sois responsable de la votre, je vous conseille de ne plus JAMAIS manquer de respect à mes parents et ma lignée.

Je ne manques pas d'argne Seth et si vous me forcez à en venir aux mains, enfant ou pas, je laverais l'affront que vous venez de faire à mes parents. Puissiez vous mourrir lors d'un des hivers Sequane minable freluquet.

Je vois bien que mon rôle de précepteur n'aura servit à rien.

L'Empereur d'Ombos avance parmis les seigneurs deux hommes noirs en arme près de lui

Vous êtes pathétique Seth. Pensez-vous laver le nom de votre famille en insultant des seigneurs et en voulant couper quelques têtes ? La vostre ne risque pas d'être coupée si vous voulez prendre que celles qui dépassent du lot.

Il est vrai que j'ai pris le pouvoir, mais non pas simplement pour acquérir plus de puissance mais parce que je savais que ca nuirait tôt ou tard à Ombos. Cette terre vous patrie, vous en faites maintenant votre ennemi ?

Pensez-vous que c'est parce que votre père s'est nstallé à Ombosia en Ombos, territoire offert à l'Empereur des Dunes Raul pour remercier votre père, que vous devez revenir vous venger ?
Votre politique était, est et sûrement sera, pathétique. Vous voulez lever une armée et marcher vers Ombos ? Vous n'arrivez pas à accepter l'idée que les sieurs ne voulaient plus de vous ? Certains sont partis vers Fenris pour trouver une terre d'accueil mais bientôt le désert mortel Ombosien les rappellera.

Sieur Ticlem, les seigneur Ombosien ne voulais plus de moi? Pourquoi sont-ils tous partis vers des terres qui m'appartiennent, Fenris? Et que vous vous retrouvez seu lavec Nerra sur le désert Ombosien?
Ombos je l'a idécouvert, conquise seul et payé seul,l'Empereur Raul ni est pour rien, il n'a servis que d'intérmediaire. Vous avez été jugé coupable de haute-trahison vous serez executé.

Seigneur Turumbar, sachez juste que je n'aime pas cacher mes sentiment, et que lorseque mes ennemis verrons mes armées a leurs portes là ils comprendrons, et ne pourrons pas dire que j'a iagit e nsecret contr eux, et au moment ou ma lame traversera leurs coeur je jubilerais de mon entière satisfaction d'avoir laver mon nom dans le sang.

Dame Lys mon père ne m'a peut-être pas appris a perdre, mais votre mère ne vous a pas appris a reste ra votre place derrière les fourneaux comme une chienne galeuse que vous êtes.

Quant a vous sieur Cirdan, je ne vous craint pas, et si je le pouvais je vous cracherais au visage.

Folken jusque là muet se tourna en direction du jeune Seth

Des parôles indignes d'un gentilhomme ... on ne s'adresse pas de la sorte à une dame quelqu'en soit la raison jeune homme ... maîtrisez vous donc .

il pris sa pipe et commença calmement à la fourrer de tabac

A Ombos les femmes n'ont aucun droit, et rien que le faite de regarder un homme peut les conduires a la mort.

Je n'ai jamais dit être un gentillhomme, et nous n'avons pas eu, ni la même vie, ni la même éducation, donc je vous prie de ne pas intereféré, dans ma future vengence.

Cirdan se leva brusquement et se dirigea vers Seth.
Il le souleva d'un bras, le regarde dans les yeux.

- Cette fois miserable ver de terre tu es allé trop loin. Ma soeur te vaut mille fois.

Il commença à lui serrer la gorge ... le petit commençait à devenir bleu pale. La haine se lisait dans les yeux de Cirdan. Dans l'assemblée, un tolée commençait à se lever. Cirdan prit conscience de ce qu'il faisait. Il commença à lacher prise et envoya le gamin voler quelques metres plus loin. Il le regarda avec dedain, cracha par terre puis sorti de l'Assemblée, lassant Seth recommencer à respirer peniblement.

Folken enleva sa pipe de sa bouche et s'adressa au jeune Seth agonisant sans même prendre la peine de le regarder

pppffff .... voyez ce qui arrive à ceux qui ne savent pas tenir leur langue ... en espérant que cela vous serves de leçon

Turambar, un peu depasse par les evenement, mis quelque seconde a sortir de sa torpeur. Finalement, il s'avanca vers le jeune seth, et lui tendit la main. Il lui souffla a l'oreille

Seigneur, vous n'avez pas d'amis ici. Essayez du moins d'eviter d'avoir des ennemis. Votre nouveau territoire a beau etre puissant. Les sequanes ne sauront vous sauver la vie indefiniment si vous vous entetez comme ca.

Meme si la reaction du jeune cirdan est on ne peut plus excessive, On ne peut en rien le blamer. Vous avez ete discourtois. Je vous en conjure, reprenez vous et presentez vos excuse a la jeune lys.

(Hrp: il manque plus que ces deux la tombent amoureux et on aura un remake du cid : HRP)

Le jeune Seth se relève alors en riant.

Ahahahahahah...

Les Confédérés ont tué mon pèr eparcequ'ils le trouvais trop arrogant, si l'arrogance est punis de mort préparez vos testament messieurs, le jugement divin s'abbatra bientôt sur vous.

Je laverais mon nom dans le sang Confédéré, ou je mourrais.

Il tourne alors le regard vers le sieur Turumbar puis sur sa main.

Vous savez sieur Turumbar, mes grand-père Suratilos, lorsqu'il a construit sa ville refusais d'enroler des soldats et de construire des murailles, ils avait aider beaucoup de population, sans jamais e ncrtquer une seule, vous savez comment il est mort? Le sieur Lethkha et Arturux l'ont mise a mort dans sa propre cité. Fort hereuseent mon père Hulri ka été épargner et obligé de voir sa ville de naissance en flamme, ses amis tués et son père abbatu.

Mon père lui c'était juré que jamais celà n'arriverais a son peuple, mais que comme son père il viendrais en aide a ceux qui en avait besoin. Il essayais de faire pression politique pour épargner son peuple, tout en construisant des murailles et enrolant des hommes, et d'un autre coté il donnais de l'argent et du blé a des villes meurtrie par la guerre sans jamais rien demandé en retour. Lui aussi a été remercier en étant abbatu devant mes yeux par les Confédérés cette fois-ci. Heureusement j'ai moi même pu en ré-chapper.

Maintenant, je devrais faire comme mes ancêtres me blottir derrière une imposante armée, derrières des murailles en aidant les pays meurtrie par les morts, la famine et les guerres e nattendant que ce soit mon tour, le jour ils en auront assez de voir mon fanion plané a quelques mêttres au dessus de ma citadelle? Non, je refuse de mourrir comme celà, de mourrir pour rien. Ne dit-on pas que l'attaque est la meilleur des défenses? Et bien j'appliquerais cette politique, et turais tout ceux qui s'opposerons a moi, comme ceux qui m'ont trahis en détruisant ma légitimité.
Biensurs vous pourrez dire que des actes si atrôce ne font pas de moi un homme mieux qu'eux, mais j'ai jamais voulu être mieux qu'eux, et jamais je ne le voudrais, même si je doit mourrir bientôt je serais loin de la follie des hommes, la haut avec mes pères qui eux ont mener une vie d'honneur et d'homme.

Il place enfin sa main sur l'épaule de Turumbar.

Maintenant mon ami, je vous souhaite bonne chance, et que votre vie soit couronné de succes. Mais je me refuse de mourrir comme mes ailleuls...

Il se retire enfin, laissant les choses tels quels.

Mon coeur est lourd, j'aurais essaye de vous aider, mais vous ne m'ecoutez pas. Je ne vous parle pas de morale, mais de strategie. Vous etes ce que vous etes, et je vous considere comme responsable de vos actes. Je vous donne simplement la recette pour que la confederation tombe.